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Stratégie de marque : 5 pratiques à ne (surtout) pas reproduire !

Il arrive que certains projets marketing soient de « fausses bonnes idées », qui entraînent un flop retentissant pour les marques qui les portent. Petit tour d’horizon des pièges qui guettent les marques, et les bonnes conduites à tenir pour espérer rencontrer le succès.

Entrepreneur, comment faire de votre banquier votre allié ?

Quand on se lance dans la création d’entreprise, il n’est pas toujours évident de trouver un vrai soutien dans la personne de son banquier. On a davantage l’impression d’être dans la position d’infériorité de celui qui demande quelque chose et qui n’a pas encore fait ses preuves. Alors comment prendre les bonnes habitudes dès le départ pour construire une relation de confiance dans laquelle vous pourrez compter sur lui comme un allié ? Voici 7 conseils pour vivre une relation épanouissante avec votre conseiller clientèle.

La responsabilité sociale des créateurs d’entreprise

En France, la responsabilité sociale des entreprises a été longtemps un mensonge. Que ce soit un mensonge adressé aux clients, pour inspirer leur sympathie – ou un mensonge adressé aux employés, pour susciter leur engagement. Sur ce sujet, comme sur bien d’autres, on ment car on n’ose dire la vérité : beaucoup trop d’entreprises ne s’intéressent à leur responsabilité sociale que quand leur irresponsabilité est devenue trop visible. Une différence bien visible dans les livres Cette absence d’intérêt est d’autant plus surprenante que la majorité des livres sur l’entrepreneuriat consacrent quelques pages à ce sujet. Ainsi, la majorité des livres écrits par des Américains sur la création d’entreprise comprend une partie « morale », à l’inverse des ouvrages écrits par des Français, qui sont souvent plus terre à terre. Un paradoxe apparent, dans la mesure où nous nous représentons souvent les entrepreneurs américains comme à la fois plus pragmatiques et plus mercantiles que nous. Bien pire, un lecteur français pourrait être irrité de lire, dans un ouvrage sur l’entrepreneuriat, un sermon sur la responsabilité sociale de l’entrepreneur. Pourtant, les ouvrages de Guy Kawazaki, par exemple, sont régulièrement agrémentés de réflexions sur la nécessité d’être un « Mensch », de ne s’engager dans des aventures que si elles sont destinées à apporter quelque chose de nécessaire à l’humanité. Même les auteurs les moins suspects de philanthropie, comme Timothy Ferriss, l’auteur de « The 4-Hour WorkWeek », conclut son ouvrage par une exhortation à pratiquer le bénévolat social, caritatif et humanitaire. Américains contre Français Cette morale de l’entrepreneur peut avoir deux raisons : l’utilité ou les principes. Et elle peut avoir trois formes : simple affichage, mode opératoire au quotidien, ou fin dernière de l’entreprise. Ce qui nous donne six combinaisons. Les deux combinaisons qui semblent intéresser les auteurs américains sont : la moralité comme fin dernière pour l’entreprise, par utilité – et la moralité comme fin dernière de l’entreprise, par principe. Détaillons ces deux positions. Guy Kawasaki, notamment, défend alternativement les deux positions. D’un côté, il soutient que l’entrepreneur ne doit s’engager qu’au nom de grands principes : redresser un tort, apporter un bénéfice réel à l’humanité ou sauvegarder quelque chose de précieux. Et il justifie cela en suggérant que la création d’entreprise est une chose si ardue que l’appât du gain ne peut être son seul moteur car, très rapidement, la lenteur et les ratés du projet ne manqueraient pas d’imposer à l’entrepreneur de lâcher l’affaire. En gros, pour tenir, il faut se raccrocher à un idéal. C’est une justification par l’utilité directe. Kawasaki exhorte aussi l’entrepreneur à être un « Mensch », c’est-à-dire un être de principe, notamment en contribuant à rendre à la communauté ce qu’elle apporte, de manière diffuse, à l’entrepreneur. Il faut intervenir dans des écoles, donner de son temps gracieusement à l’écosystème. Là encore, c’est une justification par l’utilité. Mais cette utilité est plus indirecte : l’entrepreneur, en étant un membre bénéfique de la communauté, doit donner – il ne sait pas ce qu’il reçoit, mais il sait qu’il reçoit quelque chose en retour. Contre la culture des résultats, la culture des principes Enfin, il existe une troisième forme de justification de cette responsabilité, qui relève d’une forme très indirecte d’utilité : dans la journée de l’entrepreneur, beaucoup de choses peuvent échapper à son contrôle. Or, si les résultats de nos actions nous échappent souvent, car ils sont des coproductions de nos choix et de l’environnement dans lequel ils prennent place, nos principes nous échappent peu : ils sont leurs propres fins, ils ne dépendent pas de leurs résultats. En ce sens, agir en fonction de principes, c’est l’assurance d’avoir, chaque jour, au moins quelques actes qui n’échappent pas à notre contrôle. En un sens, agir par principe revient toujours à agir par utilité – car les principes nous sont utiles pour renforcer notre confiance en nous-mêmes, et garder à l’esprit l’immense privilège de l’entrepreneur, de pouvoir imposer ses règles et ses principes au monde. Ou de mourir en essayant de le faire. Cette question de la responsabilité sociale de l’entreprise doit s’imposer au créateur d’entreprise : les startups sont certes des structures temporaires. Mais, bien souvent, les premières décisions prises à la création de l’entreprise vont dessiner la culture qui l’animera longtemps - y compris quand elle quittera cette première phase exploratoire pour industrialiser ses manières de procéder. En France, la responsabilité sociale des entreprises a été longtemps un mensonge. Que ce soit un mensonge adressé aux clients, pour inspirer leur sympathie – ou un mensonge adressé aux employés, pour susciter leur engagement. Sur ce sujet, comme sur bien d’autres, on ment car on n’ose dire la vérité : beaucoup trop d’entreprises ne s’intéressent à leur responsabilité sociale que quand leur irresponsabilité est devenue trop visible.

Comment rester éthique lorsqu’on ne fabrique pas en France ?

Depuis la vague de « Made in France » avec Arnaud Montebourg en marinière, fabriquer en France est devenu un acte patriote. Les marques l’ont bien compris : beaucoup mettent maintenant en avant leurs produits ou la petite partie de leur production qui est fabriquée sur le territoire. Mais il faut bien l’avouer, le « Made in France » reste parfois un idéal très inaccessible pour de nombreuses entreprises.

Pourquoi entrepreneuriat ne rime pas avec liberté ?

Il n’est pas rare d’entendre certaines personnes se lancer dans l’entrepreneuriat pour être libres. Si cette acception n’est pas tout à fait vraie, elle n’est pas tout à fait fausse non plus. Elle reste à nuancer comme nous le verrons dans cet article.

Les voitures et les cyberattaques ? Des préoccupations

Il n'y a pas de jour où la voiture et les cyber-attaques ne soient pas à la une des journaux, des réseaux sociaux. Il faut dire que la protection de la planète, le prix des carburants sont une inquiétude car ils dessinent un avenir sombre. Quant à l'anxiété de voir son site piraté, il semble que les TPE et PME gardent un œil attentif sans céder à la panique.

Les questions à se poser avant de s’associer

Faire des choix. C’est la base de toute gestion d’entreprise. Le premier d'entre eux apparaîtra dès la création de votre structure : faut-il s’associer, ou vaut-il mieux rester seul? Même si cette question pourra se poser ultérieurement, il est important d’en avoir déjà une petite idée. Le point sur les tenants et les aboutissants d’une telle démarche.

Entrepreneurs, devons-nous toujours être honnêtes ?

Oui, évidemment ! Mais entre les petits arrangements avec nos consciences et les « petits services » à rendre, nous franchissons parfois la ligne jaune. Voici un mini florilège d’irrégularités et quelques conseils pour éviter aux dirigeants de se laisser entraîner en situation compromettante.

Fixer son prix : une base de la stratégie

Le prix fait intégralement partie de la stratégie commerciale et influe fortement sur celle-ci de par son impact sur les marges mais également parce qu’il participe à l’image de votre produit. Il peut également servir à créer des produits d’appel qui amèneront votre client dans votre boutique qu’elle soit physique ou en ligne pour acheter d’autres produits.

Les franchises de sport les plus rentables

Gérées sous le statut juridique de SASP en France, considérées comme des mastodontes outre-Atlantique et dans le monde du football continental, ce dernier étant le sport le plus populaire de la planète, les entreprises englobant les équipes de sport sont souvent des modèles de rentabilité. L’intérêt de ces entreprises ne s’arrête pas au terrain et aux simples joueurs : elle va bien au-delà pour sa pérennité financière. Si bien que la corrélation entre réussite financière et réussite sportive n’est pas toujours établie. 

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