CATÉGORIE

Business

Les start-up à l’assaut du secteur du voyage

Envie de partir en vacances... Les beaux jours arrivent, le soleil pointe le bout de son nez et la période estivale est enfin là. Grâce aux nouvelles technologies, le monde entier est à portée de clic. En réservant simplement sur une plateforme web, c'est l’occasion de voyager et découvrir de nouveaux horizons, de nouvelles cultures. Mais pour organiser leur périple, les vacanciers doivent faire face à un ensemble d'offres touristiques et l'organisation du voyage peut vite se transformer en casse-tête. À côté des agences de tourisme traditionnelles, des start-up se lancent dans ce domaine en proposant de nouveaux services afin de simplifier l'expédition de ces baroudeurs. Pour se différencier, chacune développe sa propre démarche pour offrir aux voyageurs des expériences inédites et des moments inoubliables afin qu'ils profitent au mieux de leurs vacances.

L’entrepreneuriat, une grande préoccupation des Danois

Petit pays d'Europe en taille et en population, avec une superficie de 42 924 km² et 5 887 565 millions d'habitants, le Danemark rencontre un succès dans le domaine de la création d'entreprise. Ses grandes sociétés comme Lego et Mærsk avec, respectivement, 5,1 et 5,64 milliards d'euros de chiffre d'affaires en 2016, font la fierté de toute la nation. Arrivé en tête du « World Happiness Report » des Nations Unies en 2012 et 2013, le territoire scandinave fait figure de champion du bonheur toutes catégories, et notamment au travail. 62 % des Danois se déclarent heureux dans leur milieu professionnel. Avec 30 000 entreprises créées chaque année, le Danemark reste l’un des pays les plus propices à l'entrepreneuriat. En voici les principales raisons.

Toys’R’Us, La Grande Récré : les magasins de jouets en crise

Le secteur du jouet fait face à des difficultés. Même si le marché est attractif, il ralentit au niveau de la croissance et du chiffre d'affaires. L'apparition du numérique est l'une des raisons de cette crise. La concurrence des hypermarchés et des sites d'e-commerce met en particulier à mal les magasins de jouets. Face à cela, des célèbres enseignes comme Toys'R'Us aux États-Unis et La Grande Récré, en France n'ont pas su de se conformer aux technologies novatrices et aux nouvelles attitudes des consommateurs et sont sur le point de disparaître.

Application : La start-up GEEV lève trois millions d’euros

Le Boin coin du gratuit. C'est le surnom que la start-up GEEV propose à son application de dons d'objets entre particuliers, lancée en avril 2017. Elle vient d'effectuer en juillet 2018, une levée de fonds de trois millions d'euros, auprès des fonds d'investissement Daphni, Omnes ainsi que BNP Paribas Développement. Plusieurs business angels, dont Emmanuel Guyot, cofondateur de Digitick, ont également participé à ce premier tour de table. Objectif avec cette levée de fonds : améliorer les fonctionnalités de sa plateforme et renforcer sa présence dans l'Hexagone et à l'international. Zoom sur cette start-up

Des entreprises et marques s’opposent aux objets en plastique jetables

Huit millions de tonnes... C'est le nombre de débris plastiques qui sont déversés chaque année, avec un équivalent de 250 kilos par seconde, dans les mers et les océans de la Terre selon une étude de la revue américaine Science. Depuis son apparition en 1869, le plastique s’est imposé sans qu’on y prenne garde. Présent dans notre quotidien comme dans tous les secteurs d'activités de notre société, il provoque des conséquences désastreuses sur l'environnement. Pour limiter la quantité de ces déchets nuisibles, certains pays, entreprises et marques ont décidé de bannir divers produits en plastique.

E-réputation : la start-up Guest Suite lève deux millions d’euros

Aujourd'hui, le partage d'avis clients est devenu un appui capital dans le marketing des entreprises. Près de neuf consommateurs sur 10 cherchent des avis clients sur le Web avant d'acheter un produit ou un service. La start-up nantaise Guest Suite ambitionne de consolider son développement en France et d'accélérer sa croissance ainsi que de devenir le leader européen de la gestion des retours clients. Découvrez cette entreprise.

Biotech : 47 millions d’euros levés pour la start-up française Dynacure, spécialisée dans le traitement des maladies rares

La start-up alsacienne de biotechnologie, Dynacure, qui développe de nouveaux traitements pour les patients atteints de maladies orphelines graves, a annoncé le vendredi 6 juillet une levée de fonds d'un montant de 55 millions de dollars, soit 47 millions d'euros. Le tour de table a été mené par Andera Partners (anciennement EDRIP, Edmond de Rothschild Investment Partners) avec les investisseurs Pontifax, Kurma Partners, Bpifrance,et IdInvest Partners. Une somme record qui la propulse dans le rang des entreprises françaises bénéficiant d'investissements conséquents. Objectif pour la société : développer son programme thérapeutique phare, le oligonucléotide anti-sens, touchant au traitement de la Myopathie Centronucléaire et des maladies neuromusculaires rares.

Les conséquences du Brexit sur les entreprises françaises

Le Brexit annoncé depuis 2016 s’appliquera seulement fin 2019. La sortie de l'Union européenne des Britanniques engendre de grandes difficultés pour les pays européens. Les entreprises exportent et importent des produits en Grande-Bretagne depuis des décennies. Ce changement nécessite donc des négociations complexes entre Londres et Bruxelles. Les entreprises de l’Europe entière sont impactées. En France, la situation britannique a déjà des conséquences et elle devrait générer d’autant plus de difficultés dans un futur proche.

La France de nouveau reine du monde du luxe

Le marché du luxe a connu, en 2017, une hausse d’environ 5 % pour atteindre les 1 160 milliards d’euros à l'international, selon Bain & Company, cabinet de conseil en stratégie et management. L'agence prévoit même un taux de croissance de 4 à 5 % par an pour les trois prochaines années, afin d'atteindre des ventes de 295 à 305 milliards d’euros à l’horizon 2020. L'Hexagone continue de maîtriser ce domaine mondial avec les entreprises LVMH, Kering, L’Oréal et Hermès, représentant près d'un quart des ventes totales du Top 100 du marché en 2016, selon le dernier classement annuel « Global Powers of Luxury Goods » publié en mai dernier par la société de conseil Deloitte. Zoom sur ce secteur qui ne connaît pas la crise.

Ces start-up qui se spécialisent dans le secteur de la mort

La mort comme occasion de business… L'idée peut apparaître comme surprenante tant la disparition des êtres chers est censée rester une affaire privée et dénuée de tout aspect financier. Le domaine de la mort s'est toutefois engagé, ces dernières années, dans une profonde mutation. Rien qu'en France, le marché funéraire pèse environ 2,5 milliards d'euros. À l’ère du numérique et de l'innovation technologique, de plus en plus de start-up se spécialisent dans ce secteur encore tabou pour le transposer dans l'univers du e-commerce.

Latest news