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7 signes qui ne définissent pas un bon candidat après embauche

Vous l’avez engagé. Il vous a plu (professionnellement parlant). Cependant au bout de quelques semaines, vous commencez à douter. Est-il un allié de taille pour votre équipe ou au contraire, un boulet ? En principe, chaque être humain possède des bons et des mauvais côtés. Un excès de l’un comme de l’autre peut vite devenir une véritable tare. A fortiori, si ce point faible se révèle un peu trop accentué chez votre salarié, vous n’aurez d’autre choix que de le congédier. « Pour son bien », évidemment. Voici à cet effet sept défauts particulièrement insupportables, à corriger d’urgence.

Le vaniteux

Vous en avez forcément un dans votre entourage. Déjà qu’il peut agacer quand vous ne travaillez pas avec lui et qu’il vous raconte son dernier exploit sportif : gravir l’Himalaya à mains nues (quand vous savez qu’il peut à peine ouvrir un bocal de confiture alors vous pouvez imaginer ce que cela doit être professionnellement de fréquenter un tel Matamore. Il n’est jamais là pour vous écouter, minimisant vos soucis et valorisant les siens. Qui plus est, il vous adresse la parole uniquement lorsqu’il a besoin d’un service.

Comment y remédier : bien sûr, certaines de ses vantardises sont plus ou moins vraies (il les a un peu modifiées) mais expliquez-lui qu’un travail d’équipe cela se fait en … équipe (tout est dit dans le titre).

L’égoïste

Il refusait déjà de partager ses jouets ou son goûter lorsqu’il était écolier. En grandissant, son trait de caractère a empiré. Il ne prend jamais ses responsabilités, n’a « jamais le temps » et lorsqu’il parle, il débute toujours par « Moi je ».

Comment y remédier : rappelez-lui que tout le monde a des obligations. Si votre salarié ne comprend toujours pas, faites-le participer à des séances de bénévolat.

Le psychorigide

Amusement ? Loisir ? Détente ? Beaucoup de mots qui lui sont complètement étrangers. Là où on reprochera à un autre de n’être pas assez précis, il va l’être trop. En plus de cela, il ne pense qu’à son travail et ne semble pas avoir une vie extérieure.

Comment y remédier : en lui faisant comprendre que si son travail est terminé à 15h 41, plutôt qu’à 15h 40, ce n’est pas la fin du monde. Surtout si c’est exceptionnel. Allez-y quand même doucement afin de ne pas le brusquer.

Le tire-au-flanc

Lui, son idole, c’est le Schtroumpf paresseux. Il ignore le sens du travail. Il procrastine et sert de frein à la machine. En plus de cela, il se permet de critiquer le rythme des autres, quel culot !

Comment y remédier : vous possédez sûrement encore ce vieux tourne-disques. Vous savez, celui qui répète toujours la même chanson chaque fois que vous jouez vos vinyles préférés. Avec lui, c’est pareil. En jouant la machine « usée », vous finirez par le faire céder.

La brute

Max la menace de son surnom. Pas forcément aussi gaffeur, pas forcément prénommé Max. Mais pour les choix musclés, il est le champion. Agressif, imposant de par sa haute carrure (ou de par son réseau), il s’emploie à vous faire capituler.

Comment y remédier : gardez votre calme, il devrait finir par comprendre que la vraie force est intérieure.

Le paranoïaque

Souvenez-vous de ce cas déjà traité dans la liste des « Dix types d’associés à éviter ». Il ne s’agit ici que de votre collègue, mais sa folie est tellement forte que vos nerfs finissent par craquer. Et les piliers de la boîte avec.

Comment y remédier : il vous suffit de rentrer à moitié dans son jeu. Ne le faites pas trop souvent au risque de le prendre pour un idiot, mais essayez de lui faire comprendre qu’il n’a pas que des ennemis. Il devrait finir par réaliser que l’on ne peut pas déplaire à tout le monde.

L’« ordure »

On ignore tout de ses desseins. Il peut aussi être appelé « Pervers ». Il humilie les autres, les rabaisse systématiquement et se prend pour le roi.

Comment y remédier : vous êtes le patron non ? Mettez-le à la porte.

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