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Divalto idylis : Cloud toujours ! (Publi)

Divalto idylis, une solution de gestion facile à vendre et facile à acheter : en deux temps trois mouvements, l’utilisateur (l’auto-entrepreneur, l’expert-comptable, le gestionnaire de paie, le responsable des achats, etc.) est au cœur de sa mission.

Pas de préoccupations techniques (Mac ou PC ? Peu importe!), pas d’installation préalable, on entre chez Divalto idylis par la porte d’un navigateur web, avec sa propre clef (un identifiant unique et un mot de passe). Il suffit ensuite de cliquer sur le module désiré : E-mailing, GRC, Gestion commerciale, Comptabilité, Notes de frais, Feuilles de temps, Paye, Immobilisations, Liasse fiscale, Banque, Liaisons bancaires, Gestion documentaire, Associations, etc.

Avec ses 19 modules, c’est l’offre de gestion en mode cloud computing, la plus riche et la plus large du marché.

La navigation est intuitive et les possibilités de personnalisation sont nombreuses : éditions adaptables, ajout de champs complémentaires, vues personnalisées par utilisateur, changement de thème, etc.

Divalto idylis pour tous !

Vous avez seulement besoin d’un outil pour facturer vos clients ? Qu’à cela ne tienne, vous ne paierez que le module Gestion commerciale ! Vous gérez votre entreprise seul(e) ? Commencez par Divalto idylis en gamme One pour 10 euros par mois. Votre structure s’est agrandie ? Passez de la gamme One à la gamme Entreprise en toute sérénité.

Divalto idylis s’adapte à chaque problématique.

Une solution performante et toujours à jour des dernières nouveautés

Les équipes de développement savent à quel point il est important de travailler sur un outil fluide et rapide, c’est pourquoi la recherche de la performance est une constante chez Divalto.

Par ailleurs, de part sa nature cloudesque, Divalto idylis intègre de façon transparente toutes les mises à jour fonctionnelles, légales, et système, nul besoin de mettre les mains dans le cambouis à chaque amélioration.

Choisir Divalto idylis, c’est aussi se libérer des contraintes d’installation, de mise à jour et de sauvegarde !

Des données en lieu sûr

Les sources de production et les bases de données sont hébergées en France par easynet, un data center aux normes Carrier Class, certifié et ultra-sécurisé.

Le réseau à haut débit d’easynet est connecté à un « backbone », infrastructure garantissant aux utilisateurs de Divalto idylis une meilleure performance des applications.

Very API et ouvert

Divalto idylis propose une API (interface de programmation) permettant des échanges et interactions avec d’autres solutions. L’acquisition d’un nouvel ERP ne fige plus le paysage de travail des collaborateurs et peut au contraire le rendre évolutif par l’ajout d’éléments externes.

Jamais seuls

Divalto est une entreprise à taille humaine qui pense encore que le client est roi.

Ne prenez aucun risque, essayez Divalto idylis !

Le groupe Divalto a fait l’acquisition de l’éditeur de cette solution en mode SaaS il y a trois ans, grâce à son expertise. Divalto idylis n’est pas le fruit d’un effet de mode et fait partie des logiciels précurseurs en la matière. En témoignent ses 10 000 utilisateurs dans des domaines aussi variés que l’expertise-comptable, le négoce ou encore la communication.

  • Des logiciels de gestion simples, rapides, efficaces, puissants !
  • Les meilleurs outils collaboratifs du marché
  • Une solution Full Web
  • Une solution en Mode hébergé
  • Zéro installation !
  • Multiplateforme
  •  …

Divalto idylis c’est :

Des logiciels fiables, riches et faciles à utiliser !
La suite logicielle Divalto idylis se compose de modules d’une richesse fonctionnelle exceptionnelle : fonctions achat, vente et stock, GRC, emailing, finances, paye, etc. Les logiciels sont dotés d’une ergonomie conviviale et intuitive pour une grande facilité de navigation. Tous les logiciels Divalto idylis sont conçus avec la même interface, la maîtrise d’un logiciel facilite donc la prise en main de tous les autres.

Un système de tarification clair et sans surprise !
Avec Divalto idylis, on ne prend pas le risque d’acheter un logiciel parfois inadapté et souvent coûteux. Il est possible de souscrire pour 1 an sans obligation de renouvellement et donc, pour un budget très faible, tester en grandeur nature. La simplicité du système de tarification permet une parfaite prédictibilité des coûts.

Des logiciels fortement personnalisables !
Avec Divalto idylis, il est possible de définir des profils d’utilisation par logiciel et par utilisateur. Divalto idylis permet de donner ou d’interdire l’accès à chaque fonction du logiciel et de changer ces choix à tout moment. Les menus des logiciels sont générés dynamiquement en fonction des droits (profils) qui ont été donnés aux utilisateurs. De ce fait, les écrans sont allégés, car les utilisateurs ne voient que les options qu’ils ont le droit d’utiliser.

Une sécurité optimale !
Divalto idylis assure la confidentialité des informations et des traitements. Chaque utilisateur est doté de clés de confidentialité (accès protégé par mot de passe, données sauvegardées par l’hébergeur, base de données cryptées, etc.) Ainsi, menus, modules, traitements et fonctions peuvent être protégés par ces confidentialités.

Un concentré de technologies !

Divalto idylis une solution nativement full web, multiplateformes

Solution clé en main développée en .net

Avec Divalto idylis vous avez :

L’esprit tranquille sur les sauvegardes !
Divalto idylis réalise des sauvegardes quotidiennes des données qui sont stockées dans des lieux sécurisés avec des matériels redondants.

Des logiciels accessibles partout, à tout moment via une simple connexion internet !
Les utilisateurs peuvent se connecter et travailler à distance à partir de n’importe quel poste de travail doté d’une connexion Internet. Divalto idylis permet une mobilité totale et permanente.

La possibilité de partager instantanément certaines données !
Avec Divalto idylis, il est possible d’ouvrir des accès temporaires ou permanents, pour tout ou partie de l’application, à certains collaborateurs ou à des partenaires distants géographiquement (experts-comptables, consultants, etc.).

Des services de proximité
Le Groupe Divalto a adopté un mode de distribution indirect.
L’éditeur s’appuie sur un réseau de quelques 300 partenaires en France et à l’étranger, doté d’une synergie très importante qui leur permet de distribuer Divalto idylis dans les meilleures conditions.

! Carte de visite !

Groupe Divalto :

  • – 380% de croissance sur les 10 dernières années
  • – 11 000 entreprises utilisatrices de ses solutions
  • – près de 100 000 utilisateurs
  • – 300 partenaires revendeurs
  • – 30 ans d’expérience sur le marché
  • – 30% du CA par an en R&D

Divalto idylis :

  • Solution commercialisée par plus de 100 partenaires
  • Solution commercialisée par plus de 100 partenaires
  • Près de 10 000 utilisateurs
  • à partir de 10€ par mois
 
 

Savoir analyser les comptes de son entreprise

Vous êtes chef d’entreprise ou décisionnaire et avaient besoin de donner un sens aux comptes qui vous sont présentés. Trop souvent, en effet, le bilan et le compte de résultat de votre entreprise ne sont pas analysés et ne vous permettent donc pas de prendre aisément les bonnes décisions. 

En quoi l’analyse financière des comptes

L’analyse financière des comptes est un outil pour les dirigeants d’entreprise, qui vient en complément, entre autre, de la comptabilité, des tableaux de bords et des comptes prévisionnels.

Vous connaissez le résultat de votre entreprise, mais souhaitez le ‘’traduire’’ en terme de trésorerie, vous avez le bilan devant les yeux mais vous devez comprendre quel est votre besoin de trésorerie afin de continuer ‘d’avancer’. Votre trésorerie est passée d’un montant X en début d’année à un montant Y en fin d’année, et vous avez besoin de connaître l’origine de cette variation.

L’analyse financière pourra vous proposer des outils simples à mettre en place, peu chronophage et donc pas coûteux.

Comprendre le besoin en fonds de roulement et sa variation par rapport à l’année qui précède :

  • Le besoin en fonds de roulement :

Le besoin en fonds de roulement représente le décalage de trésorerie entre le moment où vous paierez vos dettes court terme (fournisseurs, salariés, charges sociales, impôts) et le moment où vendrez vos stocks à vos clients et que ces derniers vous paieront.

Plus le délai sera long et plus votre besoin en fonds de roulement sera important en jours et plus vous serez exposé en terme de trésorerie.

Par exemple vous achetez 1.000 euros à votre fournisseur de marchandise, vous le payez immédiatement, ensuite vous stockez cette marchandise 20 jours, puis vous la vendez et facturez votre client avec 15 jours de retards et ce dernier vous paie à 30 jours. Il y a aura donc un décalage de 65 jours (0+20+15+30) entre la date de paiement du fournisseur et la date d’encaissement de votre facture.

Le besoin en fonds de roulement (BFR) représente donc votre besoin de trésorerie à court terme. Aurez-vous assez d’argent pour payer vos dépenses courantes, devrez-vous apporter de l’argent dans l’entreprise (compte courant, augmentation de capital) faudra-t-il aller voir le banquier. Il ne faut pas perdre de vue que le banquier ne sera pas très « chaud » pour vous financer votre besoin en fonds de roulement, mais plutôt vos investissements

  • La variation du besoin en fonds de roulement

La variation du besoin en fonds de roulement, représente l’écart entre le besoin en fonds de roulement de l’année précédente et celui de l’année en cours. Si le besoin en fonds de roulement augmente (toutes choses étant égales par ailleurs) cela aura un impact négatif sur votre trésorerie. Cela peut signifier que vous avez trop stocké (et donc pas assez vendu), que vos clients sont plus longs à vous payer que l’année précédente, mais aussi que vous payez vos dettes (fournisseurs) plus rapidement.

Il vous faudra donc effectuer le calcul, analyser l’origine de la variation et ensuite prendre, si cela est possible, les mesures adéquates.

  • Pistes d’amélioration de votre besoin en fonds de roulement

A titre d’exemple on peut envisager d’éviter d’avoir trop de stock dans les entrepôts, réduire le délai de règlements des clients, facturer les clients au plus vite et non une fois par mois, négocier à la hausse les délais de règlements des fournisseurs.

  • Votre besoin en fonds de roulement peut être négatif 

Un besoin en fonds de roulement négatif est positif en termes de trésorerie. Cela peut signifier que vous avez un stock proche de zéro, un en cours client (créances clients non payées) faible et des dettes fournisseurs élevées. Vous payez vos fournisseurs après que vos clients vous aient payés. 

Savoir calculer et comprendre la capacité d’autofinancement

Excédent brut d’exploitation (ou insuffisance brute d’exploitation)
+ Transferts de charges (d’exploitation)
+ Autres produits (d’exploitation)
– Autres charges (d’exploitation)
+ou- Quotes parts de résultat ou opérations faites en commun
+ Produits financiers (a)
– Charges financières (b)
+ Produits exceptionnels (c)
– Charges exceptionnelles (d)
– Participation des salariés aux résultats
– Impots sur les bénéfices
= CAPACITE D’AUTOFINANCEMENT

(a) Sauf reprises sur dépréciations et provisions
(b) Sauf dotations aux amortissements, dépréciations et provisions financiers
(c) Sauf :
– produits des cessions d’immobilisations
– quotes-parts des subventions d’investissement virées au résultat de l’exercice
– reprises sur dépréciations et provisions exceptionnelles
(d) Sauf :
– Valeur comptable des immobilisations cédées
– Dotation aux amortissements, dépréciations et provisions exceptionnels

La capacité d’autofinancement est un indicateur qui est calculé sur la base du résultat net de l’entreprise. Dans le compte de résultat il est comptabilisé des dotations aux amortissements, aux dépréciations, provisions pour risques et charges, mais aussi des reprises sur provisions et dépréciations. Ces écritures sont des « charges calculées » qui ne sont pas des dépenses ou des recettes, mais l’anticipation d’une perte potentielle, d’une perte de valeur ou d’un litige. Lors du calcul de la capacité d’autofinancement (CAF), il en est donc fait abstraction.

De manière très schématique, il s’agit donc de la trésorerie potentielle dégagée par l’entreprise toutes activités confondues (exploitation, financière, exceptionnelle) au cours de l’année passée. Il s’agit donc d’un indicateur important et qui sera regardé de très près par votre banquier si vous souhaitez effectuer des investissements.

La capacité d’autofinancement a pour objectif de vous permettre de connaître votre capacité à investir « seul », à souscrire des emprunts auprès de votre banquier (et donc votre capacité à rembourser les échéances d’emprunts à venir) et la capacité à rémunérer les actionnaires. Cette capacité d’autofinancement devra être calculée tous les ans et mise en comparaison avec les trois dernières années, afin de connaître son évolution.

Toutefois il est important de mettre en relation la capacité d’autofinancement (CAF), avec l’excédent brut d’exploitation (EBE) qui lui est calculé au niveau des soldes intermédiaires de gestion. L’excédent brut d’exploitation se calcule au niveau du résultat d’exploitation et permet d’identifier la trésorerie potentielle dégagée par l’exploitation.

Ainsi si vous avez une capacité d’autofinancement de 100 000 euros et un excédent brut d’exploitation de 80 000 euros, la situation parait saine car le principal contributeur de la CAF est l’exploitation, par contre si la capacité d’autofinancement est de 100 000 euros et l’excédent brut d’exploitation de 1 000 euros, dans ce cas la situation est moins saine car l’EBE ne contribue qu’à hauteur de 1 000 euros dans la CAF.

Déterminer et comprendre les soldes intermédiaires de gestion :

Voir règlement n°2005-09 du CRC

Les soldes intermédiaires de gestion permettent de décomposer le résultat de l’entreprise, afin de lui donner plus de sens et avoir une vision plus économique et moins comptable.

Si vous avez une activité de négoce, la marge commerciale sera un indicateur majeur et donc très pertinent, car il vous permettra de comparer le coût des marchandises vendues avec le prix de vente. Bien évidemment il faudra la comparer avec les années passées et aussi à celle des concurrents.

Si vous avez une activité industrielle, la valeur ajoutée sera un calcul qui vous sera très utile afin de connaître la valeur que vous avez ajoutés aux achats que vous avez effectués à l’extérieur (matières premières, marchandises frais généraux). Cette valeur ajoutée permettra de rémunérer le principal contributeur à la valeur ajoutée, qui est le travail et donc les salariés. Si la valeur ajoutée produite est inférieure aux coûts salariaux, cela signifiera que la richesse créée ne peut pas rémunérer les salariés. Cela sera donc un indicateur à suivre de très près dans les sociétés industrielles où, bien souvent, la masse salariale est importante.

Les avantages des SCPI dans l’assurance-vie

Investir dans les SCPI au travers d’un contrat d’assurance-vie peut se révéler intéressant.
Cela permet de profiter de la fiscalité avantageuse des contrats d’assurance-vie et de bénéficier d’une meilleure liquidité du placement grâce aux caractéristiques du contrat d’assurance-vie.

1er avantage

La Capitalisation des revenus locatifs des SCPI et bénéfice de la fiscalité de l’assurance-vie en cas de rachat partiel ou total

Lorsque les parts de SCPI sont détenues au travers d’un contrat d’assurance-vie, les revenus fonciers procurés par les parts de SCPI sont réinvestis au sein du contrat. Les souscripteurs évitent ainsi d’augmenter ou de créer un revenu foncier imposable en tranche marginale (jusqu’à 41%) et soumis aux prélèvements sociaux. 

Par ailleurs, en cas de rachat sur le contrat d’assurance-vie, les gains liés aux SCPI sont soumis à la fiscalité avantageuse de l’assurance-vie. Les rachats sont donc optimisés fiscalement dès la 8me année de détention du contrat.

2e avantage

La Jouissance des parts de SCI immédiate 

La jouissance des parts de SCPI est immédiate au sein de l’assurance-vie. En effet, si lors d’une acquisition en direct il n’est pas rare d’avoir 1 à 3 mois de délai avant de bénéficier des revenus, ce délai de jouissance ne s’applique pas pour les SCPI détenues dans un contrat d’assurance-vie.

3e avantage 

La liquidité des parts de SCPI assurée par l’assureur

L’acquisition de SCPI dans un contrat d’assurance-vie permet de s’affranchir des freins liés à la liquidité des parts de SCPI. L’assureur a l’obligation de couvrir la liquidité des parts. A ce titre, la cession des parts peut intervenir à tout moment pour arbitrer le contrat.

4e avantage

Le Bénéfice de la fiscalité de l’assurance-vie en cas de décès

En cas de décès, la fiscalité de l’assurance-vie sera applicable à l’ensemble des actifs détenus au sein du contrat y compris les parts de SCPI. Par ailleurs, les bénéficiaires du contrat d’assurance-vie peuvent récupérer le capital du contrat dans le mois qui suit le dénouement.

Autres avantages…

L’acquisition de SCPI via un contrat d’assurance-vie présente également d’autres intérêts, notamment au regard du prix d’acquisition des parts. Nous revenons sur ces avantages dans la rubrique consacrée à nos contrats d’assurance-vie dédiés aux SCPI.

Marquez des points en vous démarquant !

Cette année encore je me suis rendue sur le salon des entrepreneurs.
Je suis toujours aussi fascinée de voir le nombre de porteurs de projets et de créateurs d’entreprises. De découvrir l’immense créativité dont ils font preuve avec des idées (presque) toutes inspirées et inspirantes. Marquez des points en vous démarquant !

Lors de ces évènements, règne une véritable énergie remplie de la motivation de ces acteurs de l’entrepreneuriat qui viennent y chercher des conseils, des services et bien évidemment des clients.

Networking :

Pour rien au monde je n’aurais raté l’évènement networking qui s’y est déroulé et où plusieurs centaines d’entrepreneurs se sont retrouvés pour rencontrer leurs futurs clients ou partenaires.

Nous voilà donc tous alignés en deux rangées se faisant face et au top départ chaque binôme avait 3 minutes pour faire connaissance, s’échanger leurs cartes de visite et pour certains convaincreleurs interlocuteurs d’aller plus loin.

Pendant près d’1h30 Je me suis donc prêtée à cet exercice qui demandait une réelle concentration, et une pleine écoute afin d’en retirer l’essentiel.

L’une de mes valeurs est bien la curiosité ! Et sur les 3 minutes : je me suis intéressée à mon interlocuteur pendant 2min45 pour ne parler de mon activité que pendant les 15 dernières secondes.

Résultats : je repars avec 15 cartes de visites, 10 promesses de rendez-vous dont 7 qui se transformeront en rendez-vous dans les 3 jours suivants.

Lors de cet évènement j’ai rencontré au moins 6 entrepreneurs qui avaient créé leur agence de communication. Et chacun m’a présenté ô combien il était essentiel de communiquer (oui merci…) et que justement leur spécialité c’était de faire de la communication 360 (autrement dit de la communication globale sur tous les supports).

A chaque fois que je leur ai posé la question : « quelle est votre valeur ajoutée par rapport à la personne que j’ai rencontré juste avant vous ? » je n’ai obtenu que de vagues réponses du type « notre valeur ajoutée c’est que nous sommes innovants » ou bien « nous sommes expert de la communication web avec la nouvelle technologie « shmurtz »( du chinois pour moi qui ne m’y connais pas) ».

J’étais pourtant un prospect idéal. 

Depuis quelques mois je suis à la recherche d’une personne à qui j’aurais envie de confier le développement de mon site internet.

Et j’ai été vraiment surprise de voir qu’aucun de mes interlocuteurs ne m’a jamais posé de questions sur les besoins que j’avais.
A la place ils m’ont tour à tour présenté ce qu’ils savaient faire, dans leur propre jargon. Et dès que je cherchais à les aider en leur parlant de ma situation, ils m’interrompaient pour ne me parler que de leurs produits.

Faire le choix d’un prestataire est une décision qui ne se prend pas à la légère, d’autant plus lorsqu’il s’agit d’aller investir son argent et son temps.

Il est donc primordial que la personne en face de vous sente que vous saurez répondre précisément à ses besoins, en toute confiance.

Voici quelques conseils pour vous permettre de multiplier vos chances de transformer ces évènements en véritables leviers pour votre développement commercial.

Fixez-vous des objectifs :

La plupart du temps lorsque je me rends dans un évènement networking je rencontre des entrepreneurs qui n’ont qu’une vague idée de ce avec quoi ils veulent repartir : des contacts, des cartes de visite, des clients ….

Mais qu’y a-t-il précisément derrière ces « des » ? Combien de contacts ? Combien de carte de visites ? Pour en faire quoi précisément ? Combien de clients ?

Comment mesurer où en sont vos résultats, et à quel moment partir, si vous ne savez pas précisément ce que vous êtes venus chercher.

Alors donnez-vous deux ou trois objectifs qui vous permettront de concentrer votre énergie et votre temps aux « bons endroits ».

Je veux repartir avec 20 cartes de visites pour nourrir ma base de données.
Je veux repartir avec 3 rendez-vous
Je veux repartir avec 5 contacts qui acceptent que je les rappelle dans les 15 prochains jours.
Etc …

Intéressez-vous à votre interlocuteur en parlant son langage

Dites-vous que votre interlocuteur n’attend qu’une chose : parler de lui et de ce qu’il fait.

Profitez de cette opportunité pour lui donner la parole en premier et intéressez-vous à lui en allant lui poser des questions qui vous permettront de mieux le connaître.

Vous n’aurez alors besoin que de très peu de temps pour vous positionner et lui proposer de vous revoir pour continuer d’échanger avec lui.

Les avantages de ce type d’approche :

  • En vous intéressant à votre interlocuteur, il se sentira valorisé et vous prêtera une plus grande attention à son tour.
  • Vous lui donnerez envie de vous revoir. Trop peu de gens écoutent vraiment ce que les autres ont à dire. Votre interlocuteur trouvera en vous cette écoute et vous commencerez à créer une vraie relation avec lui.
  • En lui posant des questions vous pourrez plus facilement détecter en quoi votre produit ou vos services pourraient lui être utiles.
  • Cela vous évitera d’avoir à dérouler tout votre « catalogue » qui de toute façon ne l’intéresse pas en tant que tel.
  • En limitant votre temps de parole vous gagnez en énergie ce qui vous permettra d’être parfaitement disponible pour la personne suivante que vous rencontrerez.

Prenez des notes

Prenez quelques secondes avant de passer à votre prochaine « cible » afin de synthétiser l’essentiel de ce que vous avez retenu de votre échange.
Cela vous permettra de préparer votre prochaine rencontre et d’aller immédiatement à l’essentiel, démontrant une fois de plus à votre interlocuteur que vous l’avez vraiment écouté.

Démarquez-vous

De la même manière votre interlocuteur va échanger avec d’autres personnes, dont un certain nombre qui font probablement le même métier que le vôtre.

Il doit donc repérer très rapidement ce que vous pourriez lui apporter de différent, d’unique par rapport à vos concurrents.

Quels sont vos mots clés ? Quels résultats apportez-vous à vos clients ? Avez-vous une expérience réussie similaire à la problématique de votre interlocuteur que vous pourriez mettre en valeur ?

Programmer les prochaines étapes

Vous souhaitez fixer un rendez-vous avec lui ? L’intégrer à votre liste de diffusion de votre newsletter ? Assurez-vous d’obtenir son autorisation.

Une fois qu’il vous aura donné son accord vous aurez plus de chance d’entrer de nouveau en contact avec lui.

De retour à votre bureau, tenez vos engagements. Vous lui aviez dit que vous le rappelleriez d’ici la fin de la semaine : n’attendez pas 15 jours ! Vous démontrerez ainsi votre sérieux et votre fiabilité. (Je fais ce que je dis)

Ce travail de positionnement, personnel et professionnel, est une étape essentielle pour tout entrepreneur qui souhaite réussir son développement.

En tant que coach, je fais ce travail avec mes clients, pour donner de la cohérence à leur projet et à la manière de l’incarner et de le communiquer.
Cela leur permet alorsde démultiplier plus rapidement les résultats qu’ils souhaitent obtenir.

Je vous invite alors à vous poser la question suivante : « Quelle serait la première chose que j’ai envie d’améliorer pour me démarquer la prochaine fois que je merendrai à un évènement networking ? »

Je vous souhaite une belle route et de grandes mises en actions !

Développez-vous à l’international avec Orange Pro ! (Publi)

Les solutions de téléphonie fixe et mobile dédiées aux professionnels peuvent faciliter le déploiement de votre entreprise à l’international.

Les usages et besoins en téléphonie des professionnels sont très différents de ceux des particuliers. Pour cela, l’opérateur télécom Orange a créé Orange pro, une boutique de solutions de téléphonie et d’équipements pensés pour répondre aux attentes des entreprises. Les professionnels y trouveront différentes gammes de forfaits de téléphonie fixe ou mobile, ajustables à leurs besoins.

Un large panel de forfaits pro

Le forfait pro, pour tous les appels vers mobiles et fixes, permet au professionnel de bien maîtriser son budget grâce au tarif connu d’avance. Le forfait tout inclus de la gamme Orange Open pro comprends le fixe, le mobile, mais aussi la connexion Internet pour l’entreprise. Cette offre illimitée permet de communiquer sans compter au bureau aussi bien que lors des déplacements professionnels. Orange Pro propose aux professionnels également des équipements de standards téléphoniques et des solutions de téléphonie multi-lignes. Ces offres permettent aux entreprises d’offrir à leurs clients un accueil de qualité, sans soucis de joignabilité du standard. Enfin, l’abonnement Internet et téléphone fixe, via la Livebox, permet aux professionnels de bénéficier au bureau d’une connexion haut débit. En déplacement, Internet reste accessible via la clé 3G.

Une offre exclusive pour les créateurs !

Orange Pro soutient les créateurs d’entreprise et auto-entrepreneurs en leur proposant une offre promotionnelle dédiée. Ceux-ci bénéficient d’une réduction de 30% sur certaines offres de téléphonie fixe et mobile ou Internet (sur les 12 premiers mois d’abonnement).

Des forfaits mobiles à l’international

Le Forfait mobile international d’Orange Pro offre plusieurs avantages aux professionnels. Les appels sont illimités 24h/24 et 7j/7, à la fois vers tous les opérateurs fixes et mobiles en France, mais aussi vers tous les fixes et mobiles de la zone Europe ainsi que vers les fixes des DOM. Les SMS et MMS sont illimités. Le surf sur le web via le wifi d’Orange est illimité et le professionnel peut bénéficier de 10h de connexion gratuites via les hotspots Wifi partenaires. Pratique : grâce à ce forfait, le smartphone se mue en modem et permet à l’utilisateur de connecter son PC portable ou sa tablette à la 3G. Inclus dans le forfait également, 3h d’appels depuis la zone Europe ou dans les DOM vers tous les opérateurs. Une solution idéale pour les entrepreneurs qui souhaitent développer leur entreprise à l’étranger !

 

Financer vos projets par les aides et subventions

Dans un univers en constante évolution, les entreprises ont de plus en plus besoin de consolider leur présent et de préparer leur avenir. Les aides et subventions, mises en place par les pouvoir publiques afin de faire réaliser par le secteur privé leur politique gouvernementale, constituent pour elles un véritable levier de financement.

Aujourd’hui, Environ 5 600 aides et subventions existent.
Elles permettant aux entreprises de mettre en place ou de développer plusieurs types de projets : Créations d’entreprises, recherche et innovation, développement à l’international, recrutement, actions en faveur de l’environnement,…

Les aides incitent les futurs bénéficiaires à réaliser une action qu’ils n’auraient probablement pas menée ou qu’ils auraient menée de façon plus limitée ou plus risquée.

Nous allons étudier deux dispositifs très intéressants pour les chefs d’entreprises :

Le Crédit d’Impôt Export (Prospection Commerciale)

Le Crédit d’Impôt Prospection Commerciale, ou appelé plus communément le Crédit d’Impôt Export, a été créé en 2005 afin d’encourager les petites et moyennes entreprises à engager des dépenses de prospection commerciale à l’international.
Il permet de financer jusqu’à 50% de vos dépenses éligibles dans la limite de 40.000 euros pendant 24 mois.

  • Comment en bénéficier ?

Pour pouvoir déclencher le Crédit d’Impôt Prospection Commerciale, vous devez recruter une personne affectée au développement de votre activité export. Il peut s’agir :

d’un recrutement externe
d’une affectation interne, à la condition de recruter un autre salarié dans les 6 mois qui suivent
d’un VIE (Volontaire International en Entreprise).

  • Pour financer quoi ?

D’une manière générale, les dépenses éligibles au Crédit d’Impôt Prospection Commerciale sont :

  • Les dépenses de déplacements et d’hébergements,
  • Les dépenses visant à récolter des informations sur un marché,
  • Les dépenses de publicité,
  • Les dépenses de participation à des salons,
  • Les dépenses de conseil,
  • Les indemnités d’un VIE.

LE STATUT DE JEUNE ENTREPRISE INNOVANTE

Le statut de « Jeune entreprise innovante » (JEI), créé par la loi de finances pour 2004, confère aux PME qui engagent des dépenses de recherche-développement représentant au moins 15 % de leurs charges,un certain nombre d’avantages.
Comment en bénéficier ?
Pour bénéficier des différents avantages fiscaux et sociaux réservés aux JEI, l’entreprise doit satisfaire les cinq critères suivants.

1. Il doit s’agir d’une PME : répond à cette définition l’entreprise qui emploie moins de 250 personnes et qui réalise un chiffre d’affaires inférieur à 50 M€.

2. L’entreprise doit avoir moins de huit ans

3. Les charges liées à la recherche et développement doivent représenter au moins 15 % des charges totales de l’Entreprise.

4. Détention du capital : son capital doit être détenu de manière continue à 50 % au moins :

  • par des personnes physiques
  • par une société répondant aux mêmes conditions dont le capital est détenu pour 50 % au moins par des personnes physiques
  • par des sociétés de capital-risque, des fonds communs de placement à risques, des sociétés de développement régional, des sociétés financières d’innovation ou des sociétés unipersonnelles d’investissement à risque à la condition qu’il n’existe pas de lien de dépendance entre la société en cause et ces dernières sociétés ou ces fonds
  • par des fondations ou associations reconnues d’utilité publique à caractère scientifique,
  • ou par des établissements publics de recherche et d’enseignement ou leurs filiales.

5. Caractère nouveau de l’activité :

Elle ne doit pas être créée dans le cadre d’une concentration, d’une restructuration, d’une extension d’activités préexistantes ou d’une reprise de telles activités au sens du III de l’article 44 sexies du CGI.

  • Pour financer quoi ?

La JEI peut, par son statut, bénéficier des avantages fiscaux suivants :

  • exonération d’impôt sur les bénéfices
  • allègement de la contribution économique territoriale
  • exonération de taxe foncière
  • exonération sur les cotisations sociales patronales

Le plafond de cette aide est de 200 000 euros.

Les différentes procédures de marchés publics

La notion de marché public est souvent confondu avec celle d’appel d’offres. Il s’agit d’un abus de langage. L’appel d’offres n’étant qu’une des différentes procédures de marchés publics existantes. Elle est par ailleurs généralement utilisée en dernier ressort par les acheteurs publics.

En effet, les acheteurs publics privilégient autant que possible la procédure adaptée, plus souple et plus rapide à mettre en oeuvre.  Quant à la procédure négociée, les acheteurs publics ne peuvent y recourir que dans des cas spécifiques. Ce sont les trois principales procédures de marchés publics.
Quelles sont les conséquences directes de cette distinction pour les candidats?

Les hypothèses de recours aux différentes procédures

Quelque soit le montant du marché, le pouvoir adjudicateur peut toujours recourir à la procédure de l’appel d’offres: il s’agit de la procédure la plus contraignante à mettre en oeuvre quant aux modalités de publicité et de mise en concurrence.

Toutefois, sauf cas spécifiques, le recours à l’appel d’offres est obligatoire dès lors que le montant du marché atteint:

  • 130.000 Euros HT pour les marchés de l’Etat en matière de fournitures courantes et services,
  • 200.000 Euros HT pour les marchés des collectivités territoriales en matière de fournitures courantes et services
  • 5.000.000 Euros HT pour les marchés de travaux

En deçà de ces seuils, le recours à la procédure adaptée est autorisée.

Dans certains cas, les marchés ayant pour objet certaines catégories de services (celles non citées à l’article 29 du Code des Marchés Publics, comme la formation, le gardiennage…) peuvent être passés en procédure adaptée quelque soit le montant.

Quant au marché négocié, les possibilités d’y recourir, au nombre d’une petite quinzaine, sont limitativement énoncées par l’article 35 du Code des marchés publics. Le cas de figure le plus fréquemment rencontré est celui de l’appel d’offres pour lequel il n’a été reçu aucune offre, ou que des offres irrègulières ou inacceptables, et qui est alors relancé en l’état en marché négocié.

A titre d’exemple, il peut également s’agir de marchés lancés dans une situation d’urgence impérieuse (notamment après une catastrophe naturelle) ou les marchés qui ne peuvent être confiés qu’à un opérateur économique déterminé pour des raisons techniques, artistiques, ou tenant à la protection de droits d’exclusivité.

Le pouvoir adjudicateur peut toujours aller au delà de ses obligations, et recourir à un appel d’offres ou à un marché négocié alors que le montant du marché est inférieur aux seuils précités.

Les modalités de remise des plis

Il convient de distinguer l’appel d’offres dit « ouvert » et l’appel d’offres dit « restreint ».

Dans le cas d’un appel d’offres ouvert, le candidat remet simultanément son dossier de candidature et son dossier d’offre.

Dans le cas d’un appel d’offres restreint ou d’un marché négocié précédé d’une publicité, le candidat ne remet dans un premier temps que son dossier de candidature. Le pouvoir adjudicateur dispose de la possibilité de limiter le nombre de candidats retenus.
Seuls ces candidats retenus auront accès au cahier des charges, et seront ainsi habilités à remettre une offre.

Dans le cas d’une procédure adaptée, même si la majorité des pouvoirs adjudicateurs requiert la remise simultanée de la candidature et de l’offre, rien ne leur interdit de prévoir une procédure différente.

Les délais de remise

Lors d’une procédure d’appel d’offres ouvert, le délai de remise des offres ne peut être inférieur à 40 jours francs, dans l’hypothèse où le pouvoir adjudicateur offre un accès libre, direct et complet aux documents de la consultation. Sinon, le délai de remise des offres peut être porté jusqu’à 52 jours francs.

En appel d’offres retreint et en marché négocié, le délai de remise des candidatures est de 37 jours minimum. Sur la phase « offre » de l’appel d’offres restreint, les candidats doivent disposer d’au moins 35 jours pour remettre leur pli.

Quant au marché négocié, le délai de la phase « offre » est à la libre appréciation du pouvoir adjudicateur

Cette liberté d’appréciation du pouvoir adjudicateur est de mise en procédure adaptée, quelque soit les modalités de remise des plis.

Toutefois, les délais doivent être raisonnables, pour permettre aux candidats de soumissionner dans de bonnes conditions.

Tous ces délais sont des délais minima, qui doivent être réévalués si le pouvoir adjudicateur le juge nécessaire, ou si des contraintes pèsent sur le candidat pendant la période de remise des offres (visite de site, élaboration de prototypes, etc.).

La négociation

La négociation est formellement interdite en appel d’offres: les offres sont intangibles.

En revanche, comme son nom l’indique, la négociation est obligatoire en « marché négocié ».

Enfin, en procédure adaptée, elle est facultative: la doctrine préconise que le règlement de consultation indique aux candidats si le pouvoir adjudicateur souhaite y recourir, et les conditions dans lesquelles elles seront menées le cas échéant.

Le processus décisionnel

Pour les marchés lancés par les collectivités territoriales, en appel d’offres et en marché négocié, la tenue d’une commission d’appel d’offres est obligatoire.

Ce n’est pas le cas pour les procédures adaptées: le processus décisionnel est déterminé par le pouvoir adjudicateur.

Quelque soit la procédure de marché public, il n’existe plus de commission d’appel d’offres pour les marchés de l’Etat et des hôpitaux.

La traçabilité

Les appels d’offres et les marchés négociés font l’objet de rapports de présentation, et les collectivités territoriales transmettent les pièces du marché au contrôle de légalité.

Ces formalités sont libres en procédure adaptée.

Les délais de recours

Pour les procédures d’appels d’offres et de marché négocié, s’agissant du référé précontractuel, qui est le recours ayant pour effet de bloquer la signature du contrat, le délai pour saisir le juge est de 11 ou 16 jours, à compter de la date de notification du rejet, selon que cette notification ait été transmise par voie électronique ou non.

Pour les procédures adaptées, le pouvoir adjudicateur doit laisser aux candidats un délai « raisonnable », qui s’élève généralement à environ 8 jours.

Aussi, pour les candidats, répondre à une procédure adaptée est généralement plus simple. Les contraintes étant moins fortes, les risques de commettre une erreur procédurale sont plus faibles.

Les délais d’analyse des offres sont également plus courts, permettant de recevoir plus vite une réponse du pouvoir adjudicateur.

Toutefois, le formalisme variant d’une procédure adaptée à l’autre, cela suppose aussi que le candidat s’adapte aux procédures internes de chaque pouvoir adjudicateur, libre des modalités de publicité et de mise en concurrence.

En tout état de cause, il est opportun de détecter la procédure employée par le pouvoir adjudicateur, afin d’adapter sa stratégie aux subtilités de la réglementation.

Article par Sylvain LE TURCQ

Les réseaux sociaux à avoir sur votre mobile !

Maintenant avec vos téléphones mobiles vous êtes “ Connected” ! Vous pouvez donc bénéficier des nouveaux modes de communication qu’offre le web 2.0, les réseaux sociaux.

Vous pouvez notamment être sur Facebook, puis quelques secondes après, communiquer sur Twitter ou sur d’autres plateformes qui surfent sur la tendance.

Les géants du marché du Mobiles, Apple, Samsung, HTC, Nokia, l’ont très bien compris et adaptent leurs logiciels d’exploitation ( IOS, Android, Windows 8,…) pour faciliter l’accès vers les réseaux sociaux.
De plus, les opérateurs ont constaté que l’utilisation d’internet Mobile est en forte expansion. Ils se doivent donc d’être à la pointe de la technologie pour fidéliser leur client. SFR a fait dernièrement une campagne afin d’implanter la 4G.

Il en résulte pour les utilisateurs un confort d’accès à différents sites et applications. 

Envie de se divertir avec des applications? 
Nous avons sélectionnés pour vous quelques sites et applications utiles et/ou originaux :

Du « Fun » pour les fans de Sport 

  • FCBFeel :

Il s’agit d’un réseau social conçu spécialement pour les supporters du Barça. Retrouvez sur une seule page tous les posts émis par les joueurs sur les réseaux sociaux. Entrez en contact avec des personnes partageant la même passion pour le FCBarcelone et suivez les activités des autres sports du club.

  • FCB ToonsTown : 

Après le réseau social concernant le FCB, retrouvez cette fois le jeu mobile ! Construisez des infrastructures et attirez des BarçaToons. Fournissez leur de bonnes installations afin qu’ils jouent et gagnent leurs matchs. Des mini-jeux sont aussi disponibles, ils vous permettront de gagner des points et ainsi de rendre votre ville plus attractive.

La franchise MLS des New York Red Bull lance une nouvelle application de ticketing sur sa page Facebook : Les fans Facebook du club pourront réserver et acheter leurs billets de matchs directement depuis le réseau social. Ce lancement fait de la franchise New Yorkaise la première équipe professionnelle à utiliser cette technologie.

Du « Fun » pour les entreprises 

  • Bemyguest

Le partage culinaire entre voisins de bureaux ! L’application à avoir sur son smartphone ! Partagez votre plat fait maison, à l’heure du déjeuner et réservez une part d’un plat cuisiné par un de votre collègue. Cette application vous permettra de manger plus sainement, d’économiser de l’argent et de créer des liens avec les autres membres de votre entreprise. Que du bon !

  • Foursquare for business 

Du même principe que Foursquare mais consacré cette fois seulement aux entreprises. Grâce à cette application, l’entreprise peut découvrir les check-in faits dans leur établissement et ainsi se faire une idée de la fidélité de leurs clients. 

De plus, les clients ayant déjà effectué un check-in dans l’entreprise pourront voir les publications de l’établissement dans leur flux sans même y être abonnées. Malheureusement, l’application n’est pour le moment disponible que pour les entreprises américaines. 
Sans avoir de dates précises, cette application arrive prochainement en France.

Du côté images et sons 

  • Whyd :

Il s’agit d’un site équivalent à Pinterest mais consacré à la musique. Une fois inscris sur le site, effectuez une recherche de morceau que vous souhaitez écouter et ajouter à votre playlist. Vous pourrez épingler à votre grès les musiques trouvées sur youtube, facebook, et sur Vimeo.

Sur cette plateforme, vous pouvez lire toute sorte de contenu, quelque soit son origine et partager votre liste d’écoute avec d’autres utilisateurs. Vous pourrez vous inscrire aux publications de vos amis. Nous conseillons vivement ce réseau.

  • Youtube Capture :

Cette application vous permettra de filmer et de faire un rapide montage vidéo que vous pouvez ensuite partager sur Youtube de façon instantanée.

  • Vine :  

C’est la plateforme choisi par Twitter depuis la dure séparation avec Instagram. Il s’agit d’une application qui vous permet de créer de courtes vidéos (6 secondes maximum) que vous pourrez ensuite partager sur Twitter afin de profiter de sa viralité. Le « must » serait que ce site s’adapte sur les mobiles : cela ne me semble pas impossible.

Le meilleur est à venir !

Le web évolue, le progrès ne cesse de séduire les utilisateurs, chacun espère découvrir de plus belles choses dans les années à venir afin d’être encore séduits et surpris par la nouveauté.

C’est à se demander jusqu’où pourra aller la communication 2.0. Nous pensons qu’il s’agit d’un marché porteur : ce qui explique la forte concurrence. Cependant, il n’en sortira que quelques survivants qui profiteront de leur succès pour se développer et proposer à des millions d’utilisateurs des modules inédits.

Actuellement, notre coup de cœur se porte sur l’application Whyd, car il apporte un nouveau support (la musique) sur un système que nous connaissons bien (Pinterest) et qui peut être repris de Twitter.

Normes SEPA : êtes-vous prêt ?

Saviez-vous que d’ici un an tout juste tous les virements et prélèvements de votre entreprise devront s’adapter aux nouvelles normes européennes SEPA ? Le point sur ces nouveautés qu’il va vous falloir adopter dans les mois à venir.

Le SEPA (Single Euro Payments Area : espace unique de paiement en euros), lancé en 2008, a pour objectif une harmonisation européenne des moyens de paiements en euros. Les banques européennes ont accompagné ce mouvement de facilitation des échanges économiques. Elles proposent aujourd’hui à leurs entreprises clientes d’envoyer et recevoir des virements ainsi que de mettre en place des prélèvements dans les pays de la zone euro comme l’intérieur de leurs frontières nationales. D’ici le 1er février 2014, toutes les entreprises devront avoir basculées vers les normes SEPA pour tous leurs virements et prélèvements. Cette mise aux normes va s’accompagner de nombreuses modifications à prendre en compte. On peut citer l’exemple du Relevé d’identité bancaire qui va être remplacé par un nouvel identifiant du compte (numéros BIC et IBAN). Les règles d’enregistrement et de conservation des actuelles autorisations de prélèvement vont être elles aussi très impactées par l’application de ces normes européennes. Ces modifications devront être clairement expliquées à vos partenaires, fournisseurs et clients.

Le virement SEPA

Ce virement, aussi appelé le SCT (SEPA Credit Transfert), va remplacer notre virement national dès l’année prochaine. Il permet de transférer des fonds dans les pays de l’espace SEPA dans un délai maximum de 3 jours. Toutes les entreprises sont concernées par cette modification, et ce même si elles ne gèrent que des opérations économiques en France. Dans le cadre de ce type de virement, la gestion comptable est facilitée par la notification sur l’ordre de virement de davantage de détails relatifs à l’opération (référence client, identification de la nature du virement…). Mettez-vous en contact avec votre fournisseur de logiciel ou votre expert-comptable pour vérifier que vos outils de gestion informatiques pourront être compatibles avec ce paiement. Veillez ensuite à bien enregistrer les coordonnées BIC et IBAN des bénéficiaires de vos virements dans votre outil de gestion. Ces deux opérations effectuées, vous pourrez commencer à émettre vos premiers virements SEPA, aux mêmes conditions tarifaires que vos virements actuels. Pour les recevoir, il suffit que l’émetteur de ce virement dispose de vos coordonnées BIC et IBAN.

Le prélèvement SEPA

Également appelé SDD (SEPA Direct Debit), ce prélèvement émis par un créancier français ou situé dans un pays de l’espace SEPA comporte également des informations plus riches que pour les anciens prélèvements. Le « mandat de prélèvement SEPA » remplace les anciennes autorisations de prélèvement. Ils sont à conserver par le créancier. Les établissements bancaires doivent accompagner les entreprises émettrices de virements et de prélèvements pour le passage à ces nouvelles normes. Ainsi en décembre 2012, le CIC a informé tous ses clients professionnels concernés sur les changements à venir, et leur a proposé de recevoir un guide SEPA qui détaille ces modifications et propose des solutions de prise en charge des nouvelles obligations.

Protéger son nom de domaine

Choisir son nom de domaine est parfois difficile mais d’autant difficile si le nom de domaine est déjà pris. Interview de Loïc damilaville, adjoint au directeur général de l’afnic

Quand un entrepreneur dépose un nom de marque à l’INPI et qu’il se rend compte ensuite que le nom de domaine associé est déjà déposé, quel recours a-t-il pour faire exister son entreprise sur le net ?

La solution la plus simple serait de prendre pour nom de domaine le nom de la marque avec un mot-clé associé. L’inconvénient reste que ce nom de domaine sera moins intuitif, mais aussi moins sexy. Si le site utilisant le nom de domaine voulu n’est pas réellement utilisé, l’entrepreneur peut également tenter de le récupérer à l’amiable pour quelques centaines d’euros. Je conseille tout de même aux porteurs de projets de faire une recherche au niveau des noms de domaines disponibles lorsqu’ils effectuent leur recherche d’antériorité de la marque à l’INPI.

A l’inverse, si l’on dépose un nom de domaine avant de se rendre compte qu’une autre personne l’avait déjà déposé comme nom de marque, que faire ?

On peut toujours tenter d’acheter la marque à l’amiable si celle-ci n’est pas utilisée. Mais, en général, la situation décrite est assez vulnérable par rapport à la marque qui détient de fait un droit légitime à faire valoir son nom sur le nom de domaine qui lui correspond. La marque peut donc entamer une action pour récupérer son nom de domaine. Il convient donc de s’assurer de l’antériorité sur le nom de marque comme sur le nom de domaine lorsqu’on crée son entreprise. Cela peut être très handicapant pour l’entreprise de se faire reprendre son nom de domaine alors que celui-ci a déjà eu le temps de se constituer une petite notoriété…

Et s’il y a litige sur la propriété légitime d’un nom de domaine ?

L’AFNIC n’a pas le rôle de gendarme de l’Internet. Néanmoins, elle a mis en place un règlement et des dispositifs, les PARL (Procédures administratives de résolution des litiges). Grâce à cette procédure administrative, les ayants droits peuvent faire appel à l’OMPI (Organisation Mondiale de la Propriété intellectuelle). Un expert en propriété intellectuelle analyse la requête et décide s’il convient de transférer le nom de domaine, de le supprimer ou de ne rien faire. Cette procédure est moins chère et surtout plus rapide. Elle est utile dans les cas les plus manifestes de cyber-squattage.

Les missions de l’afnic

L’AFNIC est une association dédiée à la gestion des extensions .fr et .re. Le but est de faire en sorte que ces extensions fonctionnent bien afin que toutes les adresses qui les utilisent puissent être opérationnelles. L’AFNIC fixe également les règles d’attribution des noms de domaines utilisant le .fr et le .re et maintient à jour la base Whois qui répertorie ces noms de domaines avec leurs contacts affiliés.

Le nom de domaine sur Internet

C’est grâce au nom de domaine que les clients potentiels vont pouvoir vous trouver sur Internet. Le nom de domaine offre une visibilité à l’entreprise et lui permet d’être repérée et identifiée. Ce nom de domaine peut reprendre uniquement le nom de la marque ou bien y associer un mot clé, ce qui augmente les chances d’être bien référencé sur les moteurs de recherche tout en indiquant la spécialité de l’entreprise à une personne qui ne la connaîtrait pas. Par exemple si l’entreprise Lambda fait de l’import-export, elle peut choisir d’avoir comme nom de domaine lambda.fr ou encore lambdaimportexport.fr. Avoir un nom de domaine permet aussi de créer une adresse mail reprenant le nom du site de l’entreprise, ce qui peut contribuer à créer du trafic sur ce site.