Accueil Blog Page 936

Quels seront les futurs métiers des start-uppers dans 20 ans ?

Selon Thomas Frey « 60 % des meilleurs métiers des 10 années à venir n’ont pas encore été inventés ». De nouvelles professions, dans de nouveaux domaines vont voir progressivement le jour, révolutionnant ainsi le monde du travail et le marché des biens et des services. Dans ce contexte, les start-up sont bien souvent à l’origine d’idées novatrices. Coup de projecteur sur les futurs métiers que pourront choisir les entrepreneurs dans deux décennies.

1. Les métiers de service aux entreprises

Les services dédiés aux entreprises sont un secteur qui a beaucoup de chance de voir émerger de nouvelles professions: accompagnement des entreprises pour augmenter leur productivité, testeur d’applications professionnelles, etc. Les start-uppers sauront sans aucun doute se positionner sur ce nouveau créneau, porteur d’emplois. Il sera, en effet, possible de débuter ces activités avec des moyens humains et matériels limités, ce qui permettra aux start-uppers de se lancer.

2. Les métiers du domaine médical ou paramédical

Avec le boom des nouvelles technologies, le monde médical change considérablement, et ce n’est que le début. De plus en plus d’objets connectés sont créés pour faciliter la vie du malade. Certaines entreprises envisagent même de pouvoir guérir des maladies grâce aux nouvelles technologies, la société Elminda a fait ce pari fou de peut- être guérir la maladie d’Alzheimer et de Parkinson grâce à son scanner ultra performant baptisé BNA. D’autres se spécialisent dans la création de tissus et d’organes à l’aide d’imprimante 3D comme la start-up californienne Organovo.

3. Les start-up spécialisée dans l’assistance des personnes âgées

Nous vivons de plus ne plus vieux, en 2030, on ne comptera pas moins de 20 millions de personnes âgées de plus de 60 ans contre actuellement 15 millions. Ce secteur ne semble pas en déclin, bien au contraire. Certaines start- up se sont déjà lancées dans l’assistance aux personnes âgées comme notamment SeniorAdom et se font de plus en plus nombreuses.

4. Les métiers du coaching

Qui dit l’apparition de nouveaux métiers, dit de nouvelles méthodes de coaching à adapter. Les entrepreneurs auront de solides opportunités en créant des services ou des outils de coaching. Les consommateurs sont toujours avides de conseils personnalisés pour leurs activités physiques, leur alimentation, la décoration ou le rangement de leur logement, etc. Les start-up pourront adapter le coaching à des domaines du quotidien ou à des nouveaux métiers qui n’ont pas encore été exploités.

5. Les métiers liés aux dérives des nouvelles technologies

L’essor des nouvelles technologies a profondément révolutionné notre quotidien, dans tous les domaines. Si ce grand chamboulement a essentiellement des effets positifs, il existe certains travers que l’on commence à voir apparaître. Il existera donc dans les prochaines années un vrai marché pour les start-up, en lien avec cet essor soudain. Ainsi par exemple, les métiers liés à la cybercriminalité, à la lutte contre le piratage ou à la surveillance pourront recevoir un vrai accueil de la part des consommateurs. Des start-up pourront aisément se positionner sur ce marché.

6- Des data scientist

Les objets connectés sont de plus en plus nombreux sur le marché. En 2020, on comptera 80 milliards d’objets connectés et selon l’Association française des éditeurs de logiciels ( Afdel), ce seront pas moins de 1000 postes créés dans ce secteur en 2018. Un métier de plus en plus demandé dans les entreprises puisque le data scientist s’occupe d’analyser les données massives (Big Data) pour élaborer la stratégie de l’entreprise, et ce, dans n’importe quel secteur (aussi bien le secteur financier, assurance, marketing…)

7- Des ingénieurs de réalité augmentée

Ce métier existe déjà, mais il intéresse de plus en plus d’entreprises notamment d’architecture, du bâtiment et des transports. La société française Artefacto propose déjà cette solution de réalité augmentée ou virtuelle pour diverses projets.

8- Des start-up au service des « fermiers urbains »

Certaines start-up pourraient voir le jour afin de créer des produits innovants pour faciliter « l’agriculture urbaine ». Il existe déjà des entreprises qui se sont lancées dans ce créneau notamment Monpotager.com : il s’agit d’avoir une parcelle de potager en ligne et de se faire livrer les produits que l’on a choisi dans un point relais. Ce secteur devrait s’étendre de plus en plus d’ici quelques années, à Paris, par exemple, on prévoit 7 hectares de toits aménagés en potager d’ici 2020. Il y aura certainement de plus en plus de problématiques à résoudre surtout pour agencer au mieux et le plus possible un territoire pas vraiment adéquat pour planter des fruits et légumes.

Utiliser un serveur privé est-il une solution pour l’entreprise ?

L’essor des nouvelles technologies dans le monde de l’entreprise a complètement bouleversé les usages classiques. Les professionnels ont aujourd’hui la possibilité de dématérialiser l’ensemble de leurs données. Dans ce cadre, le recours à un serveur privé semble être une opportunité que beaucoup d’entreprises ont déjà saisie. Pourtant, d’autres restent réticentes à cette idée.

La peur du « trop technologique »

Il est certain que l’utilisation d’un serveur où toutes les données de l’entreprise, jusqu’aux plus confidentielles, seraient stockées, peut avoir quelque chose de rebutant, voire d’effrayant. Plus rien n’est conservé dans les dossiers traditionnels, tout se retrouve directement à l’intérieur de serveurs dont on ne connaît en général pas la localisation.

Pourtant, ces réticences liées à l’aspect « trop technologique » se doivent d’être dépassées. Le monde de l’entreprise a déjà fait face à des changements brutaux. Avec l’arrivée de l’ordinateur par exemple, nombre de sociétés pensaient ne pas pouvoir utiliser correctement cette machine dans le cadre de leur activité. C’est pourtant aujourd’hui une chose parfaitement commune et dont toutes les entreprises ne peuvent se passer.

L’utilisation d’un serveur privé devient ainsi de plus en plus intuitive. On constate que les interfaces de ces serveurs se simplifient progressivement, ce qui a pour conséquence de démocratiser son utilisation dans le monde professionnel. C’est notamment le cas de l’interface « Plesk » qui semble faire l’unanimité auprès de toutes les entreprises, petites ou grandes.

Des avantages dans tous les domaines

Force est de constater que l’utilisation d’un serveur privé constitue de nombreux avantages pour l’entreprise :

– un gain de temps certain pour l’archivage et le stockage des données ;
– un risque nul de perte des fichiers suite à un cas de force majeure comme une inondation ou un incendie ;
– l’obligation pour les hébergeurs de revoir leurs prix et de devenir plus compétitifs. Cela entraîne mécaniquement une baisse des tarifs pour ce type de prestation ;
– un gain en productivité manifeste dans tous les secteurs de l’entreprise.
Toutes les entités de la société ont un accès partagé à la source où sont stockées les données, ce qui accélère la réalisation des tâches et le travail collaboratif.

Des prestataires de service sérieux

Il est également important de noter que l’ensemble des hébergeurs et prestataires de services de réseaux pour les entreprises font désormais preuve d’un professionnalisme et d’un savoir-faire dont peuvent bénéficier les professionnels. Les acteurs du marché du serveur privé à l’usage des entreprises ont compris comment allier simplicité et efficacité pour séduire un plus grand nombre de sociétés prêtes à leur faire confiance et à utiliser leurs services d’hébergement de données. Des leaders commencent même à se dégager sur ce marché, à l’image d’Amen.

5 secteurs d’entrepreneuriat qui cartonnent

Pour augmenter les chances de réussite de votre entreprise, il faut cibler les secteurs porteurs. Voici donc 5 secteurs d’entrepreneuriat qui cartonnent.

1- L’aide aux personnes âgées

Les personnes âgées sont aujourd’hui indépendantes de leur famille. Nombreuses sont celles qui bénéficient d’une bonne retraite et qui souhaitent placer leur argent dans une structure qui les aidera à avoir une vie meilleure.

De plus en plus d’entreprises se sont spécialisées dans ce domaine : aide à domicile, maison de retraite privée, assistance momentanée, etc. La demande augmente progressivement, le succès de ce secteur n’est donc pas prêt de décroître de sitôt.

2- La santé électronique 

D’après un sondage de BVA effectué en 2014, plus de 21% des Français affirment avoir déjà testé un produit connecté dans le domaine de la santé. Et les chiffres continuent à croître. Accros à nos produits high-tech, nous envisageons la santé comme un secteur technologique : ceinture pour maintenir le dos, bracelet mesurant le rythme cardiaque et la pression artérielle, les applications comptant les pas effectués par jour… Rien n’est plus agréable que de pouvoir surveiller sa santé sans la contrainte du cabinet médical. L’e-santé constitue un secteur en forte progression qui risque un jour de transformer l’attente interminable des visites chez le docteur.

3- Le luxe d’occasion

Avec la crise économique, les Français renoncent aux produits chers, mais certainement pas au luxe. Pour cette raison, le domaine de la vente d’occasion de produits de luxe ne cesse de se développer. Ouvrir un site de vide-dressing devient prometteur, si l’on mesure le succès de ces espaces e-commerces qui proposent une seconde vie aux produits luxueux. Ces sites mettent en relation les vendeurs et les clients. Ils font presque la totalité de leurs gains à travers des commissions qui peuvent varier de 10 à 20 % pour une vente. Ce secteur, en plein boom, a su profiter de cette mouvance de vouloir démocratiser l’industrie VIP.

4- Les produits pour personnes allergiques

Les allergies alimentaires concernent plus de 2,4 millions de Français selon Xerfi-Precepta. Les régimes sans gluten et sans parabène connaissent aujourd’hui un succès indescriptible. Plus qu’un caprice, ces produits répondent à un réel besoin. La personne allergique est prête à investir le montant qu’il faut dans un aliment ou une préparation qui préservera sa santé et son bien-être. Le bio est partout : petite boutique de proximité, vente en ligne, vente à domicile, ce marché semble un domaine prometteur.

5- L’écologie

Dire que « l’écologie » incarne un domaine en plein essor semble une idéologie abstraite. Pourtant, les gens sont de plus en plus sensibles à l’environnement. Les équipements de recyclage, les produits de beauté bio, la voiture électrique, etc. La réussite de ces produits montre une fois de plus qu’il s’agit réellement d’un domaine qui fonctionne et qui n’a pas prévu de décliner.

Quelles sont les régions dynamiques en matière de coworking ?

En France, le coworking est un phénomène qui prend de plus en plus d’envergure. Nés en 2005 aux Etats-Unis, ces espaces de travail partagés sont aujourd’hui plus répandus en Europe, notamment en Allemagne et en France, avec plus de 1000 sites sur tout le continent. La France est d’ailleurs le 6e pays au monde à utiliser ce système de travail coopératif puisqu’elle compte environ 10 000 utilisateurs répartis sur 250 sites. Si Paris sort du lot, Lyon, Marseille, Bordeaux et Nantes suivent de près.

Paris, précurseur du coworking en France

Comme souvent, l’Ile-de-France et surtout Paris sont des précurseurs en la matière, avec plus de 92 espaces de coworking comme le Beetop à Clichy, un site qui offre plus de 6500 m² d’installations bureautiques.

Lancé en 2008 à Paris, le premier espace de coworking français a fait de nombreux émules. Cœur économique du pays, la région Ile-de-France est naturellement la plus dynamique, aussi en matière de coworking. Elle compte à elle seule plus d’un tiers des espaces de travail partagés, dont une cinquantaine pour la seule ville de Paris. La capitale a su recycler d’anciens entrepôts ou des usines abandonnées pour les transformer en nouveaux espaces de travail dynamiques. Avec un ticket d’entrée moyen de 350 euros, Paris offre des lieux et des concepts de coworking atypiques qui participent à la croissance du secteur. Un entrepôt désaffecté de la SNCF dans le 18e arrondissement, une ferme rénovée du XVIIe siècle dans le 11e arrondissement ou encore les locaux d’une ancienne société de montgolfières sont autant de lieux transformés en espaces de coworking.

En province, quatre régions se démarquent

Le développement de ces espaces a tendance à se superposer au dynamisme économique des régions. Ainsi, les régions Rhône-Alpes et PACA sont les deux plus dynamique en matière de coworking, avec respectivement 38 et 36 lieux autours des agglomérations lyonnaises et marseillaises. Ces deux villes ont développé des concepts intéressant comme la Ruche à Marseille qui offre 400m² de bureaux et une micro-crèche pour les enfants des coworkers.

La région Aquitaine arrive en troisième position avec 25 espaces de coworking présents autour de Bordeaux. Les Pays de la Loire arrivent en fin du top 5 avec plus d’une vingtaine de lieux principalement installés dans les agglomérations comme Nantes.

Des villes moyennes de lancent dans l’aventure

Si la croissance des espaces de coworking est plus faible en province, des villes moyennes se lancent tout de même dans l’aventure. Le Nord-Pas-de-Calais dispose d’environ une quinzaine d’espaces répartis entre les villes de Lille, Roubaix et Calais.

Suivent l’Alsace, la Bretagne et la région Midi-Pyrénées avec chacune une dizaine de lieux de travail partagés. Si les villes moyennes disposent de moins d’espaces de coworking, leur succès est au rendez-vous et leur développement reste très dynamique. À Strasbourg, la Plage digitale créée en 2012 s’est récemment agrandie sur plus de 2000m² et propose désormais deux espaces de coworking, ce qui témoigne de son succès.

Créer sa Boîte en Alsace – Edition du Haut-Rhin

Descriptif de l’événement

Les CCI de Colmar et du Centre-Alsace et Sud-Alsace Mulhouse, ainsi que la Chambre de Métiers d’Alsace organisent conjointement cet évènement unique dans le Haut-Rhin. Cette manifestation rassemble le même jour, en un même lieu, les acteurs incontournables de la création et de la reprise d’entreprise, répartis en espaces thématiques : « accompagnement», « aides et financements », « implantation et équipement », « juridiques et réglementaires », « reprise », « marketing et communication »…

Des conférences et micro-conférences sont également au programme. Elles sont autant d’occasions de faire un zoom sur des questions spécifiques que se posent tout créateur ou repreneur.

Lieu de l’événement

Parc des Expositions de Colmar

Dates et horaires de l’événement

18 novembre 2015 de 9h00 à 17h00

A qui s’adresse cet événement ?

Le salon s’adresse non seulement aux créateurs et repreneurs dans les secteurs du commerce, de l’industrie et des services, mais également aux entrepreneurs dans les secteurs de l’artisanat.
Ouvert à tous, cet événement a pour objectif de permettre aux entrepreneurs de demain de bâtir, développer et matérialiser leur projet dans les meilleures conditions.

Frais de participation

Entrée libre et gratuite

Site internet

http://www.creer-sa-boite-en-alsace.fr

Lien d’inscription

http://www.creer-sa-boite-en-alsace.fr

4 grandes entreprises qui appliquent la méthodologie Lean

Voici 4 grandes entreprises qui appliquent la méthodologie Lean.

Facebook

L’entreprise prône le « failfast » : cette stratégie consiste à essayer le lancement d’un projet, obtenir rapidement des retours auprès des clients et vite adapter le produit avant que cela n’engendre plus de dépenses. L’entreprise dote chaque projet de moyens conséquents… De même, l’itération est inscrite dans l’ADN de la société puisqu’une nouvelle version du réseau social est lancée tous les mardis ! Cela équivaut à près de 12 000 modifications par mois, ce qui est colossal…

Dropbox

Logiciel de partage de fichiers en ligne, il est désormais connu de tous. Drew Houston, son PDG et fondateur a mis en place la méthodologie Lean notamment pour mettre à jour son produit beaucoup plus rapidement, dans le but de tester l’attente réelle des consommateurs. Le fondateur a proposé un prototype en vidéo pour obtenir des retours et l’a ensuite développé en ne s’attachant qu’à l’essentiel : proposer un produit simple et fonctionnel. En appliquant les principes du Lean Start-up, Dropbox est passée de 100 000 à 4 millions d’utilisateurs en 15 mois.

Groupon

Le site de coupons et deals le plus connu au monde a démarré avec un simple blog. En 2007, Groupon s’est ainsi lancé avec The Point, un site qui entendait regrouper les consommateurs pour les faire peser dans des décisions économiques, politiques, caritatives, le tout au service d’un but commun… Aujourd’hui l’entreprise possède le service que l’on connaît, qui utilise toujours l’effet de masse, mais sous forme de ventes événementielles. La mise en place de la philosophie Lean au tout début du projet a permis à l’entreprise de prouver que le concept de massification pouvait fonctionner, même s’il était encore imparfait !

Zappos 

C’est le précurseur de la vente de vêtements et chaussures en ligne. Au début de l’aventure, le fondateur de l’entreprise a testé son idée avec quelques dollars seulement. Il a signé un accord avec un petit magasin de chaussures local, qui l’a autorisé à prendre des photos de ses produits et à les vendre à prix coûtant sur un site très simple. à chaque vente, il allait acheter lui-même la paire de chaussures dans le petit magasin et l’envoyait par voie postale, ce qui a eu pour conséquence de lui apporter des informations claires sur l’intérêt des clients pour la vente en ligne. D’un investissement de 0 $, Zappos a été finalement rachetée par Amazon en 2009 pour 1,2 milliard… !

Ces entreprises qui ont changé de business model en cours de route…

Voici quelques entreprises qui ont décidé de changer de Business model en cours de route. Focus.

Criteo

L’entreprise tricolore championne du reciblage publicitaire personnalisé sur Internet n’a pas toujours connu le franc succès et les 444 millions de chiffre d’affaires qu’elle affiche aujourd’hui. Au début, la société a cherché ses marques et n’a pas généré de chiffre d’affaires avant l’année 2008. Les responsables ont d’ailleurs opéré un changement de business model pour être plus rentable, puisqu’ils se sont essayés à la recommandation personnalisée auprès des internautes visiteurs des sites e-commerce, avant de finalement se consacrer exclusivement à la publicité ciblée. Un pari gagnant !

Geolid (Voisineo)

Cette start-up a vu le jour en 2008 et a longtemps défrayé la chronique, avec son offre Voisineo, qui proposait un réseau social dédié au voisinage. Concrètement, il s’agissait d’une plateforme qui mettait en relation les voisins, que ce soit dans le but de se rendre des services ou simplement de faire connaissance. Parallèlement, le fondateur développe une solution similaire, mais dédiée au B to B, qui propose aux professionnels de la publicité locale sur Internet. 1 an et demi plus tard, le constat est clair : la plateforme est plus rentable. Il se concentre donc uniquement sur ce créneau et change le nom en 2013 pour devenir Geolid.

Copainsdavant.com

Ce site, tout le monde le connaît. Né en 2001, il constitue le précurseur des réseaux sociaux tels que nous les connaissons aujourd’hui. Gratuit au début, le site est ensuite passé sur une offre payante en 2004, ce qui a eu pour conséquence de faire chuter les statistiques de la plateforme, d’autant que l’arrivée de Facebook à l’époque a grandement concurrencé le réseau. Le groupe éditeur du site, CCM Benchmark, a opéré un changement de business model en 2007, repassant le site sur une prestation gratuite et se rémunérant par la publicité. Progressivement, le repositionnement du site s’opère.

Le groupe BIC

Société historique (fondée en 1945), cotée en bourse, l’entreprise BIC est principalement connue pour ses produits en papeterie, ainsi que pour ses rasoirs, briquets et téléphones portables. L’année 1973 a marqué le moment où le groupe a diversifié ses activités, puisqu’il a commercialisé à ce moment là son premier briquet à flamme réglable. à la fin des années 1980, le groupe s’essaye au marché de la parfumerie en vendant des flacons via leur réseau de distributeur, les bureaux de tabac. Malheureusement, c’est un échec et le groupe doit concentrer ses activités sur ce qui a fait son succès jusque là.

10 conseils si vous voulez, comme VaïVaï, importer un concept depuis l’étranger

Voici 10 conseils si vous voulez, comme VaïVaï, importer un concept depuis l’étranger :

RENSEIGNEZ-VOUS GRÂCE À INTERNET

C’est fou le nombre de choses qu’on peut faire depuis son bureau grâce à la technologie !

DÉTERMINEZ SI LE PRODUIT…

…que vous voulez importer est 100 % adapté au marché français. Sinon, faites le vous-même !

NE NÉGLIGEZ PAS LE MARKETING

C’est très important d’y réfléchir dans la phase amont du projet.

ALLEZ VOIR LA SOURCE.

Il faut se renseigner sur les personnes qui seront vos producteurs de matières premières. Vérifiez que l’environnement qui les entoure est sain et qu’il n y a rien de suspect dans les alentours. 

PARLEZ DE VOTRE PROJET AUTOUR DE VOUS

Sollicitez les personnes qui travaillent dans le même secteur que le vôtre. Leurs conseils valent de l’or.

IDENTIFIEZ LES FACTEURS CLÉS

Priorisez. C’est toujours mieux de fonctionner de manière à régler les priorités en premier lieu avant de s’attaquer aux autres problématiques. 

TRAVAILLEZ AVEC DES PROFESSIONNELS

Cela coûte plus cher mais permet d’avoir des résultats de qualité. 

IMPLIQUEZ VOS CLIENTS LE PLUS TÔT POSSIBLE

Après vous avoir donné des conseils, ils auront du mal à refuser lorsque vous leur proposerez une collaboration. 

INTÉGREZ VOTRE PROJET DANS UN PROJET DE VIE

Faites en sorte que votre entreprise ait un rapport direct avec ce que vous aimez. Cela pour vous donner l’envie d’y rester le plus longtemps possible. 

MONTEZ UNE BOITE QUE VOUS NE VOUDRIEZ JAMAIS VENDRE

Aimez votre entreprise au point de ne pas vouloir la céder !

Comment créer un blog à succès ?

Les blogs demeurent nombreux sur la toile. Pourtant, très peu d’entre eux sont considérés comme des blogs à succès. Pour captiver l’intérêt des internautes, des directives précises doivent être mises en œuvre. Quelles sont les techniques et astuces à appliquer pour booster votre blog ?

Pensez à votre blog comme à une entreprise

Avant de vous lancer dans la construction d’un blog, il demeure essentiel d’en définir les objectifs. Pour cela, posez-vous les bonnes questions :

  • dans quel but je tiens ce blog ?
  • quelle est l’utilité de ce blog pour moi et pour les internautes ?
  • qui va gérer ce blog ?

Il existe une grande différence entre l’objectif et la thématique d’un blog. L’objectif est centré sur les bénéfices que le blog peut vous apporter en termes de business (amélioration de l’image de marque, augmentation du trafic web sur votre site marchand, etc.), alors que la thématique concerne votre audience. Essayez donc de trouver le contenu approprié pour satisfaire vos visiteurs potentiels.

Avant de définir clairement une thématique, il est important d’analyser les blogs concurrents. Pour créer un blog à succès, celui-ci doit se distinguer des autres et donner une véritable valeur ajoutée en termes de contenu. Le thème idéal pour un blog reste le compromis parfait entre un sujet qui vous passionne et une idée novatrice qui vous permettra de vous différencier des autres !

Le contenu, le contenu et… le contenu !

Même si vous créez un blog à des fins commerciales, vous ne devez pas en négliger le contenu rédactionnel et graphique. Pour le graphisme de votre blog, optez pour un design simple, mais néanmoins structuré. Evitez la profusion de couleurs et les fioritures qui ne feront qu’encombrer vos pages. Plus simple est votre blog, plus professionnel il paraîtra !

En ce qui concerne le contenu rédactionnel, il demeure essentiel de créer des textes de qualité qui comportent une valeur supplémentaire pour le lecteur.
Cela signifie que vous devez présenter des informations uniques et personnalisées. Mieux vos textes seront écrits, plus vous gagnerez la confiance de vos lecteurs.

Par ailleurs, pensez qu’il vous faudra proposer de l’information gratuite. Il s’agit d’une astuce incontournable si vous souhaitez réussir dans le « blogging ». Tissez des liens avec vos visiteurs, apprenez à les fidéliser en leur délivrant des conseils et des informations qu’ils pourront mettre en pratique immédiatement. Gardez toujours en tête que c’est de cette manière que les visiteurs se transforment en clients.

Quelles astuces pour améliorer la visibilité de votre blog ?

Avec le nombre croissant de blogs sur la toile, de nouvelles techniques sont apparues pour assurer leur visibilité et popularité sur les moteurs de recherche. Voici quelques conseils :

  • utilisez Technorati, une plateforme qui aide les bloggeurs à mettre en avant leurs contenus ;
  • créez une newsletter pour informer vos visiteurs de toutes les nouvelles publications ;
  • établissez un suivi précis de la newsletter (nombre de personnes inscrites, articles les plus visités, etc.) pour perfectionner vos méthodes au fur et à mesure ;
  • en cas d’hésitation, confiez la mise en forme de votre blog à des professionnels comme Amen 
  • travaillez continuellement le SEO (référencement naturel) de vos articles
  • choisissez pour vos articles des titres accrocheurs et bien travaillés, qui comportent de nombreux mots-clés

Prendre soin de son site reste un travail de longue haleine. Si votre blog atteint une belle visibilité, il vous faudra la conserver ! Parmi les erreurs à ne pas faire, pensez à ne pas accumuler trop de bannières publicitaires, au risque de perdre vos visiteurs plus rapidement que vous ne le soupçonnez.
L’intérêt de l’internaute doit constituer votre objectif premier, quoi qu’il advienne. C’est à ce prix que vous développerez un blog à succès.

Ai-je besoin d’une assurance entreprise en tant que micro-entrepreneur ?

Une assurance professionnelle est souvent essentielle pour les micro-entrepreneurs, car elle couvre les aléas concernant directement les travailleurs, ou les dommages subis ou causés. Pour limiter les risques financiers liés à leur activité, les besoins de chaque entrepreneur doivent être définis au plus tôt, auprès d’un courtier ou d’une compagnie d’assurance. Focus.

Une assurance entreprise parfois obligatoire

Le statut de micro-entrepreneur, anciennement auto-entrepreneur, n’est soumis à aucune obligation d’assurance. Cependant, les activités réglementées, dont l’exercice est soumis à conditions, sont souvent contraintes à souscrire un contrat, qui viendra couvrir le cas échéant les dommages que peut engendrer l’activité professionnelle de la personne. Ainsi, dans le secteur du bâtiment, l’assurance décennale demeure obligatoire. Cette dernière couvrira le micro-entrepreneur durant 10 années, période pendant laquelle il est tenu responsable d’éventuels dommages causés par des travaux pouvant affecter la solidité d’une construction. Les tatoueurs, en raison du caractère irrémédiable de leur travail et des conséquences sanitaires que celui-ci peut engendrer, doivent posséder une assurance responsabilité civile professionnelle, couvrant les dommages qu’eux-mêmes ou leur matériel peuvent causer sur leurs clients. L’utilisation de véhicules ou de locaux à des fins professionnelles impose également la souscription d’une assurance dans l’éventualité de dommages causés aux tiers.

Les assurances facultatives

Des contrats facultatifs prémunissent également les micro-entrepreneurs contre une multitude de risques. Ils peuvent par exemple assurer leurs stocks ou leur matériel, dans le but de toucher une indemnité en cas de pertes ou de dégâts. L’assurance perte d’exploitation permet, quant à elle, de surmonter les difficultés financières liées à un sinistre. On trouve également des assurances de protection juridique, qui permettent d’apporter conseils et appui financier à l’entrepreneur en cas de litige avec une tierce personne. L’assurance responsabilité civile, fortement conseillée, permet quant à elle de parer à l’éventualité de préjudices corporels, matériels ou immatériels causés par le micro-entrepreneur à des tiers dans le cadre de son activité.

Souscrire ou non une assurance facultative ?

Avant de choisir de contracter une assurance, il est primordial de mesurer les risques encourus par l’entreprise et de cerner vos besoins en la matière. Pour certains types d’activités, il est peu probable voire impossible de causer des dommages, et les frais liés à des dégâts sur le matériel sont aisément surmontables. Ainsi, un micro-entrepreneur travaillant depuis son domicile en tant que graphiste et n’accueillant aucun client supportera facilement les coûts liés à la dégradation de son matériel (à savoir un ordinateur) et n’a donc a priori pas nécessairement besoin d’une assurance. De même, pensez qu’il demeure préférable de ne pas souscrire de contrat d’assurance si les dépenses que cela engendrerait sont supérieures au montant éventuel d’une indemnisation.

En revanche, en ce qui concerne les micro-entreprises pour lesquelles le risque de dommage demeure bien réel, l’assurance responsabilité civile professionnelle constitue la couverture minimale requise afin d’éviter de graves problèmes financiers en cas de dommages causé à un tiers dans le cadre de votre activité. Dans tous les cas, le risque portant sur le micro-entrepreneur lui-même subsiste. Pour tous les types d’activités, il est donc intéressant de souscrire une assurance à la personne, afin de prévenir les conséquences d’une cessation d’activité ou de problèmes de santé impactant le fonctionnement de l’entreprise.

Pour trouver la bonne assurance au meilleur tarif, il existe des solutions autres que les courtiers en assurance afin d’obtenir immédiatement des devis : les comparateurs. Choisir-Malin.fr est l’un d’entre eux. Son fonctionnement est simple, il est 100% gratuit et sans engagement. Visitez son site sur : https://choisir-malin.fr/assurance/entreprise

A lire aussi : Comment choisir son assurance professionnelle ?