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PME : quelles solutions de financement en cas de difficultés ?

Depuis déjà un bon moment, nombre d’entreprises n’ont plus accès à un crédit suffisant. Le contexte économique actuel en est certainement responsable. En attendant la nouvelle réglementation bancaire sur les accords de Bâle III, les entreprises doivent rapidement trouver d’autres solutions de financement afin de pouvoir fonctionner convenablement.

Le climat économique et financier des entreprises est des plus délicats. Il est désormais plus que difficile de gagner la confiance des institutions financières. Des solutions à court terme arrivent à point nommé pour aider les entreprises dans le besoin et la difficulté.

Un bref rappel des réalités

Selon une récente étude de l’OCDE sur le financement des entrepreneurs et des PME, 74 % des financements réalisés dans la zone euro proviendraient des institutions financières. Pourtant aux États-Unis, il ne dépasse pas les 24 %. Ce chiffre est encore plus étonnant en France avec plus de 90 % des cas. Ce qui représenterait près de 200 milliards d’euros pour les crédits de trésorerie bancaire. Selon les experts, ce volume doit être réduit de 10 à 20 % avec les accords de Bâle III. C’est dans ce contexte que les organismes financiers se montrent plus sévères et plus stricts dans leurs critères d’attribution. Ceci, puisque l’activité crédit leur coûte plus cher.

Une aide de l’État

Collectivités territoriales et pouvoirs publics viennent en aide aux entreprises en apportant quelques-unes des nombreuses solutions prévues par l’État.

  • Prêt départemental et régional pour la gestion et la prévention des difficultés financières : ce sont des prêts offerts à titre de relance, en vue d’aider les entreprises en difficulté financière.
  • Le médiateur de crédit, un dispositif pour contourner le refus des institutions de crédit bancaire : l’État met en place un médiateur dans le but d’aider les chefs d’entreprises, face aux différents problèmes liés aux soucis de trésorerie et de financement, qui n’ont pas été satisfaits auprès des institutions financières.
  • Répartir le paiement de ses charges fiscales et sociales : un guichet unique dédié aux entreprises en difficulté est mis en place par la Direction générale des finances publiques pour régler tout retard de paiement de leurs obligations sociales et fiscales, selon des « plans de règlement de créances » qui conviennent à la situation de chaque entreprise.
  • Les avances de trésorerie pour une aide aux entreprises sont des aides allouées par Oséo. Oséo est une agence publique de l’État qui se veut d’accompagner et de financer les PME en difficultés. Accessibles à court terme, ces avances servent à compléter vos finances. Elles financent également les créances professionnelles.

D’autres solutions à court terme

  • L’affacturage : c’est un moyen de financement qui convient aux PME qui œuvrent dans le BtoB. Ainsi, les entreprises se voient d’externaliser leur poste client et faire appel à un spécialiste. Les banques orientent plus de dossiers vers cette activité presque sans contraintes réglementaires.
  • La titrisation : un financement qui s’adresse aux PME-PMI. Il est question de vendre des créances clients à des investisseurs sur les marchés. Cela apporte plus de cash aux entreprises.
  • Subventions et crédits bail : il s’agit pour certaines entreprises de faire appel au crédit-bail immobilier ou mobilier. Il est donc question d’un contrat réalisé avec une entreprise qui met un bien à la disposition d’un client où ce dernier s’engage à la location sur une durée déterminée, en contrepartie de loyers.
  • Le lease-back : c’est un moyen pour une entreprise de revendre à une société financière un actif immobilisé afin de générer de la trésorerie. Cela engendre un important avantage fiscal.

Temps partiel pour la création d’entreprise : quelles formalités ?

Le droit de congé ou le temps partiel est accordé à tous les salariés désirant se consacrer à un projet. Le temps partiel est toujours en rapport avec la création ou la reprise d’une entreprise. C’est un congé d’un an maximum avec une possibilité de prolongation. En tant que salariés, les fonctionnaires disposent également de cet avantage, mais il faut suivre différentes procédures.

Les procédures à suivre

Pour jouir de ce droit d’un temps partiel, le salarié doit avoir au moins une ancienneté de 24 mois dans l’entreprise, ne pas avoir pris de congé au cours de 3 dernières années.

La procédure est simple : faites une demande dans laquelle figure la date du début et la période de travail à temps partiel envisagé. Précisez bien la durée de congé ou de la période de travail à temps partiel envisagée. Notez aussi la nature de l’activité que vous allez entreprendre. Une fois que la demande est reformulée, le salarié doit la remettre à son employeur en main propre. Il est obligatoire d’informer l’employeur 2 mois à l’avance.

Il est à noter que vous pouvez ne pas préciser vos futurs projets dans votre demande. Toutefois, l’employeur peut demander plus de détails, mais il ne peut pas l’exiger. N’oubliez pas que vous pouvez tout à fait refuser ce complément d’information. Après avoirs lu et examiné votre demande, l’employeur doit vous faire part de sa décision. Ainsi donc, il vous informe également par une lettre recommandée ou remise en main propre, sa réponse. L’attente de la réponse ne doit pas dépasser 30 jours à compter du jour de réception de la lettre. Une non-prononciation équivaut à une acceptation.

Les 2 possibilités de réponses

Vous pouvez vous attendre à deux possibilités de réponses : l’une concerne le report et l’autre le refus de votre demande. Dans le premier cas, l’employeur peut retarder votre départ dans la limite de 6 mois à compter de la présentation de sa réponse. Il n’a pas besoin d’une justification pour mettre en exécution sa décision. L’employeur a aussi le droit de refuser votre demande de congé s’il juge que votre absence portera atteinte à son entreprise ou qu’il estime que vous pouvez devenir son concurrent. Dans ce cas, il vous avertira de son refus par une lettre recommandée ou remise en main propre. Si vous souhaitez contester cette décision, vous avez 15 jours à partir de la date de réception de ladite lettre de présenter votre contestation devant le conseil de prud’hommes.

En cas d’acceptation, y a-t-il possibilité de renouvellement ?

La réponse à cette question est positive. Si vous voulez renouveler la durée de votre congé, vous devez prévenir votre employeur, 2 mois avant le terme du congé, de la même manière que vous avez demandé votre congé. Vous avez droit à une prolongation maximale de 2 ans. Comme à la première demande, vous allez vous confronter aux trois réponses possibles : l’acceptation, le report et le refus de votre prolongation. En cas de report, l’employeur peut repousser jusqu’à 6 mois à compter de la date de renouvellement. Il peut également refuser votre demande. En tout cas, que ce soit l’acceptation, le report ou le refus de votre prolongation, tout nouvel avenant au contrat de travail doit être signé.

Plan de formation : un impératif pour 2015

Selon le Code du travail, tout employeur a une obligation envers ses employés en ce qui concerne la formation professionnelle. Les dirigeants doivent offrir une formation adéquate à leurs salariés ne serait-ce que pour les maintenir dans le coup. Avec un bon plan de formation, les employés n’auront aucun mal à suivre l’évolution et la mutation de leur poste.

Faire appel à des consultants

Pour mettre en place un plan de formation, l’entreprise peut faire appel à des consultants externes, ou se charger elle-même de l’organisation. Sachez qu’aucune loi n’exige la réalisation de ce plan de formation, mais il s’agit bel et bien d’un levier pour la compétitivité de l’entreprise.

En quoi consiste un plan de formation ?

Le plan de formation regroupe les actions de formation déterminées dans le cadre de l’administration des salariés au sein d’une entreprise. Ce plan de formation est également adopté pour faciliter certaines obligations, comme le bilan de compétences et l’approbation de l’expérience des employés. C’est l’employeur qui est en charge de mettre en œuvre le plan de formation. Les représentants des salariés ou le comité de l’entreprise doivent spécialement être avisés sur le projet pour l’année suivante. Ceci doit être fait une fois que les administrations de la formation dans une entreprise sont consultées. Le plan de formation de chaque entreprise doit être formalisé à chaque fin de l’année.

Les intérêts de mettre en œuvre un plan de formation

Un plan de formation offre plusieurs avantages au sein d’une entreprise. Il permet de reconnaître au préalable les opérations de formations que l’entreprise doit mettre en œuvre. Il rassemble également toutes les démarches que l’entreprise vient de mettre en place. C’est l’outil idéal pour mieux s’organiser. Avec un plan de formation net et clair, les personnes concernées sauront tout de suite ce qui les attend.

Les critères pour élaborer un plan de formation

En général, chaque plan de formation doit être fait à partir de deux critères. Le premier est la priorité sur l’estimation des nécessités en formation que l’employeur trouve au sein de son entreprise. En ce qui concerne le second critère, la demande doit émaner des salariés eux-mêmes. Ces demandes ont été faites soit lors des conversations entre professionnels durant l’année de travail, soit par l’intermédiaire des représentants du personnel au sein de l’entreprise.

Les étapes à suivre pour réaliser un plan de formation

Pour réaliser un plan de formation, il est important de suivre ces étapes. La première chose à faire est de développer une stratégie de formation. Ce qui doit mettre le lien entre les actions prises et la politique de l’entreprise. Après, il faut reconnaître les exigences sur la compétence et choisir les actions les plus adaptées à ce besoin. Ensuite, il faut connaître les conditions de réalisation de la formation comme les coûts, le délai et la qualité de la formation. Une fois ces étapes terminées, l’employeur doit savoir choisir le moment crucial pour la réalisation de la formation. Enfin, il faut mettre en place des stratégies de suivi et l’évolution. Ce qui permettra de mieux élaborer le prochain plan de formation.

Tout savoir sur le véhicule de fonction

Le véhicule de fonction est un véhicule de la société mis à la disposition des salariés. Il est considéré comme un avantage en nature accordé au bénéficiaire. Ce dernier peut l’utiliser aussi bien pour ses déplacements professionnels que personnels. Le véhicule de fonction est différent du véhicule de service qui n’est accessible que dans le cadre de déplacements professionnels. Le salarié qui utilise un véhicule de service doit le rapporter à la fin de la journée de travail.

L’importance du contrat

Comme tout avantage, le véhicule de fonction est inscrit dans le contrat de travail, il doit être déclaré aux services fiscaux et aux impôts. L’évaluation des charges sociales est fonction des dépenses réelles engagées par le véhicule, c’est-à-dire le coût d’acquisition, les frais kilométriques, les entretiens, les assurances, l’amortissement. L’évaluation est également fonction de l’estimation forfaitaire annuelle du véhicule qui se base sur le coût d’achat du véhicule et la taxe. Bien sûr, l’entreprise s’engage à assumer tous les coûts directs, à savoir l’achat ou la location de ces véhicules, la carte grise, les assurances, le carburant, les entretiens et les coûts indirects comme les impôts société. Sans oublier la cotisation foncière des entreprises et les charges sociales patronales dues sur le montant de l’avantage en nature.

Pour les bénéficiaires

Les bénéficiaires du véhicule de fonction doivent savoir que l’usage de ces véhicules doit être mentionné dans le contrat de travail. La restitution de ce véhicule n’est pas possible sans le consentement du salarié bénéficiaire. À nous de rappeler que l’annulation ou la suppression de l’usage d’un véhicule de fonction doit faire l’objet de modification du contrat et doit être remplacée par une revalorisation salariale. Pour faire court, la mise à la disposition du véhicule constitue un avantage dont il ne saurait être privé sans être indemnisé.

En tout cas, le bénéficiaire devrait connaître tous ses droits en ce qui concerne l’utilisation de ce véhicule. En cas de suspension de contrat de travail, il peut toujours bénéficier de ce véhicule. Même si la cour de cassation estime que le salarié licencié est disposé à effectuer son préavis, il a le droit de ne pas restituer le véhicule, même si l’employeur s’engage à lui verser une indemnité compensatrice en contrepartie, avant le terme du contrat. Ainsi donc, l’utilisation de ce véhicule est conforme à l’exécution normale du contrat qui ne prend fin qu’au terme du préavis.

Pour les employeurs

Les employeurs désireux de dispenser des véhicules de fonction à leurs salariés doivent bien décrire dans les clauses du contrat les règles auxquelles les salariés doivent se conformer en cas de suspension, qu’importe la raison. À défaut, le salarié peut continuer à bénéficier du véhicule pendant la période de suspension du contrat de travail.

3 outils pour rendre performant votre site Internet

Votre site internet est votre première vitrine et vous l’avez compris. Oui mais voilà le trafic n’augmente pas et vous ne savez pas pourquoi. Voici 3 outils pour rendre performant votre site Internet. 

Mots clés, titre, description, contenu ou encore lien pointant vers votre site, autant d’éléments qui influent sur le positionnement de votre site internet sur les moteurs de recherche. Afin d’avoir un site performant qui soit bien référencé, il vous faut bien connaître les règles. Le référencement naturel représente une très large partie du trafic des sites Internet et vous évite d’utiliser des campagnes qui peuvent rapidement devenir un coût significatif. De nombreux éléments peuvent nuire à ce fameux positionnement. Certains outils permettent de mieux analyser votre site Internet afin d’en corriger les défauts, d’améliorer votre référencement sur les moteurs de recherche et d’augmenter votre trafic de manière naturelle.

Ces analyses peuvent porter sur le poids de la page, des ressources qui ne sont pas accessibles, la taille des images, les codes commentaires, des redirections malvenues, la longueur d’un titre, les scripts trop longs, le nombre de recherche DNS, des cookies trop longs, des tirets dans l’url… Ces outils, très pratiques pour être bien référencés, vous aideront à corriger ces défauts et à mettre en place une véritable politique de référencement avec les personnes de votre équipe qui s’en occupent. Mais n’oubliez pas que c’est tout de même l’intérêt que vous portent les utilisateurs qui reste déterminant dans leur choix de venir sur votre site ou non. Vous ne pourrez pas négliger l’acquisition directe (sans passage par un moteur de recherche) ou encore l’optimisation de la navigation à l’intérieur de celui-ci. Ils pourront être déterminants sur le « fameux » taux de transformation. Vous n’avez pas encore testé ce type de logiciel ? N’attendez pas car vous pourriez être surpris par le nombre d’éléments que vous négligez et de petites erreurs alors que vous pensiez votre site parfait.

Dareboost

analyse la performance et la qualité des sites web. Vous obtiendrez un rapport intégrant les métriques liées à votre site web (temps de chargement, poids de la page…) et des conseils experts, sur l’ensemble des problèmes qui ont été détectés, personnalisés selon les technologies utilisées par votre site. Vous avez notamment la possibilité de tester la version mobilex. www.dareboost.com/fr

Myposeo

permet de connaître quotidiennement la position de votre site sur les moteurs de recherche, sur 10 pages de résultats et plus de 300 extensions de moteur. L’analyse des données de cet outil est très précise et mise en forme dans de nombreux graphiques et visualisations. La synthèse des données permet ainsi de constater et exporter les évolutions de votre référencement. fr.myposeo.com

Ranks

vous donne un tableau récapitulatif des positions de vos mots clés sur les moteurs de recherche, d’examiner la performance de chacun de vos sites à travers différents indicateurs dont vous pouvez visualiser graphiquement l’évolution sur une période donnée. Le suivi permet l’analyse détaillée du référencement de vos concurrents et le classement des acteurs de votre marché. www.ranks.fr

Comment calculer les congés payés ?

La simple définition attribuée au mot « congés » n’est autre que l’autorisation accordée à un salarié de cesser le travail. C’est également la période pendant laquelle il y a interruption de travail, à l’occasion d’une fête, des vacances ou d’une maladie. Il est à noter que c’est l’employeur qui organise les départs de congés selon les règles internes de l’entreprise.

Durant les jours de congés, l’employeur verse une indemnité de congés payés au salarié. En contrepartie, le salarié n’a pas le droit de travailler pour le compte d’un autre employeur ni d’avoir une quelconque activité rémunérée pendant ses jours de congés. En principe, la durée des congés n’est pas prolongée bien que le salarié tombe malade pendant ses jours libres. Il doit se rendre à son travail et demander à se mettre en arrêt maladie.

Le droit de congés est attribué à tous les salariés quels que soient leurs catégories ou leurs qualifications, la nature de leurs rémunérations et leurs horaires de travails. Le salarié à temps partiel a les mêmes droits que le salarié à temps complet. Généralement, les salariés ont droit à 30 jours de congés chaque année, soit 2,5 jours par mois.

Conditions d’obtention des congés

En signant le contrat de travail, un salarié doit respecter les règles fixées par le code de travail, les conventions et les accords collectifs. Pour avoir droit à des congés payés, le salarié doit effectuer au minimum 10 jours de travail effectifs chez l’employeur. Il doit prévenir son employeur au moins un mois à l’avance de la date de départ. La date de congés doit avoir le consentement des deux parties : l’employé et le salarié. Entre autres, le salarié ne peut prendre des congés à une date fixée par lui-même et ne pourrait pas partir sans l’autorisation de son employeur. Et une fois que la date est fixée, ni l’employeur ni le salarié n’ont le droit de la modifier. Toutefois, un seuil de tolérance est accordé aux conjoints ou aux personnes liées par un pacte civil de solidarité qui travaillent dans le même établissement. Ces personnes ont le droit de prendre un congé en même temps. Les nouvelles recrues peuvent prendre des congés qu’ils ont acquis sans attendre la fin de la période de référence. Un salarié a donc le droit de prendre un congé de 24 jours ouvrables, mais les congés payés ne dépassent pas 12 jours ouvrables. Tous les congés dépassant 12 jours peuvent être fractionnés par l’employeur.

Comment les calculer ?

Le principe est simple. Le décompte des jours de congés se faits en jours ouvrables, c’est-à-dire lundi au samedi. En cas d’horaire étalé, on considère quand même comme jours ouvrables les jours non travaillés.

Pour calculer les congés payés : vous devez additionner le nombre de jours ouvrables compris entre le premier et le dernier jour de congés. Mais les jours d’arrêt maladie et les jours de congés de maternité ne doivent pas être pris en compte. En ce qui concerne le calcul d’indemnité de ces congés payés, il se base sur deux les deux modes qui sont les suivants : le premier est égal à la rémunération perçue comme si le salarié avait continué à travailler. Le second est égal au 1/10ème de la rémunération totale brute perçue pendant la période de référence ; cela inclut les primes, les majorations pour heures supplémentaires.

Planifier les vacances de votre community manager

Évidemment, comme tout le monde, le community manager a également le droit de profiter des festivités à venir, que sont les fêtes de Noël et le jour de l’an. C’est un moment où tout le monde aimerait bien passer les fêtes en famille ou entre amis, pour lâcher complètement la pression. Mais le problème c’est que sans le community manager, rien ne va plus sur les réseaux sociaux. Ce serait donc une vraie perte pour une entreprise, notamment en termes de fidélisation client et de prospect.

Les soucis à prendre en compte

Le problème c’est que pour une entreprise, il n’existe bien souvent qu’un seul community manager. C’est ce qui fait que les choses sont compliquées. Evidemment, les réseaux sociaux fonctionnent en continu et ne sont pas sujets aux heures de bureau. Ces réseaux sociaux pullulent de lecteurs potentiels (vos cibles) susceptibles de se connecter à des heures très improbables. Autre problème, ne rien publier signifie perdre en crédibilité. Une page fan vide renvoie une mauvaise image de l’entreprise. Une vitrine vide laissera toujours une marque.

Comment faire, dans ce cas ?

Pour le community manager, les vacances sont proches et il faut s’apprêter à partir. Pour ce faire, il vous suffit de prendre certaines mesures. La première chose à faire est de planifier. En de telles circonstances, Facebook prévoit la possibilité de planifier les interventions. Le community manager doit ainsi rentrer une heure et une date de publication précise et tout est en ordre. La seconde chose à faire est de gérer l’urgence. Tous les messages reçus depuis une page sociale ne requièrent pas toujours une réponse dans l’heure. Un tri entre les requêtes accessoires et les demandes essentielles doit être réalisé par le manager.

Dans le même ordre d’idée que la planification et la gestion d’urgence, il faut savoir trouver un rythme de publication, et potentiellement le ralentir un peu pendant les fêtes. Cela permet au community manager de mieux s’organiser, et ce dernier doit juger s’il est en mesure ou non de poster des billets et à quelle fréquence. Pour recevoir instantanément des alertes, misez tout sur votre Smartphone, un appareil indispensable pour un community manager pour agir rapidement.

Ce qu’il faut savoir

Il est important de noter qu’il existe des comptes qui ne supportent pas une interruption momentanée des activités. Dans le cadre d’un compte qui présente plusieurs interactions journalières, comme Twitter, il serait plus judicieux de remplacer le community manager pour éviter de couper le service. Vous le savez sûrement, la confiance des internautes s’acquiert dans la constance et la durée

Chefs d’entreprise, célébrez Noël au bureau !

Les fêtes de fin d’année débarquent. Bien que Noël soit considéré depuis longtemps comme une fête familiale, les entreprises le célèbrent également. Pour certaines personnes, c’est une fête très amusante, pour d’autres, il est difficile de devoir passer ce moment avec leur dirigeant et leurs collègues. Avant de célébrer Noël au sein de votre entreprise, prenez en compte ces quelques conseils.

Pourquoi célébrer Noël au bureau ?

Si vous faites partie des dirigeants qui pensent que célébrer la fête de Noël au sein de l’entreprise n’est pas important, c’est le moment de changer d’avis. Vous devez savoir que la célébration de cette fête entre collègues peut vous apporter beaucoup de choses. La fête de Noël dans votre entreprise est l’occasion parfaite pour rassembler tous les employés. C’est un des moments au cours duquel vous pouvez faire connaissance avec chacun d’entre eux et aussi faire en sorte que personne ne se sente exclu. C’est aussi le moment parfait pour créer des liens avec vos employés. Cette occasion est également le moyen le plus approprié pour leur adresser votre reconnaissance dans le but de les motiver encore plus.

Les préparations pour une fête réussie 

Pour transformer votre bureau en un lieu très convivial et faire vivre à vos employés la magie de Noël, il est important de bien se préparer. 

  • Bien choisir les conditions : certaines personnes aiment se noyer dans la décoration, d’autres préfèrent rester dans un endroit plutôt simple, mais qui rappelle dans tous les cas que c’est Noël. Mettez des sapins avec les décorations appropriées pour faire de votre bureau un endroit convivial. En ce qui concerne le « dress-code », il ne faut pas exiger que tout le monde se mette sur son 31. Il faut juste que cela soit quelque chose de chic et de charmant. Pas besoin de porter une tenue trop chic, ni de venir déguisé en Père Noël. Soyez simples.
  • Évitez d’en faire trop : durant les fêtes de Noël entre collègues, une enquête a révélé que la plupart des personnes se saoulent et se donnent en spectacle. Pour éviter que cela n’arrive dans votre bureau, il est important pour tout le monde de maintenir une certaine modération sur l’alcool. Il est toujours important de garder une bonne image professionnelle, surtout en tant que dirigeant. Dites-vous que vous êtes néanmoins toujours au bureau et qu’il est important de bien se comporter. Il est important de maintenir une certaine retenue pour éviter les regrets au moment où vous reverrez vos collègues à la rentrée !
  • Quelques conseils : pour éviter que votre fête ne tourne à la beuverie, il est important de prendre quelques initiatives dès le début. Essayez de ne pas faire profiter à vos employés d’un open-bar. Vous pouvez également servir des boissons non alcoolisées pour éviter les débordements. N’oubliez pas également de faire en sorte que vos employés mangent suffisamment pour ne pas boire l’estomac vide. Bonnes fêtes !

Quel revenu pour le dirigeant ?

Le revenu d’un dirigeant dépend généralement de la forme de son entreprise et du régime fiscal qu’il a choisi. Bien qu’il soit le chef de l’entreprise, le dirigeant ne peut pas se payer lui-même comme il l’entend. Il faut qu’il suive les procédures qui sont conformes à la loi en vigueur. Toutefois, malgré ses limites, il existe une diversité de choix qui permettent aux dirigeants de choisir le mode de rémunération qui lui convient le mieux.

Quelles sont les options ?

Les dirigeants qui payent l’impôt sur les sociétés ont le droit de toucher une rémunération indépendante des bénéfices sociaux. Par contre, pour une entreprise individuelle ou en nom collectif qui est assujettie à l’impôt sur revenu, le dirigeant tire ses rémunérations des bénéfices de l’entreprise. Pour les dirigeants des entreprises qui sont assujettis aux impôts sur les sociétés, ils peuvent choisir entre la rémunération sous forme de salaire ou de dividende. À ces deux formes de rémunération s’ajoutent d’autres avantages comme des intérêts de compte courant, des revenus fonciers pour les propriétaires du local de l’entreprise et des avantages en nature comme les logements ou la voiture de transport. Dans certains cas, l’entreprise peut également participer au financement de la retraite du dirigeant.

Percevoir un salaire ou attendre les résultats ?

Les dirigeants salariés recevront une déduction forfaitaire de 10 %. Cela couvre les frais de déplacement, la restauration, les frais de documentation ou de formation. Mais si cela n’est pas suffisant pour le dirigeant, il peut demander une déduction des frais réels. Dans ce cas, il faut qu’il justifie sa demande. Il faut ajouter dans ces demandes les indemnités ainsi que les remboursements de frais en nature. La rémunération en dividende est plus avantageuse dans le sens où l’impôt sur le revenu sur les résultats est plus léger que le salaire d’un même montant. Pour distribuer ou classer les dividendes, il faut obtenir la décision de l’assemblée générale. Les dividendes sont soumis à différents impôts et abattements sur les revenus. Suite à cela, les bénéfices ne sont pas tout de suite partagés aux actionnaires, la loi impose aux dirigeants d’effectuer certaines réserves. On peut citer l’exemple de la réserve légale, de la réserve statuaire, de la réserve réglementée et de la réserve facultative. C’est seulement après que l’entreprise peut placer des parts dans leur capital ou dans d’autres investissements et partager le reste aux dividendes. 

Choisir la forme la plus avantageuse pour l’entreprise

Toutefois, les dividendes que le dirigeant perçoit ne sont soumis à aucun impôt ni cotisation sociale. Il est donc assez difficile de définir quelle stratégie est la plus avantageuse, car si le dirigeant opte pour un salaire régulier, celui-ci ainsi que les charges sociales qui sont liées aux salaires sont déductibles aux résultats de l’entreprise, ce qui permet de diminuer les impôts sur les revenus de la société. Il faut donc effectuer le calcul et voir si l’impôt sur le revenu imputé à l’entreprise est plus lourd que les impôts et les charges sociales que subissent les salaires des dirigeants.

Le coworking : un mode de travail en plein essor

Nouveau mode de collaboration professionnelle insufflé par la technologie, le coworking ou travail coopératif est un nouveau concept développé à San Francisco en 2005. Il regroupe deux notions. Le coworking est à la fois un espace de travail partagé et un réseau de travailleurs, ce qui encourage l’échange et l’ouverture. Le coworking couvre maintenant les cinq continents et l’on compte près de 2000 espaces dans le monde.

Des conditions de travail conviviales

Le coworking est fréquenté par différentes catégories de travailleurs qui veulent rompre leur solitude et leur isolement ! Les centres sont souvent remplis de développeurs, concepteurs, blogueurs, architectes web, consultants commerciaux ou auto-entrepreneurs. Les espaces de coworking sont appréciés pour l’harmonie et la convivialité qui s’en dégage.

La précarité du monde du travail d’aujourd’hui a renforcé le réseau de la solidarité et de partage pour pouvoir se maintenir dans l’emploi et partager des outils dédiés à cette forme de travail. En tant qu’espace de travail, les espaces de coworking ont joué un rôle prépondérant en favorisant la structuration d’un véritable réseau de cotravailleurs facilitant les échanges, la coopération et la créativité.

Ils offrent la possibilité de travailler plus efficacement et de mêler les expériences et compétences de chacun au sein de l’espace. Les professionnels qui partagent les mêmes bureaux peuvent ainsi travailler de façon collaborative sur des projets en commun. Cette situation impose des règles.

On y partage plus que de l’espace 

En tant que concept et en tant qu’espace, les coworkers baignent complètement dans le partage. Ces espaces offrent un type d’organisation du travail qui permet de partager els compétences d’un réseau de travailleurs, ce qui améliore l’échange et l’ouverture sur autrui. Puisqu’il est né de la multiplication du nombre de travailleurs indépendants souhaitant partager un lieu d’exercice de leur activité́, il facilite la créativité́ et il permet de partager bien plus que de l’espace. 

On peut tirer nombreux profits du coworking. Avant tout, il peut être un véritable atout pour les entreprises. Ces dernières ont tout à gagner en testant la formule. Pour les collaborateurs désireux de travailler à distance, le coworking fournit une solution adaptée à leurs attentes s’il se trouve à proximité de leur domicile. 

Le coworking permet également aux entreprises de s’implanter sur un autre continent, mais sans y être physiquement présente. Il permet à l’entreprise de limiter leurs dépenses immobilières et de faciliter la gestion. Avec le coworking, une entreprise peut éviter de contracter un bail. 

Les membres ont tout à gagner aussi. Leurs complémentarités permettent à chacun un accès facile, naturel et enrichissant à des ressources variées. On y trouve les pôles de compétences principaux de l’entreprise comme les créatifs, les managers, les communicants. D’où la naissance de l’échange et des collaborations.