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5 secteurs d’entrepreneuriat qui cartonnent

Pour augmenter les chances de réussite de votre entreprise, il faut cibler les secteurs porteurs. Voici donc 5 secteurs d’entrepreneuriat qui cartonnent.

1- L’aide aux personnes âgées

Les personnes âgées sont aujourd’hui indépendantes de leur famille. Nombreuses sont celles qui bénéficient d’une bonne retraite et qui souhaitent placer leur argent dans une structure qui les aidera à avoir une vie meilleure.

De plus en plus d’entreprises se sont spécialisées dans ce domaine : aide à domicile, maison de retraite privée, assistance momentanée, etc. La demande augmente progressivement, le succès de ce secteur n’est donc pas prêt de décroître de sitôt.

2- La santé électronique 

D’après un sondage de BVA effectué en 2014, plus de 21% des Français affirment avoir déjà testé un produit connecté dans le domaine de la santé. Et les chiffres continuent à croître. Accros à nos produits high-tech, nous envisageons la santé comme un secteur technologique : ceinture pour maintenir le dos, bracelet mesurant le rythme cardiaque et la pression artérielle, les applications comptant les pas effectués par jour… Rien n’est plus agréable que de pouvoir surveiller sa santé sans la contrainte du cabinet médical. L’e-santé constitue un secteur en forte progression qui risque un jour de transformer l’attente interminable des visites chez le docteur.

3- Le luxe d’occasion

Avec la crise économique, les Français renoncent aux produits chers, mais certainement pas au luxe. Pour cette raison, le domaine de la vente d’occasion de produits de luxe ne cesse de se développer. Ouvrir un site de vide-dressing devient prometteur, si l’on mesure le succès de ces espaces e-commerces qui proposent une seconde vie aux produits luxueux. Ces sites mettent en relation les vendeurs et les clients. Ils font presque la totalité de leurs gains à travers des commissions qui peuvent varier de 10 à 20 % pour une vente. Ce secteur, en plein boom, a su profiter de cette mouvance de vouloir démocratiser l’industrie VIP.

4- Les produits pour personnes allergiques

Les allergies alimentaires concernent plus de 2,4 millions de Français selon Xerfi-Precepta. Les régimes sans gluten et sans parabène connaissent aujourd’hui un succès indescriptible. Plus qu’un caprice, ces produits répondent à un réel besoin. La personne allergique est prête à investir le montant qu’il faut dans un aliment ou une préparation qui préservera sa santé et son bien-être. Le bio est partout : petite boutique de proximité, vente en ligne, vente à domicile, ce marché semble un domaine prometteur.

5- L’écologie

Dire que « l’écologie » incarne un domaine en plein essor semble une idéologie abstraite. Pourtant, les gens sont de plus en plus sensibles à l’environnement. Les équipements de recyclage, les produits de beauté bio, la voiture électrique, etc. La réussite de ces produits montre une fois de plus qu’il s’agit réellement d’un domaine qui fonctionne et qui n’a pas prévu de décliner.

Quelles sont les régions dynamiques en matière de coworking ?

En France, le coworking est un phénomène qui prend de plus en plus d’envergure. Nés en 2005 aux Etats-Unis, ces espaces de travail partagés sont aujourd’hui plus répandus en Europe, notamment en Allemagne et en France, avec plus de 1000 sites sur tout le continent. La France est d’ailleurs le 6e pays au monde à utiliser ce système de travail coopératif puisqu’elle compte environ 10 000 utilisateurs répartis sur 250 sites. Si Paris sort du lot, Lyon, Marseille, Bordeaux et Nantes suivent de près.

Paris, précurseur du coworking en France

Comme souvent, l’Ile-de-France et surtout Paris sont des précurseurs en la matière, avec plus de 92 espaces de coworking comme le Beetop à Clichy, un site qui offre plus de 6500 m² d’installations bureautiques.

Lancé en 2008 à Paris, le premier espace de coworking français a fait de nombreux émules. Cœur économique du pays, la région Ile-de-France est naturellement la plus dynamique, aussi en matière de coworking. Elle compte à elle seule plus d’un tiers des espaces de travail partagés, dont une cinquantaine pour la seule ville de Paris. La capitale a su recycler d’anciens entrepôts ou des usines abandonnées pour les transformer en nouveaux espaces de travail dynamiques. Avec un ticket d’entrée moyen de 350 euros, Paris offre des lieux et des concepts de coworking atypiques qui participent à la croissance du secteur. Un entrepôt désaffecté de la SNCF dans le 18e arrondissement, une ferme rénovée du XVIIe siècle dans le 11e arrondissement ou encore les locaux d’une ancienne société de montgolfières sont autant de lieux transformés en espaces de coworking.

En province, quatre régions se démarquent

Le développement de ces espaces a tendance à se superposer au dynamisme économique des régions. Ainsi, les régions Rhône-Alpes et PACA sont les deux plus dynamique en matière de coworking, avec respectivement 38 et 36 lieux autours des agglomérations lyonnaises et marseillaises. Ces deux villes ont développé des concepts intéressant comme la Ruche à Marseille qui offre 400m² de bureaux et une micro-crèche pour les enfants des coworkers.

La région Aquitaine arrive en troisième position avec 25 espaces de coworking présents autour de Bordeaux. Les Pays de la Loire arrivent en fin du top 5 avec plus d’une vingtaine de lieux principalement installés dans les agglomérations comme Nantes.

Des villes moyennes de lancent dans l’aventure

Si la croissance des espaces de coworking est plus faible en province, des villes moyennes se lancent tout de même dans l’aventure. Le Nord-Pas-de-Calais dispose d’environ une quinzaine d’espaces répartis entre les villes de Lille, Roubaix et Calais.

Suivent l’Alsace, la Bretagne et la région Midi-Pyrénées avec chacune une dizaine de lieux de travail partagés. Si les villes moyennes disposent de moins d’espaces de coworking, leur succès est au rendez-vous et leur développement reste très dynamique. À Strasbourg, la Plage digitale créée en 2012 s’est récemment agrandie sur plus de 2000m² et propose désormais deux espaces de coworking, ce qui témoigne de son succès.

Créer sa Boîte en Alsace – Edition du Haut-Rhin

Descriptif de l’événement

Les CCI de Colmar et du Centre-Alsace et Sud-Alsace Mulhouse, ainsi que la Chambre de Métiers d’Alsace organisent conjointement cet évènement unique dans le Haut-Rhin. Cette manifestation rassemble le même jour, en un même lieu, les acteurs incontournables de la création et de la reprise d’entreprise, répartis en espaces thématiques : « accompagnement», « aides et financements », « implantation et équipement », « juridiques et réglementaires », « reprise », « marketing et communication »…

Des conférences et micro-conférences sont également au programme. Elles sont autant d’occasions de faire un zoom sur des questions spécifiques que se posent tout créateur ou repreneur.

Lieu de l’événement

Parc des Expositions de Colmar

Dates et horaires de l’événement

18 novembre 2015 de 9h00 à 17h00

A qui s’adresse cet événement ?

Le salon s’adresse non seulement aux créateurs et repreneurs dans les secteurs du commerce, de l’industrie et des services, mais également aux entrepreneurs dans les secteurs de l’artisanat.
Ouvert à tous, cet événement a pour objectif de permettre aux entrepreneurs de demain de bâtir, développer et matérialiser leur projet dans les meilleures conditions.

Frais de participation

Entrée libre et gratuite

Site internet

http://www.creer-sa-boite-en-alsace.fr

Lien d’inscription

http://www.creer-sa-boite-en-alsace.fr

4 grandes entreprises qui appliquent la méthodologie Lean

Voici 4 grandes entreprises qui appliquent la méthodologie Lean.

Facebook

L’entreprise prône le « failfast » : cette stratégie consiste à essayer le lancement d’un projet, obtenir rapidement des retours auprès des clients et vite adapter le produit avant que cela n’engendre plus de dépenses. L’entreprise dote chaque projet de moyens conséquents… De même, l’itération est inscrite dans l’ADN de la société puisqu’une nouvelle version du réseau social est lancée tous les mardis ! Cela équivaut à près de 12 000 modifications par mois, ce qui est colossal…

Dropbox

Logiciel de partage de fichiers en ligne, il est désormais connu de tous. Drew Houston, son PDG et fondateur a mis en place la méthodologie Lean notamment pour mettre à jour son produit beaucoup plus rapidement, dans le but de tester l’attente réelle des consommateurs. Le fondateur a proposé un prototype en vidéo pour obtenir des retours et l’a ensuite développé en ne s’attachant qu’à l’essentiel : proposer un produit simple et fonctionnel. En appliquant les principes du Lean Start-up, Dropbox est passée de 100 000 à 4 millions d’utilisateurs en 15 mois.

Groupon

Le site de coupons et deals le plus connu au monde a démarré avec un simple blog. En 2007, Groupon s’est ainsi lancé avec The Point, un site qui entendait regrouper les consommateurs pour les faire peser dans des décisions économiques, politiques, caritatives, le tout au service d’un but commun… Aujourd’hui l’entreprise possède le service que l’on connaît, qui utilise toujours l’effet de masse, mais sous forme de ventes événementielles. La mise en place de la philosophie Lean au tout début du projet a permis à l’entreprise de prouver que le concept de massification pouvait fonctionner, même s’il était encore imparfait !

Zappos 

C’est le précurseur de la vente de vêtements et chaussures en ligne. Au début de l’aventure, le fondateur de l’entreprise a testé son idée avec quelques dollars seulement. Il a signé un accord avec un petit magasin de chaussures local, qui l’a autorisé à prendre des photos de ses produits et à les vendre à prix coûtant sur un site très simple. à chaque vente, il allait acheter lui-même la paire de chaussures dans le petit magasin et l’envoyait par voie postale, ce qui a eu pour conséquence de lui apporter des informations claires sur l’intérêt des clients pour la vente en ligne. D’un investissement de 0 $, Zappos a été finalement rachetée par Amazon en 2009 pour 1,2 milliard… !

Ces entreprises qui ont changé de business model en cours de route…

Voici quelques entreprises qui ont décidé de changer de Business model en cours de route. Focus.

Criteo

L’entreprise tricolore championne du reciblage publicitaire personnalisé sur Internet n’a pas toujours connu le franc succès et les 444 millions de chiffre d’affaires qu’elle affiche aujourd’hui. Au début, la société a cherché ses marques et n’a pas généré de chiffre d’affaires avant l’année 2008. Les responsables ont d’ailleurs opéré un changement de business model pour être plus rentable, puisqu’ils se sont essayés à la recommandation personnalisée auprès des internautes visiteurs des sites e-commerce, avant de finalement se consacrer exclusivement à la publicité ciblée. Un pari gagnant !

Geolid (Voisineo)

Cette start-up a vu le jour en 2008 et a longtemps défrayé la chronique, avec son offre Voisineo, qui proposait un réseau social dédié au voisinage. Concrètement, il s’agissait d’une plateforme qui mettait en relation les voisins, que ce soit dans le but de se rendre des services ou simplement de faire connaissance. Parallèlement, le fondateur développe une solution similaire, mais dédiée au B to B, qui propose aux professionnels de la publicité locale sur Internet. 1 an et demi plus tard, le constat est clair : la plateforme est plus rentable. Il se concentre donc uniquement sur ce créneau et change le nom en 2013 pour devenir Geolid.

Copainsdavant.com

Ce site, tout le monde le connaît. Né en 2001, il constitue le précurseur des réseaux sociaux tels que nous les connaissons aujourd’hui. Gratuit au début, le site est ensuite passé sur une offre payante en 2004, ce qui a eu pour conséquence de faire chuter les statistiques de la plateforme, d’autant que l’arrivée de Facebook à l’époque a grandement concurrencé le réseau. Le groupe éditeur du site, CCM Benchmark, a opéré un changement de business model en 2007, repassant le site sur une prestation gratuite et se rémunérant par la publicité. Progressivement, le repositionnement du site s’opère.

Le groupe BIC

Société historique (fondée en 1945), cotée en bourse, l’entreprise BIC est principalement connue pour ses produits en papeterie, ainsi que pour ses rasoirs, briquets et téléphones portables. L’année 1973 a marqué le moment où le groupe a diversifié ses activités, puisqu’il a commercialisé à ce moment là son premier briquet à flamme réglable. à la fin des années 1980, le groupe s’essaye au marché de la parfumerie en vendant des flacons via leur réseau de distributeur, les bureaux de tabac. Malheureusement, c’est un échec et le groupe doit concentrer ses activités sur ce qui a fait son succès jusque là.

10 conseils si vous voulez, comme VaïVaï, importer un concept depuis l’étranger

Voici 10 conseils si vous voulez, comme VaïVaï, importer un concept depuis l’étranger :

RENSEIGNEZ-VOUS GRÂCE À INTERNET

C’est fou le nombre de choses qu’on peut faire depuis son bureau grâce à la technologie !

DÉTERMINEZ SI LE PRODUIT…

…que vous voulez importer est 100 % adapté au marché français. Sinon, faites le vous-même !

NE NÉGLIGEZ PAS LE MARKETING

C’est très important d’y réfléchir dans la phase amont du projet.

ALLEZ VOIR LA SOURCE.

Il faut se renseigner sur les personnes qui seront vos producteurs de matières premières. Vérifiez que l’environnement qui les entoure est sain et qu’il n y a rien de suspect dans les alentours. 

PARLEZ DE VOTRE PROJET AUTOUR DE VOUS

Sollicitez les personnes qui travaillent dans le même secteur que le vôtre. Leurs conseils valent de l’or.

IDENTIFIEZ LES FACTEURS CLÉS

Priorisez. C’est toujours mieux de fonctionner de manière à régler les priorités en premier lieu avant de s’attaquer aux autres problématiques. 

TRAVAILLEZ AVEC DES PROFESSIONNELS

Cela coûte plus cher mais permet d’avoir des résultats de qualité. 

IMPLIQUEZ VOS CLIENTS LE PLUS TÔT POSSIBLE

Après vous avoir donné des conseils, ils auront du mal à refuser lorsque vous leur proposerez une collaboration. 

INTÉGREZ VOTRE PROJET DANS UN PROJET DE VIE

Faites en sorte que votre entreprise ait un rapport direct avec ce que vous aimez. Cela pour vous donner l’envie d’y rester le plus longtemps possible. 

MONTEZ UNE BOITE QUE VOUS NE VOUDRIEZ JAMAIS VENDRE

Aimez votre entreprise au point de ne pas vouloir la céder !

Comment créer un blog à succès ?

Les blogs demeurent nombreux sur la toile. Pourtant, très peu d’entre eux sont considérés comme des blogs à succès. Pour captiver l’intérêt des internautes, des directives précises doivent être mises en œuvre. Quelles sont les techniques et astuces à appliquer pour booster votre blog ?

Pensez à votre blog comme à une entreprise

Avant de vous lancer dans la construction d’un blog, il demeure essentiel d’en définir les objectifs. Pour cela, posez-vous les bonnes questions :

  • dans quel but je tiens ce blog ?
  • quelle est l’utilité de ce blog pour moi et pour les internautes ?
  • qui va gérer ce blog ?

Il existe une grande différence entre l’objectif et la thématique d’un blog. L’objectif est centré sur les bénéfices que le blog peut vous apporter en termes de business (amélioration de l’image de marque, augmentation du trafic web sur votre site marchand, etc.), alors que la thématique concerne votre audience. Essayez donc de trouver le contenu approprié pour satisfaire vos visiteurs potentiels.

Avant de définir clairement une thématique, il est important d’analyser les blogs concurrents. Pour créer un blog à succès, celui-ci doit se distinguer des autres et donner une véritable valeur ajoutée en termes de contenu. Le thème idéal pour un blog reste le compromis parfait entre un sujet qui vous passionne et une idée novatrice qui vous permettra de vous différencier des autres !

Le contenu, le contenu et… le contenu !

Même si vous créez un blog à des fins commerciales, vous ne devez pas en négliger le contenu rédactionnel et graphique. Pour le graphisme de votre blog, optez pour un design simple, mais néanmoins structuré. Evitez la profusion de couleurs et les fioritures qui ne feront qu’encombrer vos pages. Plus simple est votre blog, plus professionnel il paraîtra !

En ce qui concerne le contenu rédactionnel, il demeure essentiel de créer des textes de qualité qui comportent une valeur supplémentaire pour le lecteur.
Cela signifie que vous devez présenter des informations uniques et personnalisées. Mieux vos textes seront écrits, plus vous gagnerez la confiance de vos lecteurs.

Par ailleurs, pensez qu’il vous faudra proposer de l’information gratuite. Il s’agit d’une astuce incontournable si vous souhaitez réussir dans le « blogging ». Tissez des liens avec vos visiteurs, apprenez à les fidéliser en leur délivrant des conseils et des informations qu’ils pourront mettre en pratique immédiatement. Gardez toujours en tête que c’est de cette manière que les visiteurs se transforment en clients.

Quelles astuces pour améliorer la visibilité de votre blog ?

Avec le nombre croissant de blogs sur la toile, de nouvelles techniques sont apparues pour assurer leur visibilité et popularité sur les moteurs de recherche. Voici quelques conseils :

  • utilisez Technorati, une plateforme qui aide les bloggeurs à mettre en avant leurs contenus ;
  • créez une newsletter pour informer vos visiteurs de toutes les nouvelles publications ;
  • établissez un suivi précis de la newsletter (nombre de personnes inscrites, articles les plus visités, etc.) pour perfectionner vos méthodes au fur et à mesure ;
  • en cas d’hésitation, confiez la mise en forme de votre blog à des professionnels comme Amen 
  • travaillez continuellement le SEO (référencement naturel) de vos articles
  • choisissez pour vos articles des titres accrocheurs et bien travaillés, qui comportent de nombreux mots-clés

Prendre soin de son site reste un travail de longue haleine. Si votre blog atteint une belle visibilité, il vous faudra la conserver ! Parmi les erreurs à ne pas faire, pensez à ne pas accumuler trop de bannières publicitaires, au risque de perdre vos visiteurs plus rapidement que vous ne le soupçonnez.
L’intérêt de l’internaute doit constituer votre objectif premier, quoi qu’il advienne. C’est à ce prix que vous développerez un blog à succès.

Ai-je besoin d’une assurance entreprise en tant que micro-entrepreneur ?

Une assurance professionnelle est souvent essentielle pour les micro-entrepreneurs, car elle couvre les aléas concernant directement les travailleurs, ou les dommages subis ou causés. Pour limiter les risques financiers liés à leur activité, les besoins de chaque entrepreneur doivent être définis au plus tôt, auprès d’un courtier ou d’une compagnie d’assurance. Focus.

Une assurance entreprise parfois obligatoire

Le statut de micro-entrepreneur, anciennement auto-entrepreneur, n’est soumis à aucune obligation d’assurance. Cependant, les activités réglementées, dont l’exercice est soumis à conditions, sont souvent contraintes à souscrire un contrat, qui viendra couvrir le cas échéant les dommages que peut engendrer l’activité professionnelle de la personne. Ainsi, dans le secteur du bâtiment, l’assurance décennale demeure obligatoire. Cette dernière couvrira le micro-entrepreneur durant 10 années, période pendant laquelle il est tenu responsable d’éventuels dommages causés par des travaux pouvant affecter la solidité d’une construction. Les tatoueurs, en raison du caractère irrémédiable de leur travail et des conséquences sanitaires que celui-ci peut engendrer, doivent posséder une assurance responsabilité civile professionnelle, couvrant les dommages qu’eux-mêmes ou leur matériel peuvent causer sur leurs clients. L’utilisation de véhicules ou de locaux à des fins professionnelles impose également la souscription d’une assurance dans l’éventualité de dommages causés aux tiers.

Les assurances facultatives

Des contrats facultatifs prémunissent également les micro-entrepreneurs contre une multitude de risques. Ils peuvent par exemple assurer leurs stocks ou leur matériel, dans le but de toucher une indemnité en cas de pertes ou de dégâts. L’assurance perte d’exploitation permet, quant à elle, de surmonter les difficultés financières liées à un sinistre. On trouve également des assurances de protection juridique, qui permettent d’apporter conseils et appui financier à l’entrepreneur en cas de litige avec une tierce personne. L’assurance responsabilité civile, fortement conseillée, permet quant à elle de parer à l’éventualité de préjudices corporels, matériels ou immatériels causés par le micro-entrepreneur à des tiers dans le cadre de son activité.

Souscrire ou non une assurance facultative ?

Avant de choisir de contracter une assurance, il est primordial de mesurer les risques encourus par l’entreprise et de cerner vos besoins en la matière. Pour certains types d’activités, il est peu probable voire impossible de causer des dommages, et les frais liés à des dégâts sur le matériel sont aisément surmontables. Ainsi, un micro-entrepreneur travaillant depuis son domicile en tant que graphiste et n’accueillant aucun client supportera facilement les coûts liés à la dégradation de son matériel (à savoir un ordinateur) et n’a donc a priori pas nécessairement besoin d’une assurance. De même, pensez qu’il demeure préférable de ne pas souscrire de contrat d’assurance si les dépenses que cela engendrerait sont supérieures au montant éventuel d’une indemnisation.

En revanche, en ce qui concerne les micro-entreprises pour lesquelles le risque de dommage demeure bien réel, l’assurance responsabilité civile professionnelle constitue la couverture minimale requise afin d’éviter de graves problèmes financiers en cas de dommages causé à un tiers dans le cadre de votre activité. Dans tous les cas, le risque portant sur le micro-entrepreneur lui-même subsiste. Pour tous les types d’activités, il est donc intéressant de souscrire une assurance à la personne, afin de prévenir les conséquences d’une cessation d’activité ou de problèmes de santé impactant le fonctionnement de l’entreprise.

Pour trouver la bonne assurance au meilleur tarif, il existe des solutions autres que les courtiers en assurance afin d’obtenir immédiatement des devis : les comparateurs. Choisir-Malin.fr est l’un d’entre eux. Son fonctionnement est simple, il est 100% gratuit et sans engagement. Visitez son site sur : https://choisir-malin.fr/assurance/entreprise

A lire aussi : Comment choisir son assurance professionnelle ?

Collecter des informations pour son CRM via Twitter, c’est possible ?

Les réseaux sociaux, en raison de la place importante qu’ils occupent dans le quotidien des consommateurs, font désormais partie intégrante de la vie des entreprises. Si on sait les maîtriser, on augmente facilement son portefeuille client. Mais est-il vraiment possible d’y collecter des informations pour son CRM ?

CRM et Twitter : une alliance gagnante

Le CRM (« Customer Relationship Management » ou gestion de la relation client) représente bien souvent un logiciel de traitement d’informations client, utilisées par les entreprises. Ce système permet d’avoir une analyse efficace de toutes les données clients et prospects. Nombreux sont les moyens mis à la disposition des entrepreneurs pour enrichir leur CRM. Parmi eux : le réseau social Twitter. En plus d’être l’un des plus grands médias sociaux, il peut également servir d’un bon canal de communication. Twitter véhicule une tonne d’informations privées et professionnelles concernant les utilisateurs. En y accédant, les entreprises peuvent collecter le maximum d’informations qu’elles souhaitent sur leurs clients, actuels et à venir.

Social CRM : l’allié pour profiter au maximum de Twitter

Afin d’exploiter les données provenant des réseaux sociaux, et notamment de Twitter, mettre en place une stratégie de Social CRM reste la solution à privilégier. La pratique consiste à enrichir le CRM traditionnel en y agrégeant le contenu des réseaux sociaux. Bien souvent, les logiciels et autres outils de Social CRM ont l’avantage de fournir une interface unique de gestion, qui permet d’avoir un accès direct aux réseaux sociaux, sans avoir nécessairement à se connecter tout le temps. Avec une bonne maîtrise de Twitter, on peut facilement alimenter son Social CRM. Les logiciels associent la plupart du temps les conversations présentes sur Twitter à un client référencé dans votre base CRM. Efficace !

Les outils du social CRM

Il existe plusieurs outils pratiques qui permettent d’enrichir ses plateformes de Social CRM. Le système d’ajout d’une « carte de génération » aux tweets permet par exemple à tous les salariés, clients et prestataires, par un simple clic, d’exprimer plus facilement leurs opinions sur l’organisation. En plus d’obtenir des feedbacks sur l’efficacité des produits ou des services que votre entreprise offre, vous pourrez y obtenir les coordonnées de futurs clients. Les données sont centralisées et peuvent être mises à jour régulièrement.

Les grandes enseignes usant du Social CRM

Certains grands comptes ont déjà éprouvé l’efficacité d’une stratégie de Social CRM. Microsoft intègre par exemple déjà Twitter pour optimiser sa relation clientèle. Cela lui permet d’être au courant en temps réel de tous les commentaires à son propos afin de pouvoir réagir rapidement. En retour, cette grande firme diffuse également des informations pour son public via les réseaux sociaux. L’outil de Social CRM lui permet de cibler au mieux les demandes et attentes des clients, et donc d’établir un planning de publication précis et en accord avec les besoins de sa cible. Durant le salon Time2Marketing, Allianz ventait également les avantages que lui a procurés l’alliance de Twitter avec son CRM. Dans le même ordre d’idée, BNP Paribas a lancé un compte Twitter spécialement dédié au SAV client.

10 exemples de start-up qui cartonnent dans le domaine gastronomique

Le marché de la gastronomie en France est considérable : selon une source de la NPD (National Purchase Diary), ce dernier vaudrait 35 milliards d’euros (en 2014. C’est aussi un secteur très porteur en termes de création d’emplois et ne cesse d’évoluer d’année en année et les start-up l’ont bien compris en profitant de cette vague de succès. Voici dix start-up et entreprises innovantes qui cartonnent dans le domaine gastronomique.

1. Ça croustille chez Jimini’s 

L’idée est assez originale pour cette start-up de 22 800 euros qui modifie entièrement l’apéritif. Fini les cacahuètes et place aux croustillants aux… insectes comestibles ! C’est une idée assez exotique pour le continent, mais depuis 2012, Bastien et Clément ont modernisé ce moment de partage entre amis en assaisonnant les criquets d’une sauce mexicaine ou grecque par exemple. Leur création est survenue après avoir suivi les séries de télé-réalité où le principe consistait à manger des insectes pour aller au-delà de ses limites. Tous les insectes proviennent du Pays-Bas, n’ayant pas pour l’instant, la possibilité de faire des cultures en France.

2. Des plats (presque) préparés avec Cook Angels 

Depuis 2013, l’entreprise Cook Angels s’occupe de faire livrer à domicile tous les ingrédients nécessaires, déjà dosés, pour réaliser des recettes facilement et rapidement. Ce concept a vu le jour à la même date que celle de la Journée de la Femme, et a été lancé par deux fondatrices : Charlotte et Joy. Les recettes sont complètes, le client peut commander l’entrée, le plat et le dessert en quelques clics. La jeune pousse innovante réalise un capital de 12 863 euros, les créatrices de cette start-up voulaient faciliter le quotidien de certaines personnes qui n’ont pas le temps de cuisiner. C’est aussi l’occasion de découvrir de nouvelles recettes délicieuses.

3. A la découverte chez Les Nouveaux Fromagers 

Cette start-up est un site internet, créé sous le modèle de vente de « box », c’est-à-dire des livraisons sous forme de coffrets ou de kits. Ici, les fondateurs Arthur Bernard et Olivier Birade ont choisi de faire découvrir les différents fromages fabriqués en France. Chaque mois, par le biais d’un abonnement, les clients reçoivent une boîte, avec les produits bien conservés, mais aussi un livret d’explication pour chaque fromage contenu dans la boîte. Cette société qui a atteint un capital de 10 000 euros, a démarré en 2013, avec l’appui de nombreux patrons comme Marc Simoncini, dirigeant de Meetic (site de rencontres), Jacques-Antoine Granjon, qui dirige Vente Privée, et enfin le patron de Free, Xavier Neil.

4. Des rencontres gastronomiques avec Beyond Croissant 

Rattaché en 2014 avec l’entreprise Cookening, Beyond Croissant était au départ une collaboration gastronomique : les clients allaient dîner chez d’autres personnes afin de partager un moment culinaire ensemble et déguster des recettes faites maison. Sarah-Lou et Aurélie ont décidé de créer cette société en 2012 car elles ont remarqué qu’il était parfois difficile de rencontrer des gens pour partager un repas. Après avoir réalisé 10 000 euros de capital, Cookening, une entreprise dans la même optique, prend cette start-up sous son aile.

5. La Ruche qui dit Oui, du producteur au consommateur 

Fondée en 2010 par Guilhem Chéron et aidée par deux collaborateurs : Marc-David Choukraun et Mounir Mahjoubi, cette start-up permet aux internautes d’acheter des produits directement au producteur. Cela permet de savoir exactement où les produits achetés proviennent. Le concept est d’autant plus convivial puisqu’en allant chercher votre produit, vous pourrez discuter avec le producteur. La Ruche qui dit Oui est donc une entreprise sociale et collaborative, avec un capital de 5 875 euros.

6. L’entretien du voisinage chez Super Marmite 

Pour ceux qui n’ont pas le temps de se préparer à manger, ils peuvent se rendre sur le site Super Marmite pour chercher un voisin, qui lui propose de venir déjeuner ou dîner, en payant simplement sa part. Les informations sont précises concernant l’heure à laquelle le repas débute, ainsi que la ville où il se déroule. Olivier Desmoulins a créé une start-up sociale, qui permet de profiter de cette occasion pour faire la connaissance de ses voisins. Avec 2 845 euros de capital depuis sa création, en 2011, l’entreprise est le premier réseau social gourmand.

7. Des chefs recommandés par La Belle Assiette

Lors de soirées entre amis, ou en famille, il est difficile de cuisiner des bons plats, et de rester avec ses convives. Cette start-up fondée en 2012 par Stephen Leguillon – permet aux clients de trouver un chef qui viendra à domicile pour réaliser le repas. Avec un choix de près de 600 chefs, il est important de fournir la ville, la date et l’heure à laquelle le cuisinier doit commencer son service. Avec un capital de 2562 euros, le fondateur a su se faire un nom dans le monde de la gastronomie avec les blogs et les journaux.

8. Spok, la cantine créative 

Arrivé à Marseille en 2012, le restaurant Spok, créé par Christophe Juville permet aux clients de déjeuner sainement dans une restauration rapide. De nombreuses collations sont proposées, comme des salades, des bouillons, des sandwichs, afin de permettre à ceux qui n’ont pas le temps de manger et de pouvoir déguster un bon petit plat rapidement. À la suite de ce petit succès, plusieurs restaurants s’implantent en France : il en existe à Lille, Paris, Toulon, Clermont-Ferrand, ou encore Bordeaux.

9. Des réservations rapides grâce à Smart is Gourmet 

Grâce à deux amis, Stéphane, un pro en management gastronomique, et Sébastien, qui excelle dans le développement web, la start-up Smart is Gourmet révolutionnent la recherche de restaurant pour les clients qui souhaitent réserver (la soirée de lancement a été réalisée en mai 2015). Le principe est simple : il suffit de mentionner le lieu choisi, la date prévue et le nombre de personnes qui viendront dîner. Grâce à ce site, vous pourrez négocier avec le chef pour obtenir des remises afin de réserver dans les meilleurs restaurants de la ville. Quelques restaurants mis en ligne seront proposés aux internautes, avec des photos.

10. Le hamburger : véritable œuvre d’art chez Paris New York (ou PNY) 

Le fondateur de ce restaurant, Rudy, dont le premier établissement se trouve à Saint-Denis, propose aux consommateurs de savourer un délicieux hamburger de qualité. Le décor est impressionnant, avec de grandes lumières au plafond, où tous les plats sont réalisés dès la commande passée, rien ne sera confectionné à l’avance. Depuis 2012, il est possible de découvrir la cuisine franco-américaine sans réservation, avec un choix de recettes savoureuses et une viande de qualité.