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Ces millionnaires qui ont tous moins de 30 ans

La réussite n’est pas forcément une question d’âge et de longue expérience de vie. C’est un préjugé assez conservateur et facilement véhiculé au sein de l’hexagone, pays montré du doigt pour ne pas suffisamment porter ses jeunes talents, qui eux, n’hésitent pas à s’exporter ou à persévérer à contre-courant pour incarner les leaders de l’économie de demain. En voici la preuve avec ces personnes devenues entrepreneurs et déjà millionnaires à moins de 30 ans.

Daniel Marhely, 29 ans, cofondateur de DEEZER, entreprise de musique en ligne, est actuellement à la tête de 125 millions d’euros

Eric Bennephtali, 29 ans, se partage, avec ses 2 collègues cofondateurs de MEDIASTAY (monétisation de jeux en ligne), une fortune évaluée à 30 MILLIONS d’euros

– 26 MILLIONS d’euros pour Simon Istolanien, 30 ans, cofondateurs de MYMAJORCOMPANY (plateforme de crowfunding)

Jules Minvielle, 28 ans, a fondé MOZOO-SURIKATE (marketing mobile), ce qui lui vaut d’être à la tête de 9 MILLIONS d’euros

Benjamin Cardoso, 26 ans, fondateur de LECAB (voiture de tourisme avec chauffeur) et une cagnotte de 8 MILLIONS d’euros générés par sa brillante idée et son savoir-faire

– 8 MILLIONS d’euros pour Loïc Jaurès, 28 ans, Olivier Reynaud, 32 ans, et Loïc Soubeyrand, 27 ans, cofondateurs de TEADS, une plateforme vidéo

– 8 MILLIONS d’euros pour Alexandre Malsch, 28 ans et Jérémy Nicolas, 30 ans, cofondateurs d’EEPLE MELTY GROUP (médias)

Thierry Debarnot, 29 ans, cofondateur de DIGISCHOOL-KREACTIVE, plateforme de formation en ligne, détient aujoud’hui 6 Millions d’euros

Hakim Benotmane, 29 ans, fondateur de l’entreprise de restauration NABAB KEBAB a , quant à lui, 6 MILLIONS d’euros.

Basés en France ou à l’étranger, les français savent incarner la réussite avant 30 ans. 10 d’entre eux, désormais installés dans le décor économique européen, ont choisi internet pour se développer et asseoir une image d’entrepreneur avéré.

Nous retrouvons Jules Vo Dinh, fondateur de Typhon ; Ludovic Huraux, fondateur d’Attractive World ; Alexandre Malsch, encore une fois, fondateur de Melty ; Stéphanie Pélaprat, fondatrice de Restopolitan ; Julien Hervouët, fondateur de iAdvize ; Mickael Froger, cofondateur de Lengow ; Celine Lazorthes, fondatrice de Leetchi ; François Goube, cofondateur de Allgoob ; Eric Bennephtali, à nouveau, co fondateur de Mediastay ; Thierry Debarnot, fondateur de Media Etudiant.

Qu’ils soient au bénéfice de diplômes obtenus au sein d’écoles ou d’universités prestigieuses ; qu’ils soient héritier d’un savoir-faire familial ou simplement autodidacte, nombreux sont ceux qui savent se frayer un chemin vers le succès de leur entreprise, et ce avant la barre symbolique des 30 ans. Croire en ses idées et oser les mettre en action peuvent faire la différence.

Le pionnier des logiciels de gestion en mode SaaS !

A 52 ans, Jean-Luc Delrieu est à la tête de la société JLOGICIELS depuis 2005. Ingénieur informatique de formation, il a fait un saut dans l’entrepreneuriat en 1999 pour s’imposer progressivement comme le pionnier en matière de logiciels de gestion. Rencontre.

Après l’obtention de son DEA en informatique en 1988, le toulousain Jean-Luc Delrieu profite d’une belle opportunité professionnelle et entre l’année d’après chez le géant Thalès en tant que chef de projet, à seulement 26 ans. Mais déjà, la création d’entreprise titille son esprit. « J’ai hésité à me lancer directement après les études mais je n’ai pas pu résister à la belle opportunité de poste qui s’est offerte à moi à l’époque », dévoile-t-il.

10 ans de salariat, puis le grand saut

Rapidement chez Thalès, Jean-Luc accède à de belles responsabilités. Un atout et un inconvénient en même temps, car il ne voit plus quelles pourraient être les possibilités d’évoluer au sein de l’entreprise. « J’ai une vraie passion pour la technique et ma seule possibilité d’évolution chez Thalès consistait à devenir responsable d’une entité de personnes, ce qui m’aurait éloigné de la technologie », explique-t-il. Partant de ce constat, et conscient qu’il a un potentiel certain dans un domaine de l’informatique en pleine ébullition, il entame un congé pour création d’entreprise pendant 1 an, qu’il renouvelle une fois avant de démissionner. Nous sommes en 1999, Jean-Luc lance sa société « AFPMicro ».

Du magasin d‘informatique au développement de logiciels

Au départ, AFPMicro est un magasin d’informatique, que Jean-Luc a créé avec un cousin. Très rapidement, certaines entreprises de la région toulousaine demandent à l’entrepreneur de créer des logiciels de facturation, ne trouvant pas leur bonheur dans l’offre existante. L’expérience technologique de Jean-Luc l’amène également à créer des sites internet pour le compte de quelques clients, et cette partie dédiée au développement de solutions réalise vite la majeure partie de la marge de l’entreprise au détriment de la partie « vente de matériel ». En janvier 2005, Jean-Luc décide de séparer clairement cette activité et crée la marque JLOGICIELS.

Trois étapes marquantes dans le développement de l’entreprise

Entre 2005 et 2007, l’entrepreneur s’attache d’abord à développer ses logiciels de la façon la plus efficace possible dans la région toulousaine. Puis, à partir de janvier 2008, il démarre une expansion nationale de son business. Pour maximiser l’impact de son service et toucher un maximum de clients, Jean-Luc Delrieu décide de créer une offre packagée contenant l’ensemble de ses logiciels de gestion et de les mettre à disposition des internautes en téléchargement sur les plateformes de l’époque comme télécharger.com. Leur utilisation est gratuite le temps d’une période d’essai, et le client paye s’il désire continuer au-delà. Le succès est immédiat. Jean-Luc se réjouit : « Nous avons enregistré à l’époque plus d’un nouveau client par jour au niveau national ! » Aujourd’hui, l’entrepreneur travaille beaucoup avec la région Ile-de-France, le Sud-Est et le Nord. La région toulousaine n’est plus que la 4ème ou 5ème région ciblée par son business.

En 2010, l’entrepreneur décide de convertir son offre logicielle en logiciel en ligne, une sorte de mode « SaaS » avant l’heure, en somme ! « Au départ, la vente de logiciels en ligne ne constituait pas une grosse part du chiffre d’affaires, mais la tendance s’est inversée au fil du temps », décrit Jean-Luc. « Nous avons profité du boom du smartphone, car toutes nos solutions en lignes fonctionnent sur tous les périphériques. »

Une partie de l’activité de l’entreprise concentrée sur la recherche

Si les résultats de l’entreprise sont bons, Jean-Luc Delrieu ne se repose jamais sur ses lauriers et continue de chercher à innover en permanence. « L’évolution permanente des technologies me pousse à consacrer une partie importante de mon budget à la recherche », précise-t-il. « Je dédie au moins une personne à temps plein à des projets prospectifs. Je conserve un effort important sur des produits qui n’existent pas ! » L’entrepreneur travaille par exemple sur des projets de création de logiciels de planification de livraison, ainsi que sur la construction d’applications Android en accompagnement de leurs applications SaaS, entre autres.

Aujourd’hui, JLOGICIELS affiche une belle santé. Elle a réalisé 420 000 euros de chiffre d’affaires en 2014 et Jean-Luc entend bien arriver au seuil des 600 000 euros en 2016. Au total, la société emploie 8 personnes en CDI, et des commerciaux indépendants, payés à la commission, travaillent à 100% pour l’entreprise.

Cinq entrepreneurs qui ont réussi sans avoir le BAC

Aujourd’hui presque obsolète tant le niveau d’études a augmenté au fil des années, le Bac reste pourtant le précieux sésame d’accès aux études supérieures et aux grandes écoles. Pourtant quelques entrepreneurs à succès ont réussi à s’imposer et même à faire fortune sans ce diplôme. Quels sont ces 5 entrepreneurs au parcours atypique qui ont su créer leur entreprise et la faire prospérer sans avoir le BAC ?

François Pinault le milliardaire

François Pinault est né en 1936 et a abandonné ses études dès la classe de seconde, ce qui ne l’a pas empêché de créer ensuite le groupe de distribution éponyme en 1963. C’est à coup de fusions et acquisitions que son groupe rachète de grandes enseignes, en particulier celles du Printemps et de La Redoute, puis La Fnac par la suite. Le Point et Conforama ne tardent pas à tomber dans son escarcelle et aujourd’hui le groupe Kering de François Pinault est valorisé à la bourse de Paris près de 20 milliards d’euros.

Gérard Mulliez l’autodidacte

Gérard Mulliez est né en 1931 et est issu de l’univers entrepreneurial car son père était le fondateur de la société Phildar. Il se met à pied d’œuvre et travaille au sein de l’entreprise paternelle dès sa majorité après avoir échoué au Bac. Après une blessure celui-ci gravit les échelons peu à peu à force de persévérance et de pugnacité. C’est alors à l’âge de 30 ans que cet autodidacte ouvre à Roubaix son premier magasin Auchan, qui par la suite rencontrera un succès notable. Comme preuve de sa réussite Gérard Mulliez se place aujourd’hui au 1er rang des fortunes professionnelles françaises avec un revenu estimé à 37,88 milliards d’euros en 2014.

Yves Rocher et sa créativité

Né en 1930, Yves Rocher est le fondateur du groupe éponyme et s’avère aussi un parfait autodidacte. Celui-ci a en effet fondé son entreprise devenue aujourd’hui multinationale sans être titulaire du Bac, après avoir été contraint de stopper sa scolarité à seulement 14 ans à la suite du décès de son père. Il est alors forcé de subvenir aux besoins de sa famille et travaille en parallèle à la fabrication d’une pommade homéostatique qu’il vend en recourant aux petites annonces. C’est en 1959 qu’Yves Rocher crée la célèbre entreprise de cosmétiques qui rencontre encore actuellement un succès retentissant.

Jean-Claude Decaux le leader mondial du mobilier urbain

Jean-Claude Decaux est né en 1937 et est à l’initiative du fleuron actuel de l’industrie JCDecaux. Parfait autodidacte, l’industriel fonde sa société en 1955 sans même avoir le Bac en poche. Celle-ci se destine d’abord à l’affichage, et l’entreprise ne rencontrant pas un franc succès Jean-Claude Decaux décide alors de se spécialiser dans le mobilier urbain. Il invente ainsi en 1964 le concept de l’Abribus puis crée par la suite les panneaux lumineux à caractère informatif. Le groupe JCDecaux est aujourd’hui leader mondial du mobilier urbain et son fondateur est à la tête d’une fortune personnelle estimée en 2014 à près de 4,6 milliards d’euros.

Serge Papin la réussite à la française

Serge Papin est né en 1955 et est aujourd’hui le PDG de la chaîne Système U depuis 2005. Exclu du pensionnat dès la fin du collège, celui-ci suit ensuite quelque temps des études de comptabilité avant d’abandonner. Ce dernier débute alors sa carrière en intégrant une centrale d’achat du groupe Unico pour y gravir les échelons jusqu’à en créer le service communication. Serge Papin prend ensuite la tête du magasin Super U de Châtonnay, qu’il rachète par la suite. Ce dernier entame alors son irrésistible ascension vers la tête du groupe Système U en devenant PDG.

Les avantages de l’investissement dans les sociétés civiles de placement immobilier (SCPI)

Investir dans une société civile de placement immobilier (SCPI) constitue un placement alternatif aux solutions traditionnelles (livret A, assurance-vie) qui perdent en attractivité. Quels avantages présente un investissement en parts de SCPI ? Quelles sont les principales modalités de ce placement et la manière dont il peut générer des revenus complémentaires ou aider à préparer sa retraite ? Eléments de réponse.

Pourquoi les placements traditionnels perdent-ils en attractivité ?

Jusque ces dernières années, les placements sans risque (livret A, assurance-vie), l’immobilier en direct et les actions d’entreprise absorbaient la quasi-totalité de l’épargne des ménages. Avant la crise, chacun de ces trois placements permettait de réaliser des rendements cohérents par rapport au niveau de risque souhaité. Le livret A, au risque nul, permettait de protéger son épargne contre le niveau d’inflation général. L’assurance-vie générait des rendements proches de 4% et les portefeuilles d’actions, selon les années, permettaient de dégager des rendements élevés. Depuis la crise de 2008, les choses ont radicalement changé dans l’univers financier : le livret A ne rapporte que 0,75%, les rendements de l’assurance-vie s’effritent d’année en année et les actions sont très volatiles. L’immobilier en direct demeure un placement apprécié des Français, mais il présente de nombreux inconvénients : investissement élevé en temps, soucis éventuels de gestion, contentieux avec le(s) locataire(s)…

Quels sont les avantages des SCPI ?

A l’inverse, les SCPI affichent de nombreux avantages. Leur rendement moyen (rapport entre les dividendes versés et le prix d’acquisition des parts) atteint presque 5% en 2015, soit environ deux fois plus que l’assurance-vie. Un autre avantage de taille consiste en la possibilité de diversifier le risque locatif : les SCPI constituent un patrimoine immobilier composé de plusieurs actifs, ce qui permet de mutualiser le risque. La gestion du parc immobilier est aussi prise en charge par la société de gestion de la SCPI. Ces deux avantages principaux expliquent à eux seuls le succès grandissant de ce type d’investissement. La collecte nette des SCPI de rendement pour l’année 2015 s’établit à 4,06 milliards d’euros, dont plus de la moitié pour les SCPI de bureaux. En comparaison, le livret A et le livret Développement Durable (LDD) ont connu une décollecte record de près de 12 milliards !

La SCPI, un placement à long terme

Un investissement en parts de SCPI répond à un projet de long terme (7-8 ans minimum). Il s’agit d’abord d’amortir les frais liés à la souscription (commission de l’ordre de 10% du prix de la part) et à la gestion (frais de gestion prélevés par la société de gestion sur les revenus locatifs). Ce placement est conçu comme un moyen de percevoir des revenus de manière régulière, soit en complément des revenus actuels, soit pour préparer sa retraite. Plusieurs années sont également nécessaires à la réalisation d’une éventuelle plus-value de cession, qui constitue une autre source de rendement pour les propriétaires de parts.

Deux modalités d’investissement à connaître : l’effet de levier et le démembrement de propriété
L’effet de levier consiste à financer une opération grâce à un emprunt dont les intérêts sont inférieurs au rendement de cette opération. Le contexte actuel est particulièrement propice pour une acquisition de parts de SCPI avec effet de levier : les taux immobiliers sont historiquement faibles (2% à 5/6 ans, 2,5% à 10 ans environ pour les bons dossiers), tandis que le rendement moyen des SCPI de rendement est de 5%.

L’investissement en nue-propriété ou en usufruit, moins connu, est une autre modalité d’investissement en parts de SCPI. L’acquisition de la nue-propriété permet de récupérer, au terme du démembrement du droit de propriété, la pleine jouissance de parts acquises à un prix décoté. L’acquisition temporaire de l’usufruit permet à un dirigeant de faire fructifier la trésorerie de son entreprise. Il percevra des revenus réguliers pendant toute la durée du démembrement, pour un montant d’investissement initial très inférieur à celui d’un investissement en pleine propriété.

Quelques inconvénients à l’investissement en SCPI

Le principal inconvénient par rapport aux placements sans risque tient à la possibilité d’une perte en capital. Le patrimoine d’une SCPI peut se déprécier en cas de baisse des cours immobiliers, de gestion insatisfaisante ou d’acquisitions mal ciblées. Il est toutefois possible de diversifier ce risque sur plusieurs SCPI. A noter que certaines SCPI sont éligibles à des contrats d’assurance-vie. Un autre inconvénient potentiel concerne la liquidité des parts. Revendre ses parts peut parfois prendre du temps.

Comment faire pour se lancer sur le marché de la data ?

De plus en plus de données sont produites tous les jours par les millions d’utilisateurs d’Internet et d’objets connectés. Le marché des données est donc de plus en plus important, et de plus en plus attrayant ! Si les perspectives de gains financiers, d’amélioration de la qualité et de la compétitivité de l’entreprise sont bien réelles, se lancer sur la marché de la data nécessite de respecter quelques règles.

Définir des objectifs et sélectionner les données

On ne traite pas de gros volumes de données pour le plaisir. Il faut avant tout définir quelles informations doivent être extraites, conservées et traitées, pour être ensuite utilisées, voire vendues. Il est donc impératif de se poser les bonnes questions et de savoir exactement ce que l’on veut faire des données traitées, les bénéfices que l’on attend de cette masse d’informations, et de quelles façons elles vont aider l’entreprise à développer de nouveaux produits ou services.

La toute première étape va donc consister à repérer et trier les données à utiliser, qu’elles proviennent de l’extérieur, ou de l’intérieur de l’entreprise, et à les qualifier. Les cas d’usage doivent être identifiés et des priorités doivent être décidées quant à leur réalisation. Si des passerelles entre différents flux de données doivent être réalisées, elles doivent également être identifiées lors de cette étape afin que leur mise en place puisse être faite le plus tôt possible.

Développer le traitement des données et utiliser les résultats

Plutôt que de vouloir traiter tous les cas d’usage à la fois, mieux vaut se focaliser sur un cas à la fois et le mener à son terme. Se disperser dans toutes les directions ne pourra qu’être contre-productif. Mieux avancer par étapes, et les valider une à une, que de gaspiller temps et énergie et ne pas aboutir à l’objectif fixé. De cette façon, il sera possible de produire les premiers résultats rapidement, et de continuer ainsi en convainquant d’éventuels investisseurs, extérieurs ou intérieurs.

Dès le début, il est important de s’assurer de l’investissement des utilisateurs connaissant le métier. C’est grâce à eux que les données seront transformées en valeur. Il est également très important d’identifier celui qui sera responsable des référentiels sur lesquels s’appuieront les données traitées. Il aura la lourde responsabilité de garantir la cohérence des sources de données, la validation de la qualité des données collectées et traitées et de s’assurer de la diffusion des résultats.

L’ensemble de l’entreprise doit travailler à la réalisation d’objectifs communs. Les services informatiques, et notamment la DSI, doivent travailler avec les différentes directions métiers. Cela signifie notamment que les différents services doivent maîtriser les compétences du numérique et des données, afin de faciliter la production et l’intégration des données. Ce n’est qu’à cette condition que l’entreprise sera à même de créer de nouvelles offres de données, de nouveaux produits et de nouveaux services. Le marché propose des offres souvent complémentaires, mais également concurrentielles. Il est impératif d’innover afin de se démarquer des autres sociétés commercialisant des services dans le domaine de la data.

Si en 2014 les entreprises se demandaient s’il fallait se lancer dans le big data, depuis fin 2015, beaucoup ont décidé de passer le cap et lancent des expérimentations plus ou moins importantes. 2016 sera sans aucun doute l’année des applications analytiques et prédictives, et celle de la Data Visualisation, subdivision de la Business Intelligence.

Sécurité : L’importance des mises à jour de vos applications et systèmes

La sécurité d’un système ou d’une application est encore, en 2016, négligée par de trop nombreuses entreprises. Ce manque d’attention, cette négligence plus exactement, peut être à l’origine de sévères déconvenues allant de l’indisponibilité d’un site internet au vol de données en passant par l’installation au sein de votre système de scripts permettant à des hackers d’intercepter les données envoyées par des visiteurs, qui sont aussi souvent des clients ! Cette dernière pratique est particulièrement pernicieuse puisqu’elle est « invisible »: le fonctionnement du site n’est pas affecté et la détection du problème peut intervenir plusieurs semaines après son début !

Pensez la sécurité de votre application avant son lancement

La sécurité d’une application ou d’un système doit être pensée avant même le lancement d’un site internet. Le choix de l’architecture et des moyens pour le sécuriser doivent être tout autant pris en compte que le service qu’offrira le site internet.

Une fois le système choisi, sa configuration est tout aussi essentielle. Une erreur fréquente est par exemple d’installer un système d’exploitation et de laisser actifs des services inutiles. Ces services pourront être utilisés par des pirates pour s’introduire dans votre système. Un autre exemple d’erreur fréquente est de laisser des ports ouverts (qui permettent au serveur de communiquer avec le réseau) alors qu’ils ne sont pas utilisés par l’application ou le système. Les logiciels malveillants apprécient particulièrement ces portes pour entrer en toute discrétion puisqu’elles ne sont pas utilisées et souvent pas surveillées.

La sécurité doit rester une priorité tout au long de l’existence de votre site

Une fois l’installation et la configuration du serveur effectuées, la sécurité doit rester un élément prioritaire. Le système d’exploitation choisi et l’application installée (qui peut être par exemple Prestashop, WordPress, Joomla) vont être de moins en moins sécurisés avec le temps.
Les systèmes et les applications sont effet, malgré la grande attention apportée par les développeurs, sujets à des bugs ou pire encore à des failles de sécurité. Ces failles sont heureusement très rapidement identifiées et sont tout aussi rapidement corrigées.

Les auteurs de logiciels malveillants suivent de très près ces corrections et développent leurs logiciels en s’appuyant sur ces failles. Après avoir écrit un logiciel malveillant, le pirate cherche, par l’intermédiaire de robots, des systèmes ou des applications qui n’ont pas encore été mis à jour. Pour ne pas laisser la porte ouverte à ces logiciels, il faut maintenir en permanence son système et son application à jour !

Par méconnaissance, de nombreux propriétaires de sites préfèrent conserver des systèmes d’exploitation et des applications dans le même état qu’après leurs installations en pensant qu’une mise à jour ne peut rien apporter à l’exception de problèmes de compatibilité. Cette devise met donc en péril la sécurité d’un site internet et n’est plus aujourd’hui aussi vraie que par le passé. La compatibilité entre versions est devenue centrale pour les développeurs. De plus, si une modification est à effectuer pour rétablir le fonctionnement d’une application, dans la majorité des cas, cette modification permet de résoudre un problème majeur de sécurité ou de performance.

L’infogérance pour déléguer les mises à jour système

Amen vous permet de déléguer la sécurité système de votre serveur à des experts grâce à l’infogérance ou service de serveurs gérés. Vous pouvez dès la création de votre projet faire appel à l’un de nos conseillers pour choisir l’infrastructure idéale à mettre en place.

Une fois ce choix effectué, nos experts vont installer et configurer votre système. Comme vu précédemment, la configuration d’un serveur est un élément clé pour la sécurité d’un serveur.
De plus, nos experts prendront également en charge la mise à jour de votre système.

L’infogérance vous apportera également d’autres services comme l’installation de l’outil Plesk. Ce logiciel permet de gérer un serveur et ses sites internet avec une interface graphique. Le serveur infogéré bénéficie aussi d’une surveillance 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7.

5 TED Talks intéressantes pour un entrepreneur

Les Ted Talks sont une série de conférences internationales à but non lucratif qui ont permis de créer un espace de diffusion d’idées novatrice, notamment pour l’univers entrepreneurial. Voici alors 5 Ted Talks intéressantes pour un entrepreneur.

Rory Sutherland : Changer de perspective pour changer la valeur des choses

Vice-président d’une des plus grandes firmes de marketing et de publicité, Rory Sutherland a donné dans son Ted Talk une véritable leçon de vie aux entrepreneurs. L’objectif de son argumentaire est de montrer qu’il suffit de changer notre définition de la valeur des choses pour accéder à une chose réellement « de valeur ». Selon lui, l’intérêt ne réside pas dans l’objet ou l’idée, mais dans la manière dont on appréhende ces derniers. Son speech emprunt d’humour montre comment cette notion de valeur peut influencer l’achat.

Simon Sinek : Inspirer l’achat en présentant son résultat

Simon Sinek propose un modèle simple de leadership stimulant. Pour cet orateur de grande influence et professeur de communications stratégiques à l’université de Columbia, le client n’achète pas notre savoir-faire ou nos compétences, mais leur résultat. Dans une stratégie marketing réussie, mieux vaut donc montrer comment votre produit va changer la vie du consommateur, quelles solutions va-t-il lui apporter, etc. Son Ted Talk commence par son célèbre « Cercle d’or de la motivation » conçu pour amener tout entrepreneur à développer son entreprise.

Seth Godin : la propagation des idées

Pour Seth Godin, la meilleure manière d’attirer l’attention de votre cible est de lui proposer une idée originale. Seth G. exclut définitivement les idées dites « parfaites » en y voyant un certain ennui non captivant pour le consommateur. Il utilise pour cela sa fameuse allégorie du pain tranché qui a mis 15 ans avant de devenir aussi populaire. Selon ce grand expert du marketing, prendre des risques sans tendre à tout prix vers la perfection est le chemin le plus sûr pour réussir sa stratégie marketing et faire connaître ses idées.

Malcolm Gladwell : Choix, bonheur et sauce spaghetti

Le penseur et journaliste Malcolm Gladwell aborde le marketing agro-alimentaire sous un nouvel angle. En regardant de plus près, les marketeurs ont pris l’habitude de demander au consommateur ses goûts et ses préférences pour créer leur produit à l’image de ces attentes. Ce qui est intéressant dans ce Ted Talk, c’est que l’orateur appuie l’idée que le consommateur ne sait pas avec exactitude ce qu’il veut réellement. Chaque entrepreneur a la possibilité d’amener le client à aimer ce qu’il propose. Pour illustrer cette thèse, Malcolm Gladwell relate le récit de la création de la fameuse sauce spaghetti en montrant les mécanismes du choix chez l’individu et la vision qu’il a du bonheur.

Cameron Harold : Inspirer une vocation d’entrepreneur pour nos enfants

Dans ce Ted Talk aussi original que constructif, Cameron Harold nous donne des tuyaux pour semer la motivation entrepreneuriale dans l’éducation de nos enfants. L’entreprise est le noyau de la création. Pour cela, il vaut mieux préparer nos enfants à emprunter ce chemin dès leur plus jeune âge plutôt que de les conditionner à être des salariés. Le conférencier déclare qu’il ne faut jamais donner d’argent de poche régulier à nos enfants. A la place, il faudrait leur attribuer différentes tâches payantes qu’ils doivent chercher eux-mêmes même si c’est dans la maison.

Une connexion sans faille grâce au routeur 4G

Le routeur 4G est le guide idéal pour l’entreprise qui travaille en connexion permanente en haut débit. Mais, doit-elle utiliser cette nouvelle technologie en complémentarité à la fibre optique et à la liaison ADSL, ou peut-elle l’envisager comme seul moyen d’accès à internet ?

Le haut débit en plein essor

Internet constitue l’une des clés de la réussite entrepreneuriale aujourd’hui. L’informatique propose de plus en plus de solutions pour le confort des chefs d’entreprise, des salariés et des internautes. D’autant que l’essor du haut débit est encouragé par le gouvernement qui espère que cette technologie devienne accessible dans toute la France d’ici 2025. Selon l’observatoire de l’ARCEP, le marché français de l’internet haut et très haut débit a représenté 26,9 millions d’abonnés fin 2015, tandis que 1362 communes françaises sur 36529 ont eu accès aux offres haut débit.
Dans ce cadre, une entreprise a tout intérêt à penser à utiliser un routeur 4G, car il constitue une solution fonctionnelle et simple à installer.

Une connectivité rapide et en continu

Bien sûr, si vous décidez d’opter pour un routeur 4G, il faut que son utilisation corresponde aux besoins de la société. Si vous évoluez dans un secteur d’activité où la moindre panne d’internet est préjudiciable pour votre business, cette solution est sans doute faite pour vous. Bouygues Telecom propose par exemple une solution sans fil en mode Backup en cas de défaillance de connexion de l’ADSL ou de la fibre existante. Il suffit de s’équiper d’un routeur mobile comme plan de continuité d’activité pour rester connecté, quoiqu’il arrive. Le routeur 4G vient combler un grand vide dans les zones où la connexion est mauvaise. La solution routeur 4G permet de capter le réseau mobile cinq fois plus rapidement que l’ADSL. Un point non négligeable qu’il faut prendre en compte.

Une installation facilitée : pas de câblage, pas de travaux !

Grâce au routeur 4G, les opérateurs sont en mesure de proposer des offres de connexion et de téléchargements illimités à moindre frais et sans problème de connexion. Du côté de son installation, le routeur mobile utilise les réseaux cellulaires pour permettre une connexion sans câblage et sans travaux onéreux. L’entreprise peut envisager l’installation d’un routeur haut débit dans le cadre d’un chantier excentré, pour des communications événementielles, en usage principal d’accès à internet. L’installation s’effectue dans un délai de 48 à 72 heures, avec des connexions en Wi-Fi ou par câblage Ethernet depuis un modem relié à la carte Sim. Avec le routeur mobile à haut débit, les TPE et PME profitent d’une connexion optimale quelles que soient les circonstances et l’implantation de l’entreprise. Cela, sans les contraintes imposées pour l’installation d’une ligne fixe ADSL ou pour la fibre optique qui nécessite des travaux de tranchées sous-souterraines pour le passage des fils de verre ou de câbles.

Un vaste choix d’équipements

Parmi les modèles de routeurs professionnels, on peut citer le Huawei 5186 4G+ Long Term Evolution (LTE) qui inclut tout le matériel Wi-Fi et ports USB + forfait, pour un montant d’environ 200 euros. Le réseau mobile LTE utilise des bandes de fréquences hertziennes prédéfinies pour les transmissions. L’ensemble des opérateurs français travaillent en LTE en se basant sur leur expérience acquise du 3G pour atteindre les performances de la 4G LTE Advanced qui fonctionne avec tous types de terminaux informatiques (smartphones, tablettes, clés en 4G, etc.). Il existe un vaste choix d’équipements en 4G, le marché étant de plus en plus vaste. Néanmoins, les conseils des professionnels agréés sont indispensables au moment de faire son choix.

Pour plus d’informations, téléchargez le livre blanc

Incubateur : dans Paris, un espace géant dédié à l’innovation

Le Cargo : voilà le nom de la nouvelle plateforme parisienne dédiée à l’innovation, inauguré le 9 mars 2016.

Un lieu d’exception

Cet immeuble géant, qui fait plus de 15 000 m2 sur 6 étages, a élu domicile dans le 19ème arrondissement de la capitale, entre la Porte de la Villette et la Porte d’Aubervilliers. Le projet a été conçu par l’architecte Odile Decq, qui a imaginé un bâtiment aux formes géométriques variées, à la fois linéaires et arrondies. Il s’inclut dans le processus de reconversion des entrepôts Macdonald, construits dans les années 1960 que la Ville a initié pour régénérer les quartiers s’étendant de part et d’autre du périphérique Est.

Des services d’accompagnement pour les start-up innovantes

Animé par deux incubateurs (Paris&Co et Impulse Partners), ce centre offre la possibilité aux start-up innovantes dans le domaine des contenus numériques et des industries créatives d’accélérer leur développement. Concrètement, les entreprises innovantes auront accès à des services d’accompagnement à des coûts modérés. Les secteurs concernés par ce dispositif sont larges. Auront notamment accès à des programmes d’accompagnement les univers médias (e-éducation, presse, 3D, contenus numériques…), ainsi que les nouvelles technologies de conception, fabrication et construction (architecture, immobilier, industries…).

Les start-up du numérique pourront également accéder à l’hôtel d’entreprise, commercialisé par la Régie Immobilière de la Ville de Paris (RIVP), qui dispose de plus de 7000 m² de surface. Globalement, le lieu devrait pouvoir accueillir à terme près de 100 start-up et une cinquantaine d’entreprises de taille plus conséquente.

Les appels à candidature sont lancés sur ddgie@rivp.fr
Et pour plus d’informations http://bureaux-et-commerces-a-louer.rivp.fr/pepiniere/le-cargo/

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Si certains blogueurs réussissent à bien vivre grâce à leur blog, ce n’est malheureusement pas le cas de la plupart d’entre nous. Mais grâce nos conseils, vous allez tout de même pouvoir rentabiliser votre blog qu’il soit fait avec WordPress ou autre CMS, et ce même s’il ne fait pas partie des top blogs influents du moment.

La publicité Adsense

Insérer des publicités Adsense est le moyen le plus simple et le plus rapide pour commencer à gagner de l’argent. C’est très facile à mettre en place: il suffit de s’inscrire sur la plateforme Google Adsense (ou simplement de se connecter sur le service Adsense de Google si vous possédez déjà un compte Google ce qui est le cas si vous avez ne serait-ce qu’un Gmail) et de récupérer des codes Adsense que vous allez intégrer sur votre blog. Vous avez la possibilité de choisir le style d’annonce (textuel ou graphique), la taille, la couleur ainsi que la forme (horizontale ou verticale), afin de vous permettre de les placer où vous voulez sur votre blog. Evidemment, certains emplacements sont plus conseillés que d’autres. Préférez placer vos annonces en haut de votre page d’accueil ou sur l’une de vos sidebars plutôt que dans votre footer… De même, il est recommandé d’en placer également au sein même de vos articles (au début ou à la fin). Plus elles seront bien placées et visibles, plus elles vous rapporteront ! En général, les grosses pubs rapportent + d’argent que les petites mais attention, tout n’est pas si simple. Vous pourrez grandement améliorer vos résultats en faisant des expériences sur l’emplacement des publicités, la taille et en regardant le taux de clic (CTR) et le rendement final (RPM). Adsense paie environ la moitié de ce qu’Adwords prend aux annonceurs. A vous aussi de savoir de quoi parler pour réussir à ce que les pubs le plus chères s’affichent un jour sur votre site !

Vous pouvez également inclure dans votre blog un moteur de recherche interne qui affichera des pubs Adsense. Il est aussi possible d’inclure des annonces Adsense dans vos flux RSS.

Via Adsense, vous pouvez aussi proposer vos emplacements à tout un ensemble de réseaux publicitaires partenaires de Google Adsense.

Dans tous les cas, vous êtes rémunéré chaque fois que l’un de vos visiteurs clique sur une pub. A partir d’une centaine de visiteurs par jour, il est possible de gagner quelques euros par mois en fonction du thème principal de votre blog (et donc des annonces qui y seront diffusées). Attention cependant à ne pas en abuser, car une trop grande présence de pubs Adsense sur vos sites pourrait faire fuir vos visiteurs, et par la même occasion vous faire perdre en crédibilité. A utiliser avec modération donc.

Attention aussi au règlement Adsense qui si vous ne le suivez pas scrupuleusement peut vous bannir du jour au lendemain, en fermant définitivement votre compte et sans vous verser ce qui y était accumulé.

L’affiliation

L’affiliation est aussi l’un des meilleurs moyens de gagner de l’argent avec son blog. Pour cela, il suffit de rejoindre un programme d’affiliation et de choisir les produits ou marques que vous souhaitez vendre. Les vendeurs vous fournissent alors un code affilié ainsi que des liens, bannières ou même catalogues de produits à placer sur votre blog.

Vous gagnez de l’argent lorsque l’un de vos visiteurs clique sur l’un de ces liens et qu’il achète ce produit. 

Ce type d’affiliation permet généralement de toucher entre 5 et 15% du montant de l’achat selon le revendeur. Mais il existe également des programmes d’affiliation qui rémunèrent au clic et non à l’achat. Dans ce cas, vous percevez une rémunération à hauteur du nombre de visiteurs que vous redirigez vers le site marchand. Un autre type d’affiliation (paiement par lead) rémunère chaque fois qu’un visiteur redirigé vers le site marchand aura renseigné ses coordonnées dans un formulaire de contact.

Si vous avez réussi à créer une petite mailing-liste de vos fidèles lecteurs, alors certaines marques proposent des codes promo ou des remises à diffuser par mail, avec autant de commissions pour vous si des ventes se font.

L’intérêt principal de l’affiliation est que vous pouvez vendre tous types de produits sans avoir à vous soucier des stocks, de la livraison, du service client, etc… De plus, rejoindre un programme d’affiliation est entièrement gratuit ! Trouvez les bons produits à revendre en fonction du secteur de votre blog, et vous pourrez ainsi vous assurer une rentrée d’argent régulière.

Les articles sponsorisés

Il est possible de gagner de l’argent en publiant des articles sponsorisés. Il suffit d’écrire un article sur un produit et vous bénéficiez en échange d’une rémunération. Pour ne pas perdre en crédibilité, pensez à mentionner que l’article en question est un article sponsorisé (au tout début de votre article par exemple). De nombreuses régies publicitaires telles que SeedingUp, RocketLinks, Rankseller, BuzzParadise, ou encore LinkLift proposent de l’argent en échange d’articles sponsorisés. Certains articles sponsorisés peuvent rapporter jusqu’à 70 euros, c’est donc un très bon moyen de monétiser son blog, mais attention à ne pas en abuser pour ne pas faire fuir vos lecteurs et pour ne pas être sanctionné par Google qui n’aime pas trop ce genre de contenu.

La publicité contextuelle

Cette publicité est automatiquement intégrée à vos articles. Certains mots clefs inclus dans vos articles sont soulignés (ce sont en fait des liens), et chaque fois que l’internaute clique dessus, il est renvoyé vers la page de l’annonceur. Comme avec Adsense, vous gagnez de l’argent à chaque clic. Toutefois, ce type de pub reste très intrusif et peut nuire à la crédibilité de votre blog, donc à vous de voir.

Si vous souhaitez inclure de la publicité contextuelle dans vos contenus, vous pouvez vous inscrire auprès des régies publicitaires Linklift, SeedingUp, Advertise-Link, Infolinks et Text Links Ads.

Vendre vos emplacements publicitaires

Vous pouvez vendre en direct de la publicité en proposant de devenir annonceur pour des marques sur votre blog. Pour attirer des marques, il faudra toutefois pouvoir justifier d’un trafic relativement important sur votre blog ou alors proposer des tarifs intéressants. Une fois que vous avez réussi à générer un trafic régulier, contactez directement les marques et proposez leur de diffuser leurs annonces sur votre blog.

Une autre possibilité consiste à faire du sponsoring de newsletter. Lorsque vous disposez d’au moins 5000 abonnés à votre blog, vous pouvez contacter directement une régie ou un annonceur. La location d’un fichier ciblé de professionnels coûte en moyenne 15 centimes par adresse, à condition qu’elle soit vraiment qualifiée. Attention à ne pas oublier de déclarer votre fichier clients à la CNIL.

Les autres moyens de monétiser son blog

N’hésitez pas à consulter les régies publicitaires les plus connues pour connaitre tous leurs programmes : teads.tv, etc…

N’oubliez pas avant toute chose que ce qui permet de gagner de l’argent est le contenu, quel que soit le type de monétisation qu’on envisage. Concentrez-vous avant tout sur ce travail-là !
Bon blogging !

Les grands groupes ne sont pas sourds aux sirènes des startups ! C’est souvent l’occasion pour ces derniers de se diversifier, de mettre un pied dans l’économie numérique ou collaborative par exemple et de coller à une transformation du marché qui souvent leur échappe. Du côté des start-up c’est l’assurance de disposer d’un grand frère solide qui peut les épauler financièrement et logistiquement. Ces alliances peuvent prendre la forme d’une prise de participation. Lorsque cette alliance se fonde sur un socle de compréhension mutuelle, elle peut être extrêmement fructueuse.