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Espaces de coworking : classement en fonction du prix

Il existerait à l’heure actuelle plus de 3 000 espaces de travail dans le monde dont la majorité est située en Europe, surtout en Allemagne et en France. À Paris, on en compte à l’heure actuelle une trentaine avec des tarifs d’abonnements très divers. Voici le top 10 des meilleurs espaces de coworking disponibles dans la capitale.

1. Espace « 50 Partners – Le Loft » (75001, 62 rue Jean-Jacques Rousseau) 

Le Loft 50 Partners est certainement pour le moment l’espace de coworking le moins cher dans la capitale. Sur plus de 620 m², 90 postes de travail sont disponibles en open space et en espaces fermés. L’établissement propose deux salles de réunion, des outils multimédias et la gestion du courrier ainsi que des lieux de détente et une cuisine. Son petit plus ? La déco de ce loft, une ancienne corderie, avec un plafond en verre. L’abonnement mensuel est possible à partir de 190 euros/ mois. Il faudra par contre partager une grande table pour bénéficier de cette offre à prix réduit. Pour y avoir un bureau fixe attitré, comptez plutôt 390 euros/ mois. Le plus ? Il n’y a pas d’engagement de durée.

2. Espace « La Mutinerie » (75019, 29 rue de Meaux)

Différents abonnements sont possibles. Une journée d’essai permet de se décider pour l’un d’entre eux. Avec 290 euros HT/mois, les entrepreneurs ont un accès illimité et disposent d’un poste à temps plein (pour 95 euros HT/mois, ils peuvent disposer d’un quart temps avec 5 jours/ mois). Les services comprennent la mise à disposition d’une salle de réunion, l’utilisation de l’imprimante et autres outils comme scanners et photocopieuses, le wifi évidemment, mais aussi des casiers pour y laisser ses affaires et le café est offert.

3. Espace « Numa » (75002, 71 rue du Faubourg Saint-Martin)

Cet espace de coworking appelé DevFloor, est spécialement destiné aux abonnés mensuels. Il est ouvert 24/24 et propose 25 places au calme et la possibilité d’y accueillir ses partenaires ou clients pour 300 euros HT/mois. Son atout ? La fibre optique.

4. Espace « DojoCrea »(75 003, 24 rue Béranger )

Dans le quartier de République, Dojocréa propose un espace de 70 postes de travail, 3 salles de réunion, 2 espaces détente et 2 cuisines, ouvert 7J/7 et 24H/24, même les jours fériés. Il existe également deux autres lieux sur Paris et en région parisienne. Il faut compter 388 euros / mois et par bureau. Les coworkers bénéficient d’un casier dès leur arrivée et aussi de la fibre. Le petit plus:  chaque semaine Dojocrea organise des apéros pour ces adhérents.

5. Espace « Start-Way »(à Montrouge, 87 rue Gabriel Péri)

L’espace de 330 m² est design et très lumineux et il est possible d’y avoir une place pour 329 euros/mois (24h/24 et 7j/7). Tous les outils sont disponibles et à partager avec les autres résidents. Le plus ? Sa facilité d’accès (tout près de la Porte d’Orléans).

6. Espace « BeCoworking – La Jonquière » (75017, 60 rue de La Jonquière)

Sur 460 m², les entrepreneurs y disposent de bureaux fixes, nomades ou même de pass à la journée. Pour un abonnement mensuel, il faut compter 350 euros HT pour un poste fixe avec mise à disposition d’espaces détente, restauration, bar et de salles privatisables. Le plus ? La possibilité de bénéficier des conseils des partenaires et des experts de « premier ordre »

7. Espace « Le Lawomatic »(75010, 21 rue Sainte-Marthe)

L’abonnement est à 370 euros HT /mois. Il s’agit d’un tarif unique avec un accès 24/24, un bureau fixe, des salles de réunion et les outils adaptés pour y donner des conférences. Une petite cafétéria et une kitchenette sont à disposition des abonnés et les bureaux sont modernes et designs.

8. Espace  » La Ruche » ( 75010, 84 rue Jemmepas)

Créé en 2008, cet espace de 600 m² est surtout destiné aux entrepreneurs sociaux. Pour 395 euros HT/ mois, ils peuvent y disposer d’un poste à temps plein. S’y installer, c’est profiter de nombreux avantages dont le « buzz » du vendredi, une cloche qui permet aux adhérents de se rejoindre pour discuter et développer leur réseau. Le hic ? Pour être accepté, il faut être un résident.

9. Espace « Nextdoor » (Issy-les-Moulineaux, 43 rue Camille Desmoulins)

Cet espace de travail est l’un des plus intelligents et les résidents peuvent y avoir un bureau à partir de 480 euros HT/mois pour une accessibilité 24h/24 et 7j/ 7. À ce tarif, ils ont accès à tout le matériel pour développer leur activité.

5 start-up spécialisées dans la sécurité internet

On l’évoque de plus en plus : la sécurité sur internet est devenue un enjeu fondamental pour les entreprises qui sont exposées au vol de données, au piratage, à l’espionnage industriel.

D’après le responsable de l’ingénierie des systèmes de Cisco, Den Sullivan, le marché de la sécurité numérique s’élève à 95 milliards de dollars en 2015, avec des projections de croissance allant jusqu’à 8% par an jusqu’en 2018. Il s’agit donc d’un enjeu majeur du développement des nouvelles technologies et des risques qui y sont associés. Quelles start-up prometteuses émergent comme les futurs leaders de ce marché ?

Bluebox Security : protéger les données personnelles pour les applications mobile

Cette jeune start-up américaine fondée en 2014 développe un système pour les smartphones fonctionnant avec IOS et Android, et qui permet d’isoler et de protéger les données des utilisateurs afin qu’ils puissent utiliser les applications qu’ils souhaitent de manière sécurisée. Il s’agit de permettre aux employés d’entreprises utilisant leur téléphone professionnel de ne pas être exposés au piratage via des applications qu’ils installent pour des raisons personnelles et qui se mêlent dans le téléphone à des applications professionnelles. On compte déjà Netflix et Zion’s bank parmi les clients de Bluebox Security. La start-up, fondée par Caleb Sima, a pu réaliser une levée de fond de 27.5 millions de dollars grâce à des fonds de capital-risque.

Cybereason pour une collecte d’information raisonnée sur les failles de sécurité

La start-up a innové en développant un moyen de détecter et de collecter de manière intelligente toutes les informations relatives à des menaces concernant la sécurité des logiciels et des systèmes informatiques. Son logiciel veille particulièrement au repérage de toute attaque pouvant entraîner un vol de données confidentielles pour les entreprises. Créé à Boston par Lior Div, la start-up a déjà reçu 4.6 millions de dollars du fonds Charles River Ventures et prévoit de développer ses services pour les systèmes d’Apple et de Linux dans le futur.

Défendre un site internet contre des attaques avec Shape Security

Voilà une start-up qui a de l’avenir. Son application, appelée ShapeShifter, permet de protéger les sites internet contre les attaques en tout genre, dont le très utilisé « déni de service », en introduisant dans chaque page HTML des sites de légers codes sans cesse différents qui perturberont le bon déroulement de ces attaques et maintiendront le site en ligne. L’un de ses fondateurs, Sumit Agarwal, était anciennement conseiller spécial auprès du département américain de la défense en matière de cyber-innovation. Une première levée de fonds a permis de récolter 26 millions de dollars, dont une partie est issue du fonds d’investissement Google Ventures.

Bitglass pour traquer les fuites de données

L’application développée par Bitglass procède à une veille sensible dans l’utilisation de divers équipements informatiques et marque l’historique d’utilisation de chaque utilisateur d’une empreinte unique. Le but est de repérer qui a potentiellement pu délivrer des informations à la concurrence ou à des pirates informatiques. Son fondateur et PDG, Anurag Kahol, a déjà récolté 10 millions de dollars pour développer Bitglass.

Zimperium, la sécurité intelligente

Start-up israélienne implantée également en Californie, Zimperium travaille sur un programme qui serait capable d’apprendre de lui-même à détecter des intrusions et des malwares, grâce à des algorithmes intelligents. Pour l’instant développé pour Android, son logiciel sera par la suite disponible pour les tablettes. Différents investisseurs individuels ont déjà financé la start-up à hauteur de 8 millions de dollars.

Les start-up présentées ici ne sont qu’un fragment de cet immense marché en développement que représente la sécurité sur internet. Enjeu crucial de la protection des données, la sécurisation des nouvelles technologies est le creuset d’innovations essentielles au bon usage d’internet pour les entreprises et les particuliers.

5 start-up qui cartonnent dans le domaine sportif

Le monde du sport et celui des start-up se découvrent des affinités. Dynamisme, esprit d’équipe, envie de gagner… les deux secteurs ne manquent pas de points communs ! 

Pas étonnant que les jeunes pousses se lancent à l’assaut de l’univers du sport pour développer des technologies pour sportifs accomplis et passionnés, sportifs du dimanche ou simples spectateurs. À la veille de l’Euro 2016 et de la candidature de Paris aux JO 2024, le moment semble propice. Quelles sont donc ces start-up qui cartonnent dans le domaine sportif ? En voici 5 qui ont décroché plusieurs prix et ciblent l’international.

1. VOGOSPORT 

Créée en juin 2013, la start-up de Montpellier conjugue plusieurs innovations avec son application mobile pour smartphones et tablettes. Elle offre aux spectateurs d’événements sportifs des expériences enrichies. L’entreprise propose aux fans connectés de visionner les matchs sous tous les angles depuis les gradins des stades intelligents en choisissant la caméra. En raison du peu de travaux nécessaires pour faire fonctionner le système (l’outil ne nécessite pas l’installation d’une infrastructure informatique importante), le ROI de l’application paraît intéressant. Cette dernière permet de générer des revenus supplémentaires pour les stades et les associations sportives. L’entreprise a levé 4 millions d’euros pour se développer à l’international et la société a ouvert un bureau près de Montréal dans le but de conquérir le marché nord-américain.

2. Green-Wave Notox 

Fondée en 2010 sur la côte Basque, cette start-up fabrique des planches de surf nouvelles générations uniques au monde, éco-responsables et ultra-performantes. Elles sont fabirquées à partir de matériaux non nocifs comme la résine de lin et produisent moins de déchets. En 2012, la société a réalisé 230 000 € de chiffre d’affaires (dont 15 % à l’international et en particulier au Japon) et fabriqué 400 planches. Les entrepreneurs à l’origine du projet développent désormais un concept pour externaliser leur « lab » de fabrication et se développer à l’échelle mondiale.

3. Wise Pack

Les emballages révolutionnaires et écologiques de wise-pack (société créée en octobre 2014) sont comestibles et leur usage vise donc à limiter les déchets. Ainsi, les sportifs pourront tout à fait améliorer leur performance de manière responsable, en emportant par exemple une dose hydratante ou énergétique au lieu d’une bouteille plastique ou d’un gel. Dans ce secteur concurrentiel mais en fort développement (le marché mondial de l’emballage alimentaire représente 325 milliards de dollars), Wise Pack détient un potentiel certain.

4. Seaters 

Lancée en février 2014, cette start-up belge a mis sur pied une plateforme en collaboration avec sponsors et organisateurs d’événements sportifs pour que les 2 à 10% de places restant libres le jour J trouvent des occupants parmi les fans. La start-up vise l’Euro 2016 et possède déjà une croissance exponentielle.

5. Mac-Lloyd Sport 

Cette jeune pousse née en janvier 2013 poursuit au sein du Tremplin, l’incubateur parisien, le développement de deux produits : Sport-Tracking et Fit-Tests. Ces derniers sont destinés aux sportifs de haut niveau pour répondre à leur recherche de performances. Le mouvement des sportifs sur le terrain ainsi que leurs réactions physiologiques peuvent désormais être analysés grâce aux données des capteurs présents dans les vêtements connectés. Vendus respectivement 3000 € et 990 €, les systèmes développés par l’entreprise présentent un avantage certain, à la fois en termes de taille (les boîtiers sont miniatures) et de coûts. Ils s’adressent en priorité à des athlètes de haut niveau mais peuvent aussi intéresser les clubs de sportifs amateurs.

Top 4 des entreprises spécialisées dans les feux d’artifice

La fête nationale est sans doute la période où l’on peut observer le plus de feux d’artifice, mais certaines sociétés françaises ont profité de ce créneau et se sont spécialisées dans la vente de feux d’artifices, permettant ainsi aux particuliers de devenir eux-mêmes de véritables pyrotechniciens en herbe.

1. RUGGIERI :entre tradition et odernité

Cette société créée par les frères Ruggieri depuis le XVIIIe siècles, réalise des spectacles à la Cour de Versailles. Depuis 1997, elle a fusionné avec un de ses concurrents: le  groupe Étienne Lacroix. Lacroix-Ruggieri deviendra simplement  Ruggieri, en 2012 et aura  pour slogan : « Les peintres du ciel ».

Avec un chiffre d’affaires de plus de 100 millions d’euros, l’entreprise Ruggieri, gérée par Jean-Michel DAMBIELLE, a montré ses talents en France notamment lors de la tournée de Johnny Hallyday en 2012, l’inauguration du Viaduc de Millau ou l’embrasement de la Cité de Carcassonne.

À l’international, elle a brillé pour le 850e anniversaire de la ville de Moscou (Russie), le centenaire de la Statue de la Liberté à New-York (États-Unis) ou encore le 10e anniversaire de la chute du mur de Berlin (Allemagne). 

2. EFC ÉVÉNEMENT : pour des pyrotechnies de qualité

La provenance de leurs feux d’artifice est européenne (Italie ou d’Espagne), ce qui leur permet d’être de bonne qualité. Les organisateurs de ces pyrotechnies proposent même de les installer dans des bateaux en mouvement ou lors de conditions extrêmes. EFC Évènement organise des feux d’artifice ou des pyromélodies dans le Sud de la France. EFC Évènement a participé à l’inauguration de l’aéroport Marseille Provence ou encore à des festivités au Grau-du-Roi (Gard) ou à Saint-Tropez (Var). L’entreprise fut créée en 2004, avec Eric HARFI à la barre, pour un chiffre d’affaires d’un million d’euros environ.

LES MAGICIENS DU FEU : les vendeurs de pyrotechnie

Que seraient les feux d’artifice s’il n’y avait pas de vendeurs ? Les Magiciens du Feu qui ont pour slogan : « Et le ciel vous appartient » se spécialisent dans la vente même si le site internet possède sa propre page événementielle.

Créant des produits de qualité depuis 1960, l’entreprise propose des produits de qualité en travaillant depuis Saint-Ouen l’Aumône (Val-d’Oise). Avec un chiffre d’affaires de 373 000 euros, la société fait peu à peu sa place grâce à des événements comme la finale de la Coupe du Monde de football en 2006, le 50e et 60e anniversaire du 6 juin 1944 ou par les lancements de nouveaux produits.

Prochainement, elle participera à quelques fêtes nationales comme celles prévues dans la ville d’Osny, à Deuil-la-Barre (Val-d’Oise) ou à Tournan-en-Brie (Seine-et-Marne).

3. ARTS’I CONCEPTS : des peintures dans le ciel

C’est l’un des plus grands fournisseurs français de feux d’artifice depuis sa création en 1994, dirigée depuis 2014 par Gérald GONZALES. Elle est aussi associée à une société qui organise des spectacles de pyrotechnie, située dans la ville de Bordeaux depuis ses débuts. L’entreprise Arts’i Concepts a réalisé environ quatre-vingts spectacles à l’année et elle est située à Moulon (Gironde) pour un chiffre d’affaires de 89 200 euros.

4. FEU D’ARTIFICE AUTOMATIQUE : des fusées pour particuliers 

Une petite entreprise, numéro un en France dans la vente de feux d’artifice automatiques. C’est une bonne alternative pour les événements de moins grande envergure comme les mariages, les soirées ou les anniversaires. Les clients peuvent eux-mêmes allumer leurs feux d’artifice, tout en respectant certaines consignes de sécurité présentes dans le mode d’emploi. Il est mentionné par exemple la nécessité de prévenir la mairie et le propriétaire des lieux si vous louez un local destiné aux festivités. Le fondateur, Philippe ROIDOR, gère sa société depuis Paris, avec un capital de 10 000 euros.

5 anciens sportifs de haut niveau devenus entrepreneurs

Nombreux sont les anciens sportifs de haut niveau qui choisissent de devenir entrepreneurs. Challenge, reconversion ou encore défi personnel, les motivations varient autant que le domaine concerné. Ainsi l’on retrouve des grands noms du sport dans des structures très éloignées de celles dans lesquelles ils avaient l’habitude d’évoluer.

1. Laurent Bernard

Cet ancien basketteur professionnel, sélectionné en équipe de France de basketball puis à Salt Lake City, a décidé de mettre fin à sa carrière après 19 ans sur le terrain. Une évaluation et une remise à niveau de ses connaissances plus tard, il crée avec l’aide d’un ami la société ACDE. Depuis 2008 cette entreprise spécialisée dans le domaine du bâti, bilan énergétique, état parasitaire ou étude d’accessibilité aux personnes en situation de handicap, ne cesse d’innover et de se développer. Un succès donc pour ce reconverti.

2. Alain Bernard

Cet ancien nageur professionnel a quant à lui a choisi de rester dans un domaine étroitement lié à celui du sport en proposant des services de coaching personnalisés. Lancée en 2014 à Antibes, son entreprise « Alain Bernard Concept » compte déjà plusieurs salariés dont un kinésithérapeute et des coaches, mais l’ancien champion olympique n’entend pas s’arrêter là et prévoit d’ouvrir des franchises. Dans un espace de 250 m2 équipés de machines dernières génération ou encore d’une salle détente avec séances de pilates, Alain Bernard met son savoir et son expérience au service de ceux et celles qui souhaitent se remettre en forme.

3. Gwendal Peizerat

Ancien patineur médaillé d’or en 2002, il a lancé sa propre société en 2004. Soléus est spécialisée dans le contrôle des équipements sportifs. L’entreprise, qui compte de nombreux clients comme des collectivités locales ou encore des parcs de loisirs, a vu son chiffre d’affaire s’envoler (300 000 euros en 2005).

4. Mickaël Merz

A seulement 28 ans, Mickaël Merz a décidé de tirer un trait sur sa carrière professionnelle dans le handball. Malgré sa passion pour le sport et ses 10 années à évoluer sur le terrain, c’est dans le domaine de l’entrepreneuriat qu’il se sent aujourd’hui le plus à son aise. Aux côtés de son père Claude, lui aussi ancien sportif de haut niveau, il dirige depuis 2009 la société immobilière Sporting. Mais il ne s’arrête pas là puisqu’il est associé avec l’ex-rugbyman Xavier Garbajosa à la tête d’une entreprise de communication et une autre dédiée à la rénovation de logements.

5. Éric Blanc

Il est certainement l’un des exemples de réussite les plus frappants. Cet ancien rugbyman sacré en 1990 a décidé de lancer Eden Park en 1988 avec l’aide de Franck Mesnel, un ancien coéquipier. Une réussite puisque la marque a franchi les frontières et se vend aujourd’hui dans le monde entier. En 2013 la société affichait un chiffre d’affaire dépassant les 45 millions d’euros et comptait plus de 180 salariés.

Les anciens sportifs de haut niveau semblent trouver la voie de la reconversion en empruntant les chemins de l’entrepreneuriat. Et il semblerait que les valeurs apportées par la pratique du sport, volonté, détermination et motivation en première ligne, soient des moteurs de réussite.

Location moyenne durée : les avantages pour les professionnels

La location moyenne durée d’un véhicule consiste à louer un véhicule sur une période courte allant de 1 à 24 mois. A l’issue de cette période, le véhicule est repris par l’organisme chargé de la location, et un nouveau véhicule plus récent est mis à votre disposition. À mi-chemin entre la location journalière et la location longue durée, quels sont les avantages réels de cette solution pour un professionnel par rapport à un achat classique ?

L’achat : pratique trop coûteuse et dépassée ?

Ce n’est plus un secret pour personne, l’achat d’un véhicule, même s’il est indispensable pour la majorité des activités professionnelles, est un investissement en pure perte, y compris pour un professionnel. L’obsolescence rapide ainsi que la perte à la revente conduisent de nombreux professionnels à se tourner vers la location moyenne durée, une formule relativement récente mais qui a déjà fait ses preuves.

Des économies de taille

L’achat d’un véhicule se fait sur fonds propres ou en recourant à un crédit, tandis que la location moyenne durée constitue une dépense en frais de fonctionnement, lissée sur toute la période d’utilisation du véhicule. De plus, l’achat d’un véhicule génère de nombreux frais annexes qui peuvent s’avérer lourds à supporter pour une entreprise, surtout au tout début de la phase d’achat. Maintenance, pneu, assistance… Autant de dépenses que toutes les entreprises ne peuvent pas nécessairement se permettre.

Des formules « all-inclusive »

Pour une utilisation irrégulière, de faibles kilométrages, ou pour un besoin ponctuel, la location moyenne durée est reconnue comme étant la formule la plus adaptée, car vous ne payez que ce que vous consommez réellement. La quasi-totalité des offres de location moyenne durée incluent en effet tous les frais annexes, de l’entretien aux pneumatiques en passant par le dépannage. C’est ce qu’on appelle les offres « all inclusive », qui constituent un gage d’économie pour les professionnels.

Une flexibilité essentielle

Dans le cadre d’un usage professionnel, l’utilisation des véhicules peut s’avérer très irrégulière. Ainsi, un véhicule peut être indispensable à certains moments mais devenir inutile durant quelques mois. La formule de location moyenne durée présente l’avantage d’être flexible, car elle permet de s’adapter à chaque situation particulière des entreprises. Si vous avez besoin d’un véhicule durant quelques mois pour un nouvel employé en CDD ou que vous devez avoir à votre disposition une voiture seulement pour une durée d’un à deux mois pour vos missions saisonnières, c’est la solution idéale. La location moyenne durée vous permet de disposer d’un véhicule à chaque fois que vous en avez besoin. Chez la plupart des loueurs, vous disposez par ailleurs d’un large choix en termes de gammes de véhicules, pour répondre au mieux à vos besoins : citadine, berline, véhicule tous terrains.

Il vous reste plus qu’à choisir !

JO à Paris en 2024 : les entrepreneurs peuvent-ils y voir une opportunité de business ?

Le 23 juin, le Conseil de Paris a officialisé la candidature de la capitale française pour l’organisation des JO à Paris en 2024. Cette nouvelle tentative fait suite à l’échec de la candidature de 2012, évincée eu profit de Londres, et ravive les projets d’aménagement en Ile-de-France. Quelles entreprises pourraient tirer leur épingle du jeu et profiter de la manne représentée par les JO ?

Des opportunités évidentes pour le BTP et l’événementiel

L’attrait économique des Jeux Olympiques n’est plus à prouver : en 2012, la compétition a permis à la Grande-Bretagne d’augmenter son PIB de 0,3 %. Si les coûts pour le projet de Paris 2024 semblent faramineux, avec une estimation à six milliards d’euros, l’événement, s’il a lieu en France, s’annonce rentable, en particulier pour les entrepreneurs et les investisseurs privés.

Le point le plus intéressant concerne l’accélération du projet du Grand Paris, qui pourrait voir la multiplication des infrastructures de transport dans toute la région. Des constructions de lignes ferroviaires sont attendues, accompagnées d’équipements annexes respectueux des normes environnementales. Les entreprises du BTP françaises auraient donc un immense marché à occuper, à la fois pour la construction, l’exploitation et l’entretien de ces futurs équipements.

Enfin, les entrepreneurs spécialisés dans l’événementiel, et en particulier dans la location de stands d’exposition, auraient tout intérêt à chercher à surfer sur la vague des Jeux Olympiques. On peut citer le cas de l’enseigne GL Events. Lors de la Coupe du monde de football 1998 en France, l’entreprise a fourni des installations modulaires autour des sites de la compétition. Cette expérience lui a donné une large reconnaissance, qui lui a permis d’étendre ses activités à d’autres évènements sportifs à travers le monde. L’entreprise est devenue aujourd’hui l’un des leaders du secteur, en particulier sur les marchés émergents.

Sponsoring et marketing sportif

Même si les coûts d’un partenariat peuvent être astronomiques (pour son rôle de sponsor entre 2017 et 2024, le géant Toyota aurait dépensé un milliard de dollars !), devenir un soutien officiel de Paris 2024 aurait des retombées considérables pour toute entreprise. Certes, qui dit évènement planétaire dit omniprésence des sponsors américains ! Mais pour autant, les entreprises françaises auraient la possibilité de s’approprier une part du gâteau.

Tout partenariat ouvre la voie à des profits importants à moyen terme. Des entreprises comme Danone, Orange, Sodexo ou Accor seraient pressenties pour rejoindre les marques partenaires de l’événement. En cas d’attribution des Jeux à Paris, il serait judicieux pour les entrepreneurs de positionner leurs sociétés à l’aune des Jeux. Se targuer de soutenir une discipline ou un athlète sélectionné serait un investissement très rentable à tous les niveaux, pour les grands groupes comme pour des entreprises plus modestes soutenant des sports mineurs, qui bénéficieraient là d’un éclairage planétaire.

Les entreprises françaises auraient par ailleurs tout intérêt à surfer sur l’événement dans leur communication, en mettant à l’honneur les valeurs du sport ainsi que les produits français. La marque Dim a parfaitement exploité ce procédé (qualifié « d’ambush marketing », ndlr) durant la Coupe du monde de rugby 2007.

Enfin, les commerces de proximité et les sociétés de transport d’Ile-de-France tireraient un immense profit des milliers de visiteurs drainés durant ces quinze jours. Avec un nombre de clients décuplé, les retombées économiques apparaîtraient comme réelles et les sources d’opportunités démultipliées !

Quels sont les logiciels qui permettent de vérifier les heures de vos employés?

Au sein de toute entreprise, le respect des horaires de travail est un point essentiel. Pour cela, il existe un certain nombre de programmes sur le marché qui permettent de suivre en détail les tâches accomplies par ses collaborateurs. Quels sont donc les logiciels les plus efficaces pour vérifier les pointages des employés ?

Les logiciels de gestion des temps

Les pointeuses-badgeuses professionnelles sont des incontournables du monde de l’entreprise. Leurs fonctionnalités permettent d’assurer une gestion optimisée des ressources humaines, que ce soit dans une société privée ou publique. Des solutions de pointage à destination des entrepreneurs rendent possibles le contrôle à distance des heures réalisées par les employés, aussi bien en télétravail que lors d’un déplacement à l’étranger. Parmi les solutions existantes, on peut citer le logiciel de gestion des temps ZEUS. Relié à une pointeuse-badgeuse, celui-ci assure la prise en compte des pointages, leur consultation à distance et les cumuls horaires en temps réel. Cette suite logicielle, fonctionnant en mode client-serveur ou en SaaS, est commercialisée par la société Deho Systems. L’entreprise fait office de référence dans le domaine de la gestion des temps, et fournit en exclusivité pour le marché français le progiciel Zeus à ses clients. On compte parmi ses clients de grandes sociétés, des organismes publics et de nombreuses PME.

Les logiciels de pointage virtuel

Une pointeuse virtuelle est un logiciel de pointage fonctionnant sur un ordinateur fixe, qui donne aux salariés la possibilité de badger depuis leur poste informatique. Ce système à la fois pratique et facile à prendre en main fonctionne à partir de l’interface sécurisée du logiciel, accessible pour chaque employé via ses identifiants personnels. La badgeuse virtuelle assure ensuite le suivi des heures de travail, que les dirigeants peuvent vérifier depuis n’importe quel ordinateur. Forte de ses 230 collaborateurs à travers le monde et de ses 25 millions d’euros de chiffre d’affaires, la firme Bodet Software commercialise des systèmes de pointage réputés pour leur fiabilité. On retrouve dans sa gamme de produits la badgeuse virtuelle Kelio Intranet, qui simplifie la gestion des temps à l’intérieur de toute société. Ce logiciel enregistre les heures d’entrée et de sortie du personnel, ainsi que les missions, départs en pause, activités et centres de charges de tous les salariés.

Les logiciels de pointage mobile

Ce progiciel permet aux collaborateurs de l’entreprise de pointer très simplement depuis leur smartphone. C’est l’outil idéal pour les commerciaux et les consultants, qui pourront badger à tous moment en mission ou depuis les locaux d’un client. Le logiciel de pointage mobile est rattaché à un site client qui informera en temps réel les entrepreneurs des prises de poste ou du développement des missions. Il s’agit d’une solution pratique qui offre réactivité et transparence, deux atouts pour mieux gérer vos activités au quotidien. La société française Teleric s’est spécialisée dans la mise au point de logiciels de pointage mobile et commercialise des solutions pour smartphone sûres et innovantes. Ses progiciels permettent de détecter une absence ou encore d’automatiser la saisie des feuilles d’heures. Les applications proposées par la marque ont déjà séduit nombre d’entreprises françaises comme les agences Crédit Agricole, Société Générale ou le Centre National de Rugby de Marcoussis.

Comment Google met-il tout en œuvre pour garder le monopole ?

Issus de la prestigieuse Université de Stanford, Larry Page et Sergueï Brin sont les fondateurs de Google. Moteur de recherche à la position monopolistique insolente, quels sont les outils et techniques que la firme californienne Google, utilise pour conserver ce monopole ?

Les outils Google

Google détient plus de 90 % du marché des moteurs de recherche, et son chiffre d’affaires s’élève à 66 milliards de dollars pour un bénéficie annuel, en 2014, de plus de 14 milliards de dollars. C’est en découvrant AltaVista, l’un des premiers moteurs de recherche des années 90, que Larry Page a inventé le fameux PageRank qui a largement contribué au succès mondial de la firme outre-Atlantique.

En perfectionnant au fil des années, ce PageRank et en améliorant ses algorithmes, Google a introduit le référencement qualitatif des liens des utilisateurs à l’aide du calcul récursif. Le moteur de recherche gère aujourd’hui plus de 300 000 milliards de pages indexées. D’une importance fondamentale pour les professionnels, Google a encore perfectionné ce PageRank en introduisant Google +, fin 2011.

En cumulant moteur de recherche et indexation, mais aussi boîte mail avec Gmail, gestionnaire de réseaux sociaux et autres applications multimédias comme le partage de photos, le cloud et la compatibilité tablettes et smartphones, Google a encore renforcé sa position dominante avec plus de 500 millions de membres et 1,5 milliard de photos mises en ligne.

Une diversification des tâches

AdWords lancée en 2000 a permis à Google de pénétrer le marché publicitaire en vendant des espaces et mots-clés aux annonceurs et spécialistes du secteur. Les professionnels se sont alors vite engouffrés dans la brèche, mais Google se réserve le droit d’annuler une campagne Adwords, peu importe son trafic généré, si celle-ci ne rentre pas dans ses critères !

Les applications innovantes à l’instar de Google Books, Google Play, Google Maps et de nombreuses autres, ont fait de Google un acteur majeur du numérique et des technologies de l’information. Bien plus qu’un simple moteur de recherche, la firme californienne cherche à monopoliser tous les secteurs. Ainsi, avec Android, elle s’est offert une place de choix sur le marché des iOs de smartphones et tablettes tactiles, avec plus de 1,5 million d’activations quotidiennes d’Android.

Des projets à long terme

Google Play et ses 50 milliards d’applications téléchargées, Google Chrome et ses 750 millions d’utilisateurs, Google Analytics avec 15 millions de sites suivis, le bouton Buy qui concurrence Amazon. Google Drive et ses 10 millions d’utilisateurs; la nébuleuse Google investit tous les foyers et tous les ordinateurs. Récemment, elle complétait son service streaming avec Google Play Music qui offre des stations de radio en streaming sans frais sur internet, faisant de l’ombre à Deezer, Apple Music…

Largement décriée par les autorités européennes, la firme est sujette régulièrement à de nombreux procès et amendes avec des sommes record.

Google investit également le monde de la recherche médicale avec de nombreux partenariats sujets au génome humain. Dénommée, Google Genomics puis aujourd’hui le projet Baseline et ensuite 23andMe, la firme californienne possède même sa propre base de données et d’outils d’analyse du génome.

Google aurait à l’heure actuelle comme projet de faire travailler ses ingénieurs sur l’apprentissage automatisé ainsi que le traitement du langage. Première étape vers l’intelligence artificielle, c’est à Raymond Kurzweil qu’il incombe de réduire la fracture existant entre l’homme et la machine. Celui-ci s’est ainsi fixé comme objectif de créer à l’horizon 2045, la toute première intelligence artificielle de l’Histoire renforçant encore un peu plus l’hégémonie mondiale de Google.

Les destinations de vacances qui semblent séduire les entrepreneurs

Bien que de nombreux chefs d’entreprise hésitent à partir en vacances, couper durant un temps avec son activité peut s’avérer salutaire. Prendre quelques jours pour soi n’est jamais une mauvaise chose, surtout lorsque son lieu de vacances offre un réel dépaysement. Ainsi, quelles sont les destinations de vacances phares du moment retenues par les entrepreneurs ?

L’Amérique du Nord

Avec près de neuf cadres sur dix qui partent en vacances chaque année, un certain nombre de destinations privilégiées se détachent. Parmi elles, l’Amérique du Nord bénéficie toujours d’un attrait particulier. Les roads-trips, ces excursions synonymes de liberté, ont plus que jamais le vent en poupe. Les Etats-Unis et le Canada sont les deux pays les plus appréciés par les cadres et les dirigeants. Ils se tournent également vers les grandes métropoles américaines, au rang desquelles New-York occupe toujours la première place. Ils se tournent également vers les grandes métropoles américaines, au rang desquelles New-York occupe toujours la première place.

Les Maldives

Même si 80 % des chefs d’entreprises avouent travailler même pendant leurs vacances, nombre d’entre eux cherchent avant tout à se ressourcer en s’éloignant de la grisaille du quotidien. À ce titre, les Maldives constituent une destination récurrente dont l’intérêt ne se tarit pas au fil des ans. Avec ses décors de carte postale, son eau turquoise et ses plages magnifiques, les Maldives permettent de se changer complètement les idées, ce qui explique l’intérêt porté à cette destination de rêve. L’île Maurice ou les Seychelles sont également plébiscitées pour les mêmes raisons, de même que des pays ensoleillés offrant à la fois les charmes du farniente et la possibilité de pratiquer les sports nautiques, comme la République Dominicaine.

L’Asie

L’attrait de l’exotisme est un facteur important dans le choix des destinations de vacances des entrepreneurs. Mêlant culture et nature, favorisant les rencontres humaines et la découverte, les pays asiatiques promettent un dépaysement total. Si Bali et la Birmanie sont appréciés, c’est surtout la Thaïlande que les chefs d’entreprise plébiscitent. Le pays offre un parfait cadre de détente, des tarifs bas ainsi qu’un réseau internet particulièrement développé, idéal pour ne pas totalement couper avec le travail. La 3G et la 5G sont accessibles sur tout le territoire et chaque lieu touristique possède le WiFi. Avec ses plages paradisiaques et ses hôtels de luxe, la Thaïlande constitue une destination privilégiée par les entrepreneurs.

Le Sud de la France

Avec seulement 58 % des dirigeants de PME et TPE qui avouent partir en vacances chaque année, et à peine plus de la moitié d’entre eux qui reconnaissent ne prendre qu’une semaine annuelle de repos, le choix d’un lieu de vacances se trouvant à proximité de l’entreprise est tout à fait compréhensible. La France demeure donc un lieu de vacances toujours attractif pour les dirigeants d’entreprise. Le Sud offre un cadre de vie idéal avec ses plages, ses lieux de détente et ses sites touristiques animés. Les dirigeants s’orientent volontiers vers des régions où il fait bon vivre comme le Pays basque, la Corse ou la Côte d’Azur, à quelques heures de trajet à peine de Paris.