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3 bonnes raisons d’entreprendre quand on est jeune…

Certains disent qu’il n’y a pas d’âge pour entreprendre. Une chose est sûre : se lancer lorsqu’on est jeune comporte l’avantage de ne rien avoir à perdre ou presque mais surtout, d’avoir tout à gagner. Voici d’ores et déjà trois bonnes raisons d’entreprendre de créer son entreprise quand on est jeune.

L’endurance.

Si l’on peut souvent avoir le sentiment d’être débordé lorsqu’on est jeune, sachez qu’avec le recul, vous n’aurez jamais l’impression d’avoir eu autant de temps à consacrer à vos projets. Et l’entrepreneuriat nécessite de la patience, et donc du temps. Valider une idée, savoir si son business model est viable, tester un produit ou service… Autant de décisions qui prennent du temps. L’avantage en étant jeune, se résume, en partie, sur votre vision long terme et sur votre énergie, qui vous permettront de tenir la distance.

Le manque d’argent.

Si la raison citée peut, au départ, sembler aberrante, réfléchissez d’une autre façon : partir de zéro signifie ne rien avoir à perdre… Pas de famille à nourrir, de carrière à sacrifier ou de dettes à payer. Autrement dit, tout à gagner ! S’ajoute à ce point le fait que, ne pas avoir beaucoup d’argent, vous obligera, non seulement, dans un premier temps, à vous débrouiller avec presque rien mais aussi à en trouver pour perdurer.

Ne (presque) rien savoir.

D’abord considéré comme un obstacle, disposer d’une très faible connaissance sur l’univers professionnel peut se révéler un atout. Votre inconscience et votre insouciance sont en effet synonymes de fraîcheur ! Plus difficile de la faire encore valoir au bout de trente ans de vie active… Et puis, souvenez-vous, la réussite entrepreneuriale passe aussi par le fait de savoir se démarquer.

Mon employeur me propose de devenir dirigeant(e) !

Actuellement cadre salarié(e), votre employeur vous propose de devenir dirigeant(e), mandataire social(e), dans la société (directeur, directrice général(e), directeur, directrice  général (e) délégué(e) ). En dehors de votre fonction proprement dite, qu’est-ce que cela change pour vous ?

Votre contrat de travail peut être soit suspendu, soit rompu, soit cumulé avec le mandat de dirigeant. Chacune de ces situations présente des caractéristiques propres.
Dans une situation de suspension ou de rupture du contrat de travail, le statut de dirigeant se substitue au statut de salarié.

1 – En cas de rupture du contrat de travail (par hypothèse pour cause de démission), le passage du statut de salarié à celui de dirigeant sera définitif.

A la fin du mandat social, vous n’aurez plus aucun lien avec la société, sauf à négocier de nouveaux accords.

2 – En cas de suspension du contrat de travail, celui-ci reprendra automatiquement son cours après la cessation de votre mandat de dirigeant, et ce, quels qu’en soient les motifs.

Cette suspension est automatique, si aucune convention particulière ne prévoit la rupture du contrat de travail ou le cumul de ce contrat avec le mandat social.

Votre nouveau statut de dirigeant(e) fait naître des droits et obligations spécifiques qui dépendent des fonctions qui vous seront confiées et des avantages que la société vous aura consentis.

Au niveau de votre mandat social, votre relation avec la société sera réglementée par le droit des sociétés et par les conventions conclues avec votre société. à titre d’exemple, la révocation de votre mandat de dirigeant ne sera pas obligatoirement motivée, ni indemnisée. D’un point de vue social, vous ne bénéficierez pas automatiquement de la protection sociale complémentaire, ni de l’assurance-chômage ; votre régime de retraite supplémentaire sera encadré. Néanmoins, votre statut de dirigeant(e) pourra être aménagé par une convention conclue  avec la société, prévoyant la souscription à un régime de protection sociale supplémentaire spécifique, une indemnité en cas de rupture, une indemnité conventionnelle d’assurance-chômage…

3 – En cas de cumul mandat social/contrat de travail, les droits et obligations liés à chaque statut coexistent en parallèle.

Outre les particularités liées à la fonction de dirigeant évoquées ci-dessus, vous bénéficiez en qualité de salarié(e), des règles protectrices du droit du travail, notamment des droits qui vous sont reconnus par la convention collective applicable à votre société et par votre contrat de travail (prévoyance, congés, indemnités de retraites, indemnités de licenciement….)

Le cumul des statuts n’est possible que si vous exercez des fonctions techniques distinctes des attributions qui vous sont dévolues en qualité de dirigeant.

En conclusion, afin de définir les aspects pratiques de cette nomination et notamment de choisir :

  • entre le maintien, la suspension ou la rupture du contrat de travail,
  • les droits attachés au contrat de travail et préservés durant l’exercice du mandat de dirigeant,
  • les conditions de l’éventuelle reprise du contrat de travail (rémunération, fonction, mobilité )
  • les conditions de la rupture du mandat de dirigeant (révocation motivée ou non, indemnité conventionnelle…),
  • la rédaction d’une convention avec votre société, avant votre entrée en fonction, est fortement recommandée.

Pourquoi faire une refonte de son site internet ?

Pour de nombreuses entreprises, le site est devenu un outil incontournable que ce soit pour les clients, les prospects ou encore les partenaires. Il permet notamment de donner des informations sur votre activité ou bien de vendre directement vos produits. Les internautes peuvent trouver votre site obsolète et avoir du mal à y rester. Alors pourquoi ne pas envisager une totale refonte de votre site, pour devenir plus attractif ?

Des bonnes raisons pour tout refaire

Internet a évolué très rapidement ces dernières années et de nombreuses entreprises se révèlent être à la traîne avec leur site, ayant conservé leur site d’origine. Elles souhaitent garder leur interface un peu vieillissante mais un site fort attrayant entre 2000 et 2010, peut parfois ne plus l’être aujourd’hui. Une navigation peu pragmatique et qui demande de nombreux clics avant de parvenir à l’information recherchée mène les internautes à quitter le site pour celui d’un concurrent plus moderne ou disposant d’une interface responsive.

Pour les internautes, le design et la rapidité de chargement constituent, aujourd’hui, un élément clé. Permettre de naviguer aisément avec des couleurs attractives est devenu un incontournable. Moderniser votre site doit être envisagé, par exemple, pour vous adapter aux différentes plateformes comme les tablettes ou les smartphones. Il s’agit alors de rendre votre site « responsive », ce qui nécessite généralement une refonte.

Que mettre en place pour moderniser un site ?

Toutes les entreprises ne bénéficient pas forcément de personnes dédiées à la conception d’un site web en interne. Refaire un site adapté aux nouvelles technologies demande des compétences en graphisme et en développement et vouloir s’improviser webmaster est une gageure qu’il est inutile de tenter.

La meilleure solution pour envisager une refonte consiste, en général, à faire appel à un professionnel ou s’il s’agit d’un simple site vitrine pour ceux qui vous connaissent à faire appel à des solutions clés en main. Le professionnel pourra vous réaliser un site optimisé avec toutes les fonctionnalités nécessaires notamment si vous avez besoin d’un site évolué. Ce spécialiste vous conseillera sur le type de refonte qui s’adaptera à votre plateforme et à vos besoins.

La refonte, s’il s’agit uniquement d’un relooking visuel et non d’agir sur les fonctionnalités, peut effectivement demander peu d’investissement. N’oubliez pas que moderniser un site n’est pas à la porété de tous et que ce sera à vous de déterminer les fonctions dont vous aurez besoin. A défaut, la facture pourrait très bien s’alourdir au fur-et-à-mesure de vos nouvelles demandes. N’hésitez pas à inscrire dans votre cahier des charges les éléments qui vous paraissent essentiels comme l’ergonomie, le temps de chargement ou encore les fonctionnalités. Un des points à ne pas négliger réside dans le design qui est porteur des valeurs de l’entreprise. Aujourd’hui, la plupart des sites possèdent des designs très épurés qui correspondent aux dernières tendances. L’objectif consiste à être pragmatique pour que l’utilisateur ne se perde pas dans la masse de données et il doit pouvoir naviguer sans difficultés et sans chercher une information pendant des heures.

Conserver l’objectif de son site

Moderniser un site reste toujours une bonne idée particulièrement si c’est pour vous mettre à la page. Il faut cependant ne pas oublier vos objectifs et ce que vous voulez transmettre à travers votre site et l’utilisation que vous souhaitez en faire. Une fois ceux-ci déterminés, n’oubliez pas que le référencement jouera également un rôle clé notamment si vous cherchez à attirer une nouvelle clientèle : un site rapide et beau ne vaut rien si personne n’y vient.

Pensez également à vos futures évolutions car le site doit s’adapter aux nouvelles technologies qui ne cessent d’apparaître. Il pourra s’avérer utile de mettre en place certaines fonctionnalités même si vous ne les utilisez pas aujourd’hui.

La maîtrise de l’administration du site reste un plus, elle vous évite de faire appel à votre webmaster dès que vous faites le moindre changement.  Posséder une interface simple, pourra vous faire gagner du temps notamment si vous voulez pouvoir changer votre contenu régulièrement.

Comment se séparer d’un associé ?

Se lancer dans l’aventure ne se fait pas toujours seul. Lors de la création d’une entreprise il est courant de faire le choix de s’associer. La puissance de travail s’en trouve démultipliée au quotidien et une collaboration étroite se forme pour faire perdurer l’activité. Pourtant, il est courant que l’association ne fonctionne pas ou que l’un d’entre eux abandonne. Comment faire pour gérer cette situation difficile et se séparer d’un associé ?

La séparation par l’achat ou la vente des parts

Lorsque des associés ne s’entendent plus, différentes solutions existent. Cette situation de crise demande logiquement un minimum de négociation. Dès la création de l’entreprise, il s’avère préférable de prévoir des clauses afin de prévenir une prochaine mésentente et éviter la paralysie de l’entreprise. Dans le cas, où des clauses n’auraient pas été prévues au préalable, la principale solution utilisée consiste à racheter les parts de votre associé ou des vendre les vôtres.

Pour réussir à trouver un terrain d’entente, une phase de négociation sera nécessaire car il faut s’entendre sur le prix de vente. Or, dans le cas d’un départ, il s’agit avant tout de se mettre d’accord avec un associé qui souhaite désormais préserver son intérêt personnel (en toucher le maximum) contre l’intérêt des autres ou de la société (en payer le moins possible).

Si la séparation est liée à une mésentente, n’oubliez pas que les conflits passés pourraient mettre en péril la bonne marche des choses. Pour mener à bien cette phase, il s’agit de se prendre sur soi et de se mettre d’accord sur un prix de rachat ainsi que sur les conditions de départ de l’autre associé. Réussir à fixer un prix durant un conflit peut se révéler difficile et il vous faudra parfois faire appel à un tiers. Il se chargera de déterminer un prix raisonnable afin que chacun puisse y trouver son compte. Dans le cas d’un désaccord sur le prix, le tribunal de Commerce pourra lui-même désigner un expert. Prenez tout de même en compte que vous ne pouvez forcer, sauf conditions exceptionnelles, un actionnaire à vendre ses parts.

Une fois l’accord passé sur le prix entre les associés, l’étape suivante consiste à rédiger l’acte de cession. Dans le cas de départ d’un associé, il est en général inscrit dans les statuts ou pactes, un droit de préemption ou une procédure d’agrément du nouvel acquéreur. Le droit de préemption permet aux autres associés d’être prioritaires sur le rachat des parts.

En ce qui concerne la seconde solution, elle est souvent inscrite pour éviter les nouveaux associés que personne ne désirerait. La cession justifie la tenue d’une assemblée générale des associés et/ou des actionnaires, qui devront voter la cession des parts à un tiers ou à l’un des associés déjà existants. Lors d’une mésentente et malgré cette clause, il arrive que l’associé sortant refuse de céder ses parts. Dans ce cas et si lors de la création d’entreprise des clauses d’exclusion ou de droit de retrait n’ont pas été fixées, il reste une solution qui s’avère être la plus radicale.

LA solution radicale : dissoudre la société

Malgré une décision commune de la part des associés de se séparer, il arrive qu’aucun accord ne convienne à aucune des parties. Si la cession des parts devient inenvisageable pour chacun, la solution ultime reste celle de la dissolution de la société. Très radicale, elle se produit généralement quand la mésentente ne permet plus un fonctionnement correct de l’activité. L’article 1844-7 du code civil prévoit « la dissolution judiciaire prononcée par le tribunal à la demande d’un associé, pour justes motifs, notamment en cas d’inexécution de ses obligations par un associé ou de mésentente entre associés paralysant le fonctionnement de la société. » car n’oublions pas que ce n’est pas parce qu’un associé fondateur devient inactif qu’il ne peut garder ses parts.

La dissolution d’une société reste relativement encadrée et ne peut être envisagée dans certains cas. Une telle demande nécessite d’être motivée et l’associé qui la demande ne peut être à l’origine des mésententes. Si l’associé fautif réclame la dissolution et qu’il en est à l’origne, il pourrait bien se retrouver condamné à payer des dommages et intérêts. Comme l’article 1844-7 du code civil le prévoit une justification doit être apportée auprès des juges. L’associé responsable de la demande s’engage donc à prouver l’existence d’une mésentente grave et sérieuse paralysant le fonctionnement de la société.

N’oubliez pas que la dissolution dans ce cadre est à l’appréciation du juge qui peut très bien la refuser. Si la société s’avère économiquement viable, un administrateur provisoire sera nominé pour continuer d’assurer le fonctionnement de l’entreprise.

Prévenir la séparation dans le pacte d’associés

Pour éviter une mésentente avérée des associés, il s’avère préférable de prévenir ces situations lors de la création de la société. Vous pouvez très bien prévoir cette situation dans le pacte d’actionnaires ou d’associés.

Un expert juridique pourra vous aiguiller en choisissant les clauses adaptées pour le pacte d’associés. En fonction de celles choisies, diverses solutions s’offriront à vous lors d’un possible conflit. Parmi les plus courantes, il existe la clause de buy or sell qui propose de racheter les parts de l’autre associé ou bien qu’ils doivent les vendre. Dans le cas où il souhaite vendre ses parts, mieux vaut penser à la clause d’agrément. Cette dernière permet d’avoir un droit de regard sur la tierce personne voulant racheter les parts de l’associer sortant.

Lors de la rédaction du pacte d’associés, pensez à envisager une possible clause d’exclusion ou à un droit de retrait. Ils permettent à l’associé sortant de partir avec ses apports tout en quittant définitivement la société.

Lors de conflits entre associés, il s’avère préférable de trouver un bon terrain d’entente afin de ne pas être obligé de saisir la justice. Pour ne pas vous compliquer la vie, mieux vaut, vous préparer à l’avance dès la création de votre entreprise.

Un été malin pour une rentrée sereine

A peine l’été arrivé qu’on pense déjà à la rentrée… Et une bonne rentrée sereine, ça se prépare ! Comme les écoliers qui, l’été venu, se ravitaillent en cahiers et stylos pour bien démarrer l’année, les entreprises doivent, elles aussi, anticiper.

Pourquoi ne pas profiter des mois de juillet et août, où les carnets de commandes sont généralement moins remplis, pour faire toutes ces dix milles choses qu’on n’a par ailleurs pas le temps de faire ? Mettez toutes les chances de votre côté pour démarrer la rentrée avec l’esprit léger : commandez dès maintenant toutes les fournitures qui vont vous être nécessaires jusqu’à l’été prochain. Vous serez bien content d’avoir suffisamment de feuilles blanches dans votre stock quand il faudra, dans le rush, imprimer des contrats en plusieurs exemplaires ! Promis, en suivant nos conseils, vous pourrez partir à la plage le cœur tranquille… et la to do list de rentrée allégée ! Les entrepreneurs à succès vous le diront tous : un des secrets du succès vient de l’anticipation.

Gagner en efficacité

Se procurer des fournitures oui, mais autant faire en sorte que la recherche du bon matériel soit la plus efficace possible. Se balader d’une papeterie, pour trouver des stylos, jusqu’au un marchand de meuble, pour dénicher un nouveau bureau, en passant par le supermarché, pour faire le plein de gobelets en plastique… vous avez bien d’autres choses à faire ! La solution la plus adaptée pour les professionnels reste la vente à distance auprès d’un acteur spécialisé dans les fournitures de bureau. Ces distributeurs vous proposent de commander en un site unique toutes les éléments nécessaires pour équiper entièrement votre bureau. Ces sites proposent en général un large choix de fournitures de bureau qui peuvent vous être livrées dans des délais très brefs. Un élément essentiel pour faire preuve de réactivité face à vos clients !

Faire le bon choix

En matière de fournitures, le dirigeant doit savoir faire les bons choix. Vous trouverez sur Internet des fiches pratiques et des conseils pour vous aider à sélectionner les fournitures les plus adaptées à votre secteur et à vos modes de travail. Pratique pour choisir, par exemple, un siège de bureau qui conviendra parfaitement à l’usage que vous en ferez. N’oubliez pas : la qualité du poste de travail est le premier élément qui contribue au bien-être de votre salarié dans l’entreprise. En matière d’achat de fourniture comme dans la création d’entreprise, être bien accompagné est une des clés de la réussite !

Réduire ses coûts

Avide de conseils pour optimiser au maximum votre trésorerie ? Alors il vous faut savoir que, pour réduire ses coûts structurels, il faut d’abord commencer par traquer, pour chaque petite dépense, les meilleurs prix sur le marché. « Si l’on fait attention à chaque centime, notre fortune est faite » dit l’adage populaire. En clair, si vous voulez couper au maximum vos dépenses, une des actions de base que vous pouvez entreprendre est de trouver un prestataire bon marché pour vos fournitures de bureau. Bon marché, certes, mais sans rogner sur la qualité ! Les acteurs spécialisés dans la vente en ligne de fournitures pour professionnels sont les mieux à même de répondre à ces deux impératifs en proposant des marques certifiées, mais à des prix compétitifs. Un bon plan pour faire le plein de cartouches jet d’encre ou de cartouches laser pour votre imprimante. Guettez bien : sur les sites de ces distributeurs, vous trouverez de nombreuses offres spéciales sur les cartouches qui vous permettront de vous équiper à moindre frais.

Efficacité, qualité et économies : en choisissant un bon distributeur de fournitures pour équiper vos bureaux cet été, pas de doutes, pour vous cette rentrée ne rimera pas avec stressé !

 

Les jeunes, un second souffle à l’entrepreneuriat

Manque de temps et/ou d’argent, peu voire pas d’expérience professionnelle, absence de réseau… Autant de difficultés auxquelles se heurtent bien des jeunes désireux d’entreprendre. Forts de leur ambition et de leur énergie, ce sont, pourtant, eux les entrepreneurs de demain. 

La période de crise n’étant pas totalement derrière nous, les jeunes mettent en exergue la peur de prendre des risques comme l’une des raisons pour ne pas entreprendre. S’ajoute à cela, leur manque de temps et d’argent notamment pour ceux encore étudiants, leur faible expérience professionnelle ou encore leur absence de réseau solide. Les jeunes entrepreneurs qui ont réussi sont, pourtant, nombreux : Mark Zuckerberg n’avait que 19 ans lorsqu’il a cofondé Facebook en 2004, Larry Page et Sergey Brin soufflaient, eux, leur 23ème bougie quand ils se sont lancés dans l’aventure Google… Les Américains ne sont d’ailleurs pas les seuls à détenir leurs « success stories » entrepreneuriales puisque d’autres comme Pierre Kosciusko-Morizet, qui a cofondé PriceMinister à l’âge de 23 ans ou Xavier Niel, à l’origine de Free, se sont, eux aussi, démarqués par leur réussite.

La peur de l’échec en période de crise

Parmi les jeunes de moins de trente ans qui affirment ne pas envisager la création d’entreprise comme une possibilité pour leur avenir, 25 % évoquent la peur d’échouer comme frein principal, selon une étude réalisée par l’AFE (Agence France Entrepreneur, anciennement l’Agence Pour la Création d’Entreprises, ndlr) de 2016. Pour John Chambers, ex dirigeant de Cisco, leader mondial de la transformation numérique, de l’IT et des réseaux, « le rapport à l’échec est perçu en France de façon diamétralement opposée à La la Silicon Valley où il est perçu comme un élément inhérent de la prise de risque, et nécessaire au progrès ». Si le phénomène lié à la peur de l’échec semble persister, en France, des aides sont prévues par l’État afin d’inciter les jeunes à entreprendre et les aider dans leur démarche entrepreneuriale, pas toujours évidente.

Les aides dédiées aux jeunes créateurs

En plus de la « love money », financement provenant de la famille, d’amis ou de proches et destiné au lancement de l’activité, et du crowdfunding, forme de financement participatif, des aides spécifiques existent pour aider les jeunes créateurs d’entreprise.

  • Le dispositif Nacre (Nouvel accompagnement à la création ou la reprise d’entreprise) se présente comme une aide au montage du projet de création ou de reprise d’entreprise ainsi qu’au développement de celle-ci. Ce dispositif s’adresse aux personnes âgées de 18 à 25 ans ou ayant moins de 30 ans dans le cas où elles ne seraient pas indemnisées par l’assurance chômage ou reconnues handicapées. Il prévoit également un prêt à taux zéro et sans garantie d’un montant allant de 1 000 à 10 000 euros.
  • CréaJeunes se place, quant à lui, comme un programme d’accompagnement à la création d’entreprise. Il se voit proposé, gratuitement, aux jeunes de 18 à 32 ans par l’Adie (Association pour le droit à l’initiative économique). Il s’agit, principalement, d’ateliers regroupant une dizaine de participants sur six à huit semaines, qui visent à aider les jeunes créateurs à préparer leur projet et à leur permettre d’accéder à un microcrédit.
  • Proposé par France Active, Cap’Jeunes est destiné aux jeunes demandeurs d’emploi de moins de 26 ans. À la clé, un accompagnement renforcé mais aussi une prime de 2 000 euros pour le démarrage de leur activité.
  • Dans la limite de 120 % du Smic, l’Accre (Aide aux chômeurs créateurs et repreneurs d’entreprises) prend la forme d’une exonération de charges sociales pour une durée d’un ou trois ans, en fonction des cas. Cette aide vise différentes catégories de créateurs et de repreneurs notamment celle des 18 – 25 ans ainsi que pour les personnes de moins de 30 ans non indemnisées par l’assurance chômage ou reconnues handicapées.
  • Autre dispositif : le statut de jeune entreprise universitaire. Permettant des avantages sociaux et fiscaux, il concerne les entreprises dirigées ou détenues directement par des étudiants à hauteur d’au moins 10 % de leur capital, des personnes titulaires depuis moins de cinq ans d’un master ou d’un doctorat, ou bien affectées à des activités d’enseignement ou de recherche.

Le statut d’étudiant-entrepreneur a tout pour plaire !

Vous êtes jeune, étudiant et vous souhaitez vous lancer dans l’aventure entrepreneuriale ? Alors n’attendez pas la fin de vos études pour sauter le pas ! Le statut d’étudiant-entrepreneur s’adresse aux étudiants ou jeunes diplômés âgés de moins de 28 ans qui détiennent un projet de création d’entreprise. Afin que les étudiants mènent à bien leur projet, le dispositif prévoit un encadrement au sein d’un PEPITE (Pôle étudiant qui accompagne les jeunes entrepreneurs, ndlr), des aménagements d’emploi du temps, des crédits ECTS et la possibilité de substituer au stage le travail sur son projet. Toujours côté étudiants, le statut permet de profiter d’un accompagnement personnalisé, d’une aide à la recherche de financements, d’une mise en réseau et d’un accès au lieu de coworking du PEPITE. Il est également possible de signer un Contrat d’Appui au Projet d’Entreprise (CAPE) et d’obtenir un diplôme. Pour ceux déjà diplômés, ce dispositif constitue le moyen de conserver ou de retrouver leur statut d’étudiant (avec tous les avantages qui vont avec). Une formation qualifiante, dédiée et personnalisée (D2E) à l’entrepreneuriat et à la gestion ainsi qu’un accompagnement par des professionnels sont également au programme. Plus de 3 000 personnes se sont déjà portées candidates à l’obtention du statut national d’étudiant-entrepreneur lors de l’année universitaire 2016 – 2017.

Comment se mettre en avant en tant qu’entrepreneur ?

Un entrepreneur apprécie toujours que l’on parle de son entreprise (en bien). La communication de votre société peut être réalisée par des personnes dédiées mais une des manières consiste à prendre vous, la parole. Alors comment réussir à se mettre en avant sans en faire trop ? Le but n’étant pas de voir votre nom placardé partout mais que votre image contribue à celle de votre entreprise.

Se diversifier

Avoir une meilleure visibilité en tant qu’entrepreneur repose sur vos propres actions. Pour que vous soyez reconnu dans votre milieu, le meilleur moyen reste de vous mettre en avant en prenant la parole. Commencez par sortir de votre grotte et à vous montrer lorsque votre entreprise collabore avec d’autres sur des projets communs. Vous pouvez aller plus loin en participant à des conférences, des ateliers et des groupes de travail. Ce début de travail vous permettra de sortir de votre cercle. si vous n’êtes pas nécessairement le speaker, rencontrer des personnes de secteurs différents peut s’avérer bénéfique pour votre visibilité. Attention toutefois à ne pas en faire trop, vous pourriez passer pour une personne narcissique. L’essentiel réside sur l’effet réseau et donc n’oubliez pas d’écouter les autres. Ils peuvent vous apporter des conseils et des informations qui pourraient d’ailleurs vous être utiles.

Marquer le coup

Avoir une meilleure visibilité passe souvent par des prises de risque. Depuis l’avènement des réseaux sociaux, il s’avère courant de voir des entrepreneurs qui essayent de se démarquer avec des histoires un peu loufoques, des actions démesurées ou des déclarations chocs. Vous pouvez aussi envisager le buzz, mais n’oubliez pas que se démarquer en faisant du bruit peut aussi se retourner contre vous. Trouver l’information utile demande un minimum de réflexion afin de ne pas tomber dans le bad buzz ou encore se perdre dans la masse. Il s’agit de vous mettre en scène en tant qu’entrepreneur avec votre histoire. Faites tout de même attention au sujet que vous comptez exploiter, vous devez vous mettre en avant sans pour autant inventer des histoires rocambolesques. Marquer le coup pourrait vous apporter de la notoriété et vous faire connaître auprès de vos pairs, mais attention le buzz s’essouffle très vite.

Être actif sur les réseaux sociaux

Être dirigeant d’une entreprise ne rime pas forcément avec sérieux. Elon Musk le dirigeant de Tesla, par exemple, aime s’exprimer sur les réseaux sociaux à travers des blagues loufoques. Très connu à l’origine pour ses nombreuses entreprises, il sait pourtant se faire apprécier par sa communauté. Les réseaux sociaux fédèrent désormais une relation entre une communauté et un entrepreneur. Sur ce coup, il ne s’agit pas de mettre votre entreprise en avant mais bien votre image d’entrepreneur. N’hésitez pas à être à l’affût sur les réseaux sociaux en communiquant régulièrement avec vos abonnés. Et comme la plupart des influenceurs, jouer sur votre vie d’entrepreneur et les surprises dont elle regorge à travers des posts photos. Il s’agit d’être pertinent avec votre image et de ne pas en faire trop pour autant. L’objectif consiste à gagner en visibilité et non à se former une mauvaise e-réputation.

Faire du storytelling

Bien connu dans le milieu du marketing et de la publicité, le storytelling aide à mettre en avant un produit ou une marque. Il consiste à raconter une histoire pouvant toucher des lecteurs, des spectateurs ou bien des internautes. Il ne s’agit pas d’inventer une vie montée de toutes pièces mais de savoir raconter votre parcours et comment vous l’avez vécu. Vous avez surement une anecdote qui vous a marqué et qui pourra vous permettre de vous démarquer. L’essentiel repose sur la transmission des émotions chez un public. Faites en sorte de bien choisir les informations de votre histoire sans jamais en faire trop. Il s’avère utile de relier des éléments pertinents, comme vos échecs, par exemple. Ils font partie de la vie de chacun, puisque tout le monde en a déjà fait l’expérience. En parler au sein de votre storytelling sera intéressant afin que n’importe qui se reconnaisse dans votre histoire. Il s’agit d’une notion universelle. Avoir un bon storytelling permet de transmettre une image élaborée et humaine auprès de tous.

Toujours adapter son message en fonction de sa cible

Vouloir une meilleure visibilité se travaille et demande une certaine réflexion avant de se lancer dans le grand bain. Se mettre en avant reste relativement simple au quotidien, mais gardez en tête que selon votre cible le message sera différent. Si vous comptez vous adresser à vos pairs, vous n’aurez pas la même approche qu’avec des jeunes sur les réseaux sociaux. En tant qu’entrepreneur se démarquer aide à faire connaître ses projets et son entreprise mais en fonction de ce que vous recherchez, il s’avère nécessaire d’adapter vos propos. Quand la notoriété commence à apparaître, les médias pourraient bien vous solliciter.

Se mettre en avant pour obtenir une meilleure visibilité consiste à adapter sa parole en fonction d’une certaine cible. Bien que l’épreuve puisse paraître compliquée, il faut savoir persévérer. Vouloir un peu plus de notoriété ne se produit pas du jour au lendemain bien au contraire. Il s’agit d’entretenir des bonnes relations avec vos pairs, votre communauté ainsi que les médias. Vous pourrez alors vous exprimer plus librement et monter davantage sur le devant de la scène.

Comment s’adapter à la génération Z ?

Si les « millennials » s’avèrent être une expression relativement courante chez les marketeurs mais  la génération Z reste encore un peu dans l’ombre. Ces jeunes nés après 1995 et jusqu’à la fin des années 2000, elle devient une préoccupation pour la plupart des entreprises. Non éloignés de la génération précédente des millennials, leurs attentes restent bien différentes. Un point à prendre en compte pour ne pas rester sur le carreau et satisfaire ces jeunes nés dans l’ère d’internet.

Les réseaux sociaux, un élément primordial dans les décisions

Bien qu’ils soient encore très jeunes, ces consommateurs demeurent très exigeants. Une étude publiée récemment par la National Retail Federation et l’Institute for Business Value a interrogé 15 600 personnes de 13 à 21 ans pour comprendre les habitudes d’achat de cette génération addict à internet. Pour établir des statistiques pertinentes, l’étude se base sur un panel de 16 pays différents avec des pays développés (Etats-Unis, Royaume-Uni) ainsi que les pays en développement comme le Brésil et L’Inde. Très habitués aux réseaux sociaux, ces jeunes s’attachent à ces plateformes qui constituent un élément indispensable dans leur décision d’achat. Internet reste leur domaine de prédilection mais ils réalisent encore leurs achats en magasin pour 67% des sondés. Les circuits de distribution traditionnels restent donc encore en vogue pour le moment mais Internet a tout de même une utilité pour ces jeunes. Ils utilisent fréquemment leur smartphone pour trouver des prix et des rabais et comparer les différents revendeurs.

Friands des technologies et des divers réseaux sociaux, ils s’en servent au quotidien particulièrement en magasin. Ils n’hésitent pas à échanger afin d’être sûrs de leurs choix. 73% interagissent sur les réseaux durant leurs achats en magasin et 46% profitent de leur communauté pour avoir un avis. D’après ce que démontre l’étude, la génération Z rencontre des difficultés à se détacher des réseaux sociaux puisqu’il s’agit de leur moyen de communication privilégié. Leurs habitudes d’achat dépendent fortement de Twitter, d’Instagram ou encore de Youtube. Une étude réalisée par Adyen sur 2000 jeunes Américains démontre qu’ils restent relativement attirés par les publicités, les vidéos et les posts sur les différents réseaux. Parmi ces jeunes, 41% affirment que les publicités Facebook ont permis de leur faire acheter un produit, 30% avouent que les vidéos Youtube jouent aussi un rôle, tout comme les posts Instagram (26%). Si les réseaux sociaux constituent une véritable influence, les vendeurs en magasin restent peu appréciés de cette jeune génération. Seulement 7% apprécient interagir avec un vendeur durant leurs achats.

La génération Z toujours plus exigeante

Une volonté que tout soit disponible

La génération Z est une génération exigeante qui souhaite se rendre en boutique pour une bonne raison. Ils estiment que se déplacer doit nécessiter une totale disponibilité du produit. Avant de se rendre en magasin, ils se renseignent sur les stocks. Les grandes marques tentent donc de répondre à leurs attentes comme Zara, ou même la Fnac. Les plateformes d’achats se sont adaptées et proposent de plus en plus de vérifier si le produit se trouve dans les magasins à proximité. Pour que les consommateurs ne perdent plus leur temps, les sites vont plus loin en proposant le Click and Collect, une pratique permettant au consommateur d’acheter un produit directement sur Internet pour ensuite venir le récupérer en magasin.

 

La personnalisation, un souhait

Très friands de la technologie, les jeunes de la génération Z préfèrent qu’elle soit mise à profit afin que leur expérience d’achat soit d’autant plus personnalisée. Parmi les consommateurs, 48% voudraient avoir la possibilité de customiser leurs achats et 42% souhaiteraient pouvoir contribuer au design en retrouvant leur produit imprimé en 3D. Ce type de pratique se démocratise encore peu mais devrait connaitre un succès dans l’avenir. Certaines marques comme Nike ont d’ailleurs suivi la tendance pour que chaque client puisse avoir un modèle de sneakers à ses goûts. Si les grandes marques peuvent contribuer à une meilleure expérience client, les petites entreprises rencontrent encore des difficultés de ce côté. Penser la personnalisation des produits ou repenser l’expérience d’achat entraîne un coût. Les marques tentent d’innover avec des technologies spéciales pour guider les consommateurs.

Les jeunes de la génération Z souhaitent toujours plus que la technologie soit présente dans leur achat. Dans l’étude d’Adyen sur 2000 jeunes Américains, 44% des sondés voudraient que les technologies autour de la réalité virtuelle se développent d’ici les prochains mois. Elles permettraient une immersion dans un univers virtuel où le consommateur pourrait se rendre compte de l’utilité et de la qualité d’un produit avant l’achat. Dans cette visée, Ikea a annoncé développer des solutions de réalité virtuelle et augmentée pour que l’acheteur puisse se rendre compte de l’aménagement de son espace avec les meubles de la marque. Si la génération Z recherche ce type d’expériences, les marques restent encore à la traine. Le concept prend du sens pour le géant Suédois mais pour les autres entreprises, il s’avère encore difficile d’imaginer leur produit dans une autre dimension.

Bien qu’ils soient friands de ce type d’expériences, le rapport de l’étude de National Retail Federation et de l’Institute for Business Value évoque qu’ils ne souhaitent pas l’avènement des gadgets mais des technologies qui leur donnent une plus-value. En tant qu’entreprise, se questionner sur le comportement de cette jeune génération s’avère nécessaire puisque d’ici quelques années, ils deviendront des consommateurs affirmés. Attention toutefois à ce que vous souhaitez mettre en place ! Très axés sur la technologie, ils privilégient les applications performantes avec une navigation simple et rapide. À vous de jouer !

Quelques étapes pour faciliter la vente de son entreprise

Que vous envisagiez de vendre votre entreprise maintenant ou plus tard, il y a quelques éléments à garder en tête pour faciliter la vente. Et bien sûr, cela sous-entend aussi une optimisation du prix de vente.

Il est important de préparer la cession de votre entreprise,même si vous ne considérez pas encore cette possibilité. La vente d’une entreprise se prépare en quelque sorte chaque jour, et non au dernier moment. Le fait de faire tout pour faciliter une possible vente améliore la santé économique de l’entreprise et attire les acheteurs potentiels.

Reconnaître et identifier les acheteurs potentiels

les acheteurs potentiels peuvent vouloir acheter votre entreprise pour plusieurs raisons. Il peut bien sûr s’agir de profiter des revenus dégagés de votre entreprise mais aussi d’avoir accès aux brevets de l’entreprise, avoir accès à une base client. Ils peuvent vouloir votre entreprise pour elle-même où pour aider une autre entreprise à se développer. Il est important de bien les identifier pour adapter votre stratégie. Vous devrez peut-être vous montrer plus attentif sur la propriété intellectuelle ou bien faire tout pour conserver un client clé. Il faut faire en sorte que les éléments qui attirent les acheteurs potentiels soient toujours présents dans votre entreprise.

Régler tout problème juridique ou judiciaire

Un acheteur potentiel ne passera que difficilement à l’achat s’il reste des problèmes juridiques non résolus. Même si cela vous prend du temps et que les conditions de l’accord ne sont pas idéales, faites en sorte de régler toutes les affaires dans lesquelles votre entreprise pourrait être impliquée.

Faire attention à la dette de l’entreprise

Même si un prêt à long terme peut vous aider à développer votre entreprise, prenez garde à ce que celui-ci n’effraie pas les acheteurs potentiels. Il peut être judicieux, si la situation financière le permet, de financer un projet grâce au revenus dégagés par l’entreprise plutôt que par de la dette.

Assurer le maintien des meilleurs employés

Toute entreprise s’appuie sur quelques employés clés qui participent particulièrement au développement de l’entreprise. Il est important que les acheteurs potentiels ne soient pas inquiétés par un départ possible de ces éléments. Vous devez faire en sorte d’une part qu’ils ne soient pas tentés de partir, mais aussi que des procédures de formation et de recrutement soient en place si l’un d’eux part. Planifiez au maximum pour que tout ne repose pas sur un salarié, ou que le départ d’un membre de l’équipe ne vous mette pas en difficulté.

Réduire les coûts

Réduire les coûts ne se fait pas uniquement quand l’entreprise est en difficulté financière. Prenez le temps de mettre à plat toutes vos dépenses pour voir si elles sont toutes indispensables. Les acheteurs potentiels regarderont la rentabilité de l’entreprise mais aussi l’évolution de celle-ci. Ce qu’ils rechercheront sera un potentiel, ils analyseront donc l’évolution financière pour le déceler.

3 entrepreneurs atteints d’un handicap

Qui a dit que les personnes atteintes d’un handicap ne pouvaient pas entreprendre ? En attendant, certains l’ont fait et ont même réussi. Et si, finalement, le vrai handicap, pour un entrepreneur, n’était que la limite que l’on se fixe avant même d’avoir essayé ?

Michaël Jeremiasz

Ce tennisman français qui smatch en fauteuil roulant se présente également comme le cofondateur de Handiamo !, une entreprise qui accompagne les sportifs de haut niveau en situation de handicap.

Pascal Smith

Sourd et muet, l’entrepreneur a créé deux filiales, Clips et LSF Formation, spécialisées dans l’interprétariat et la formation à la langue sourde ou langage des signes et regroupées sous la holding GroupAFIS.

Vincent Ferry

Après avoir été victime d’une chute en moto qui l’a rendu tétraplégique, il fonde, en 2008, Clair de Lorraine, une PME qui fabrique et distribue des produits régionaux, afin de « témoigner qu’il y a une vie avec le handicap ».