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Comment se financer en cas de difficulté ?

Le rachat de crédit, une solution pour harmoniser votre budget

Toute personne peut traverser une situation financière difficile. La plupart, en cas de problèmes, n’ont d’autres solutions que de se tourner vers des offres de crédit pour tenter de subvenir à leurs besoins ou pour financer un projet. Avec la multiplication des offres, les clients peuvent recourir à des crédits à la consommation ou immobiliers. Mais souscrire à plusieurs propositions peut s’avérer compliqué avec des dettes accumulées à la clé et l’impossibilité de rembourser correctement les mensualités demandées. Des solutions de financements et d’emprunts alternatives peuvent cependant être proposées, comme le rachat de crédit, qui apparaît comme une option à privilégier, de par ses nombreux atouts. 

Le rachat de crédits, une solution adaptée pour tous

Le rachat de crédits peut se révéler être une solution efficace pour préserver et harmoniser votre budget. Cette opération bancaire permet à l’emprunteur qu’il soit particulier, salarié, propriétaire, entrepreneur ou artisan-commerçant, de regrouper l’ensemble de ses prêts en cours en un seul et unique crédit. Avec cela, la mensualité globale sera particulièrement réduite, allant jusqu’à – 60 % et entraînant toutefois un allongement de la durée de remboursement ainsi qu’une majoration du coût total du crédit. Une personne peut se retrouver dans une situation particulièrement précaire à cause de prêts à la consommation, immobiliers, auto ou encore par des découverts bancaires et des dettes fiscales ayant un impact négatif sur les finances et les revenus du foyer avec un risque d’endettement sur le long terme. Avec le rachat de crédits, tout individu exposé à ces risques pourra repartir du bon pied, en équilibrant son budget. Le risque de surendettement et d’un fichage à la Banque de France sera écarté grâce à l’abaissement du taux d’endettement. Avec cette solution, une trésorerie supplémentaire peut être également proposée pour financer des projets comme la nécessité d’acheter une voiture, de réaliser des travaux ou encore de lancer une entreprise. Plus besoin de se déplacer dans une agence bancaire pour le rachat de crédits. Il est possible sur le web en quelques clics de réaliser une simulation pour se projeter et observer les bienfaits ou non de ce procédé sur la trésorerie. Grâce aux comparateurs, les consommateurs trouvent des solutions adaptées à leur situation et obtiennent un taux avantageux. En seulement quelques minutes, ils pourront lancer une procédure pour une validation sous un mois, voire deux semaines dans les meilleures des cas.

Des sociétés expertes pour vous accompagner

Des sociétés spécialisées dans les solutions de financement et de rachat de crédit en ligne existent sur le marché français. Ce sont des interlocuteurs attentifs envers tous les particuliers, dans le but de les aider, les accompagner et de leur proposer des services attractifs, en partenariat avec des banques. Partners Finances est l’une de ces entreprises expertes dans ce domaine. Elle propose une plateforme simple et intuitive pour réaliser une simulation de rachat de crédit, permettant d’effectuer une demande en trois minutes. En relation étroite avec les banques Crédit Agricole ou encore BNP Paribas, une réponse de principe est envoyée en moins de 24 heures. Plus de 3 395 602 foyers ont déjà sollicité cette structure pour la réalisation d’un rachat de prêts. La société propose également d’autres solutions comme le prêt de trésorerie hypothécaire consistant pour une personne qui possède un bien immobilier et qui en est le propriétaire, d’obtenir un financement, en mettant en garantie celui-ci. Le prêt peut alors être accordé en fonction de la valeur de la structure hypothéquée, mais reste limité entre 50 et 60 % de sa valeur. Trois types de crédits hypothécaires sont possibles : l’amortissable, le in fine ou le mixte. Le premier demande le paiement de mensualités incluant des intérêts et une partie d’amortissement du capital tandis que le deuxième propose de payer en fin de contrat. Le dernier met en place deux périodes distinctives, l’une où l’emprunteur doit pendant 1 à 5 ans ne payer que les intérêts et l’autre où il doit pendant 7 à 11 ans rembourser l’amortissement. Avec ces différentes solutions adaptées, tout à chacun aura la possibilité de dégager des fonds, sans crainte ni anxiété pour l’avenir.

« J’aime ma boîte », une réalité ?

Déjà 15 ans que l’événement « j’aime ma boîte » convie dirigeants et salariés à s’exprimer sur leurs liens avec l’entreprise et à créer des moments conviviaux. Sophie de Menthon, à l’origine de ce concept, a eu pour ambition de transformer les relations en entreprise, mais surtout d’écarter le mal de vivre en entreprise qui est souvent focalisée sur les relations des salariés avec les managers et les dirigeants et a un impact considérable sur la performance et le dynamisme de toute société dans un contexte économique difficile.

Les salariés passent la plus grande partie de leur journée au travail, soit plus d’un tiers de leur temps et ce n’est guère négligeable puisqu’une autre partie de leur journée sera consacrée au sommeil et il reste seulement un petit tiers consacré à la vie personnelle. Une évidence, mais qui montre combien le temps passé en entreprise a de l’importance et qu’il ne faut pas sous-estimer son rôle.

Mais quels sont les objectifs ambitieux d’une telle journée ?

Ils ne sont pas, comme vous le diront certains, une journée pour masquer les difficultés, mais la volonté de permettre aux salariés de nouer des liens qui permettront d’ancrer un mieux-vivre. Ainsi, la journée « j’aime ma boîte » se donne pour objectifs de faire évoluer l’image de l’entreprise en France, vers plus de convivialité et de partage ainsi que de reconnaître sa société avant tout comme un lieu de vie, d’échange, de création et de convivialité. Elle veut également instaurer une relation extraprofessionnelle entre les salariés pour qu’ils apprennent à mieux se connaître tout en renforçant l’esprit d’appartenance et l’esprit d’équipe. Un programme ambitieux certes, mais qui doit trouver une place pour donner du bien-être aux salariés.

Le sondage OpinionWay pour « J’aime ma boîte » a été réalisé du 26 au 27 septembre 2018 et met certes en exergue l’attachement des salariés à leur boîte, mais montre que le climat social a une réelle résonance puisque l’affirmation « J’aime ma boîte » atteint son niveau le plus bas depuis le lancement de l’opération en 2003. En octobre 2018, ils sont 62 % à dire « J’aime ma boîte, » (contre 69 % en 2017). Ce recul est loin d’être anodin, mais se révèle être le reflet du moral des salariés et doit être pris comme une alerte.

Mais quelles sont les raisons de l’attachement des salariés à leur entreprise ?

Les salariés sont attachés à leur boîte, mais non pour les raisons qui sont souvent mises en avant comme « l’entreprise refuge », « l’attention à leur bien-être », « les efforts environnementaux ». Ils sont seulement un tiers ( de 32 % à 38 %) des personnes interrogées à déclarer que ces trois raisons sont un facteur d’attachement. Les années précédentes, l’intérêt du travail et l’importance des collègues étaient mis à l’honneur.

L’événement « j’aime ma boîte », facteur de lien social

« Fêter son entreprise » est un facteur de lien social pour 45 % des interviewés et apparaît comme un moment clef, car les personnes interrogées sont 40 % à penser qu’il faut fêter les entreprises partout en France. L’Île-de-France, 3ème destination mondiale pour les sièges sociaux des grands groupes internationaux se révèlent être un lieu privilégié de l’attachement envers sa société. 69 % des interviewés résidant en Île-de-France disent qu’ils aiment leur boîte, soit 7 points au-dessus de la moyenne nationale. Le dynamisme de la région Île-de-France et la forte densité des entreprises sont certainement les facteurs qui enclenchent cet attachement alors qu’en province, l’embauche s’avère une difficulté majeure.

Les femmes, porteuses du lien social

Les femmes sont plus enclines à affirmer « J’aime ma boîte » (66 % des femmes interrogées répondent Oui) que les hommes qui ne l’affirment qu’à 59 %. Les femmes manifestent un lien affectif plus fort à l’entreprise. Ce sont majoritairement elles qui créent du lien social dans les entreprises (dates d’anniversaires, cadeaux, pots, etc.).

La taille de l’entreprise, facteur de lien social

Cependant, le constat lié au développement des start-up montre que « plus sa boîte est petite, plus on l’aime ». Les salariés travaillant dans une TPE sont 75 % à plébisciter leur boîte, quand seulement 51 % des salariés des grandes entreprises de plus de 5000 personnes le font. Le secteur a peu d’impact, même si les services se révèlent davantage créateurs d’attachement : 65 % des personnes interrogées disent aimer leur boîte. Le constat est que l’industrie est la plus mal aimée avec 17 % des personnes interrogées qui disent ne pas aimer leur boîte.

La perception de la nécessité de fêter l’entreprise.

Les femmes sont toujours leaders sur le fait de faire la fête dans leur entreprise et donc ce constat permet de comprendre qu’elles ont un lien à leur environnement professionnel. Cependant, le fait de fêter l’entreprise est considéré comme un facteur de lien social dans les petites entreprises (43 %) alors que dans les grandes entreprises, 32 % considèrent qu’elle joue le rôle créateur de lien social.

À la découverte de Coyote Fleet !

La gestion d’une flotte automobile, est liée aux multiples activités d’une société et représente un coût important dans son budget global.  Depuis peu de nouveaux acteurs proposent des solutions pour aider les dirigeants à optimiser leur gestion et à réduire leurs dépenses. Vous connaissez peut-être Coyote pour son assistance d’aide à la conduite et son expertise des alertes en temps réel. Aujourd’hui, ce groupe français propose avec Coyote Fleet un service aux entrepreneurs et aux gestionnaires de flotte pour piloter et géolocaliser leur parc automobile en temps réel grâce à une interface simple et intuitive.

Une géolocalisation en temps réel de la flotte  

Les gestionnaires de flotte se trouvent confrontés à de nombreux challenges : la réduction des dépenses, la sécurisation du parc automobile, la gestion et le suivi des collaborateurs en déplacement, le respect de leur vie privée, l’optimisation de l’utilisation du véhicule… Pour assurer le bien-être des collaborateurs et l’équilibre budgétaire : La solution : Coyote Fleet.

Pour le gestionnaire, la géolocalisation de sa flotte automobile lui permet de récolter des données indispensables pour mieux gérer les activités de ses équipes et d’identifier et donc d’éliminer de nombreuses sources de dépenses. Il pourra prendre des décisions judicieuses pour économiser au maximum, notamment sur le temps de trajet et simultanément sur le carburant et l’usure du véhicule. Les informations récoltées permettent de choisir des solutions plus efficaces et plus pertinentes dans le but d’améliorer la productivité de l’entreprise. 

Avec Coyote Fleet, vous pourrez localiser l’ensemble de votre flotte de véhicules en temps réel et disposerez de l’historique complet des différents trajets effectués par vos collaborateurs. La géolocalisation du parc associé à l’identification du conducteur, dans le respect de sa vie privée, vous permet de mieux adapter les déplacements de vos collaborateurs et de gagner en efficacité. 

Une gestion facilitée et optimisée 

Les historiques de trajet ainsi que le nombre de kilomètres effectués, permettent à l’entreprise de planifier l’entretien de son parc et lui assurent un suivi précis de chaque véhicule. La durée de productivité de la flotte est maximisée, ce qui représente un gain financier non négligeable sur le long terme.  

Vous aurez la possibilité de suivre et d’analyser les kilomètres parcourus, le temps d’utilisation de chaque véhicule, les suivis d’entretien, la consommation de carburant… Ces informations sont accessibles via un tableau de bord et des rapports personnalisés pour suivre avec précision l’évolution du parc automobile de votre entreprise.

Une sécurisation et une maîtrise de votre parc automobile

Grâce à Coyote Fleet, vous disposez d’alertes et de notifications de surveillance pour piloter d’une façon optimale votre parc automobile. Vous recevez, sur votre smartphone, ordinateur ou tablette, des informations sur les entrées et sorties de zone, préalablement définies, ainsi que sur les mouvements de vos véhicules. Vous gagnez ainsi en efficacité et réactivité en cas de comportement suspect. 

Coyote Business propose également 2 autres solutions aux entreprises : l’Assistant d’aide à la conduite Coyote et Coyote Secure. L’Assistant d’aide à la conduite Coyote alerte en temps réel les collaborateurs des dangers de la route : limitations de vitesse, zones à risque, perturbations, trafic…Ils roulent ainsi en sécurité, adaptent leur conduite et optimisent leurs déplacements. Quant à Coyote Secure, vous bénéficiez des services de localisation et de récupération de vos véhicules en cas de vol partout en Europe, 7j/7 et 24h/24 même en sous-sol grâce à la Technologie Traqueur®.

Coyote Business, c’est une offre unique, complète et modulable qui vous permet de piloter et de sécuriser votre flotte ainsi qu’alerter et protéger vos collaborateurs des dangers de la route.

Vous pourrez fiabiliser votre business en toute simplicité, travailler dans un climat social paisible et gagner en même temps du temps et de l’argent.
Plus d’informations sur business.moncoyote.com ou au 01 76 49 31 31.

Cdiscount : le pari visionnaire de Jean-Charles Naouri

Cdiscount, leader français du e-commerce, célèbre en ce moment ses 20 ans. Véritable success-story française, Cdiscount doit sa réussite à la vision de Jean-Charles Naouri, président du groupe Casino, qui a compris dès 2000 le formidable potentiel d’internet pour la grande distribution.

Qui se souvient qu’il y a 20 ans, Cdiscount était un vendeur de DVD ? En 1998, ses fondateurs connaissent le succès en proposant aux consommateurs des DVD à prix cassés. Rapidement, ils décident d’étendre la formule aux produits hi-fi, qui resteront la marque de fabrique de Cdiscount pendant plusieurs années. C’est la révolution d’internet : la découverte par les consommateurs de catalogues de produits infinis, livrés chez eux. Avec la promesse Cdiscount : le meilleur prix.

Cette équation gagnante, qui paraît aujourd’hui si évidente, est alors observée par un stratège : Jean-Charles Naouri, un ancien haut fonctionnaire qui a pris la tête du groupe de distribution français Casino.

En 2000, il est l’un des premiers à saisir le potentiel du e-commerce pour la grande distribution et décide de faire entrer son groupe au capital de Cdiscount. Cet investissement n’est pas seulement financier : Casino, acteur historique de la grande distribution avec des enseignes comme Géant Casino ou encore Franprix, apporte à Cdiscount son savoir-faire en matière de logistique ou encore de mutualisation des achats.

Soutenu par le groupe Casino, Cdiscount acquiert alors la capacité de se développer et de conquérir un à un les différents marchés. A commencer par le gros électroménager, jusque-là détenu par les acteurs spécialistes traditionnels. Aujourd’hui, Cdiscount est le vendeur le plus important sur ce segment. La même méthode sera reproduite scrupuleusement pour chaque marché : après l’électroménager, le jouet, la puériculture, le vin mais maintenant aussi les services comme l’électricité, le voyage ou encore les services financiers.

La galaxie Cdiscount s’étend, sans doute pas aussi vite mais sur le même schéma que celle d’Amazon, le concurrent majeur, emblématique, l’ogre américain aussi décrié qu’admiré. Force est de constater qu’aujourd’hui, Cdiscount est le seul acteur en Europe capable de concurrencer Amazon. En France, avec 20 millions de visiteurs uniques par mois et 3,4 milliards d’euros de volume d’affaires, il est devenu le 2ème acteur du marché.

Ce succès sur les différents marchés ne s’explique pas uniquement par le prix, loin s’en faut. Ce qu’a réussi à voir Jean-Charles Naouri à l’aube de l’an 2000, c’est l’importance centrale du défi logistique. La livraison devient le nouveau nerf de la guerre. Rendre un produit accessible rapidement sur tout le territoire devient un critère d’achat presque aussi important que le prix. L’innovation logistique permanente chez Cdiscount – il serait question d’expérimentation en cours avec des drones – est indubitablement une clé du succès de l’e-commerçant.

Aujourd’hui, si Cdiscount détient à nouveau un coup d’avance, c’est sur son expertise « phygitale », cette fine alliance des services digitaux avec les atouts du point de vente physique. Le groupe de Jean-Charles Naouri a été le premier à dédier une partie de la surface de ses hypermarchés à des show-rooms où l’e-commerçant expose une partie de ses produits, notamment pour l’équipement de la maison, comme l’a expliqué le PDG de Cdiscount, Emmanuel Grenier, pour qui « Si l’on considère l’histoire de Cdiscount dans le groupe Casino, Jean-Charles Naouri n’a eu de cesse que d’organiser la complémentarité entre le e-commerce et les magasins ». Dernière nouveauté : depuis début octobre, on peut visiter un show-room Cdiscount dans un magasin Casino à Paris. La start-up vendeuse de DVD poursuit son chemin.

Quelques chiffres clés :

  • 9 millions de clients
  • 20 millions de visiteurs uniques mensuels
  • 40 millions de produits
  • 100 000 marchands dont 75% en Europe
  • 3,4 milliards d’euros de volume d’affaires

Le Marché Forex

Le marché Forex est le marché dans lequel s’échangent les devises et où est cotée la valeur d’une devise. Les traders Forex vont alors essayer de profiter des variations de cette valeur pour gagner de l’argent en bourse. Dans cet article nous allons revoir les bases du Forex et du trading.

Qu’est ce que le Forex

Le Forex est un mot-valise faisant référence à Foreign Exchange, qui est le marché de change, où se négocient et s’échangent des devises.

Ces échanges sur le marché Forex créent des variations des prix des monnaies, dont le trader Forex tente de profiter pour gagner de l’argent.

La marché du Forex est un marché mondiale, deuxième en termes de volumes d’échanges après le marché des taux d’intérêts.

Comprendre le Forex

On a vu plus haut que le Forex est le marché sur lequel sont cotées les devises, mais il faut savoir que les devises sont cotées par paires. On exprime la valeur d’une devise par rapport à une autre devise.

Comment lire une cotation Forex

Quand on voit EURUSD est à 1.1500, il faut lire 1 euro vaut 1.15 dollars. EUR étant la devise de base, et USD la devise de contrepartie. Ainsi la paire EURUSD donne la valeur de 1 euro exprimée en dollars. Généralement, la cotation sur les plateformes de trading affichent 4 à 5 chiffres après la virgule.

Quelles Paires de Devises Trader

On comprend vite qu’il existe des centaines de paires de devises à trader sur le Forex, chaque devise étant exprimée en valeur de chacune des autres devises : EURUSD, EURGBP, EURJPY… puis USDJPY, USDCHF, USDCAD… et ainsi de suite.

Le Forex trader fait cependant souvent le choix de se centrer uniquement sur les devises « majeures » : EURUSD, GBPUSD, USDJPY et USDCHF, et parfois ajoutant AUDUSD, NZDUSD et USDCAD. Cela permet un meilleur suivi des évolutions des cours, mais aussi de l’actualité impactant les prix.

Qu’est ce qui influence le Forex

Le trading Forex nécessite donc un suivi de l’évolution des cours et de l’actualité, mais aussi de comprendre comment l’actualité influence les devises.

Pour faire l’analogie de la bourse, on peut considérer que le pays (ou zone monétaire) est l’entreprise, et la devise est l’action. Toute nouvelle positive ou négative sur un pays, va impacter sa devise, toujours sous le principe de l’offre et de la demande.

Parmi les facteurs qui influencent le plus le cours d’une devise, on citera les taux d’intérêt, l’inflation, la croissance, l’emploi, mais aussi les événements politiques. Sans oublier la politique monétaire des banques centrales.

C’est pourquoi le calendrier économique constitue un outil de travail essentiel au trader.

Pourquoi choisir le Marché Forex

  • Le marché Forex est un marché ouvert 24h/24h et 5 jours sur 7. Il offre donc la possibilité de trader sur des plages horaires plus larges que sur les autres marchés. Cela est particulièrement utile lorsqu’un événement est attendu le soir, mais aussi pour ouvrir/clôturer une position à tout moment, sans devoir attendre l’ouverture des marchés le lendemain et subir des écarts de prix. Cela peut sauver le trader en cas d’info surprise après les heures de clôture des autres marchés.
  • De plus, le Forex et le marché le plus liquide au monde, ce qui permet de trouver facilement une contrepartie à votre position. Cela permet une exécution rapide des ordres de trading et d’éviter de subir des écarts entre le prix demandé et le prix obtenu : le slippage.
  • Enfin, les frais de courtage sur le Forex sont généralement moins élevés que sur les autres marchés.

Qu’est ce que le Trading

C’est quoi le trading ? Trader c’est quoi ?

Trading explication. Le trading consiste à l’achat et à la vente d’actifs financiers pour profiter de la hausse ou de la baisse des prix.

Contrairement à un investisseur « classique » qui achète un produit et attend que sa valeur augmente avec le temps avant de le revendre, le trader s’inscrit généralement davantage dans une approche plus dynamique, avec des opérations qui peuvent durer quelques jours, quelques minutes, voire quelques secondes.

Il s’agit d’une approche potentiellement plus lucrative, mais aussi plus risquée.

Trading c’est quoi sur le Forex ?

Le trading Forex consiste donc à acheter et à vendre des paires de devises sur le Forex, en essayant de prévoir quelle direction va prendre la paire dans les prochains jours ou prochaines minutes.

Comprendre le Trading

Comment trader sur le Forex ?

Pour trader le Forex, il faut se rapprocher d’un broker (courtier) et ouvrir un compte en ligne. Dans un premier temps, il est fortement recommandé de commencer avec un compte Démo pour trader en virtuel et apprendre, avant d’investir son argent.

Apprendre les bases du trading est un prérequis indispensable pour appréhender le Forex et espérer gagner de l’argent.

Des formations en ligne sont généralement proposées par les brokers.

Quelle stratégie de trading ?

Dans les théories du trading, deux principaux courants s’affrontent : l’analyse fondamentale et l’analyse technique.

  • L’analyse fondamentale consiste en l’étude et l’analyse des chiffres économique pour connaitre la valeur d’une entreprise ou l’état de santé d’un pays. De la on tire une valeur « fondamentale » ou « réelle » de l’action ou de la devise, à comparer à la valeur observée sur le marché.
  • L’analyse technique consiste en l’étude des graphiques des prix, en partant du principe que certains schémas de prix se répètent. La pratique inclut également des études statistiques sur les évolutions des prix. Indirectement, on traite également la psychologie et le comportement de masse des traders.

Pour résumer, l’analyse fondamentale s’intéresse à l’entreprise, au pays ou au bien représenté, alors que l’analyse technique se concentre sur les prix.

Un consensus tend à se dégager sur la nécessité de combiner les deux pratiques, au lieu de les opposer.

Le trading Forex peut être risqué, il faut donc essayer de tout savoir sur le trading avant de miser son argent.

Mr Organics : la culture du bio

En juin dernier, Michael Roes remportait le prix « Coup de cœur » de La Fabrique Aviva avec son projet Mr Organics, spécialisé dans la fabrication et distribution de biostimulants. À la clé, une dotation de 85 000 euros. Aujourd’hui, la start-up girondine poursuit son développement avec notamment le lancement d’un engrais à base d’urine humaine.

Cela fait plus de deux ans que Michael Roes a cofondé Mr Organics avec sa compagne. L’ambition de l’entrepreneur est clairement affichée : aider particuliers et agriculteurs à franchir le cap de la culture bio. En plus de proposer des stages de formation professionnelle, la start-up girondine fabrique et distribue des biostimulants. « Notre objectif, en 2018, est de faire passer 200 agriculteurs au bio et réduire l’utilisation des pesticides », précise Michael Roes. Grand gagnant du prix « Coup de cœur » de La Fabrique Aviva, le couple a reçu 85 000 euros pour accélérer le développement de Mr Organics. Alors qu’il compte actuellement cinq salariés, et plus de 300 clients en France et en Europe, les deux associés visent une quinzaine de recrutements cette année.

Un potager, une idée et… 100 euros

Tout commence lorsque Michael Roes emménage dans le sud-ouest de la France, à Lourdes, avec sa compagne, Eugénie Jarielle. Le futur entrepreneur entretient alors un petit potager. En 2012, il se met à fabriquer ses propres engrais à base de plantes qu’il teste sur ce dernier. Les rendements étant bons, l’entrepreneur décide de les commercialiser. Tout cela avec la modique somme de 100 euros. « J’ai commencé par les vendre dans des bouteilles d’eau sur les marchés locaux sous le nom de « Au bon purin », avant d’ouvrir une micro-entreprise [ex auto-entreprise, ndlr] », raconte le dirigeant.

À partir de là, tout s’accélère. Les agriculteurs se mettent à passer commande et le réseau d’amis donne un coup de pouce au projet. De son côté, Michael Roes épluche les ouvrages scientifiques et s’entoure d’une armée de maraîchers, d’ingénieurs et de chercheurs dans le domaine. ils conçoivent toute une gamme de biostimulants (l’Epona, le Phytomix et le Symbiosol, ndlr), faciles à stocker et à utiliser, certifiés pour l’agriculture biologique, et à des prix attractifs. Ils s’installent à Saint-Matin-du-Puy, en Gironde. Et, début février 2016, Mr Organics prend vie.

Un engrais à base d’urine humaine

Commercialiser un biostimulant conçu à partir d’urine humaine pour remplacer l’utilisation chimique dans l’agriculture. Tel est l’objectif que s’est fixé l’entrepreneur d’ici 2019. Le projet résulte de l’alliance entre Mr Organics et l’entreprise bordelaise Un Petit Coin de Paradis, qui loue des toilettes sèches durant des manifestations.

En clair, il s’agirait de collecter l’urine pour la transformer en engrais. Une idée qui a du sens quand on sait que l’urine, dont environ 4 000 litres sont jetés en compostage chaque année, présente la propriété d’être un fertilisant. « Le coût et le niveau de pollution pour l’urine, lorsqu’elle passe par les plateformes de traitement d’eau, restent conséquents. On s’est donc dit qu’il fallait faire quelque chose », ajoute Michael Roes. Après deux années de test et alors que la législation interdit d’utiliser l’urine dans des cultures alimentaires, l’entrepreneur mise sur son procédé d’hygiénisation : « Toutes les substances pathogènes comme les métaux lourds ou les résidus de médicaments sont retirées. » Affaire à suivre…

LOCAM&You : une application Smartphone qui facilite votre business

Pour développer son entreprise et ses ventes, tout en fidélisant ses clients, les solutions de financement sont des outils indispensables à mettre en place dans son projet stratégique. Elles peuvent vous faire gagner des parts de marché et vous permettent de vous différencier de vos concurrents. Elles permettent de sécuriser vos capitaux pour fortifier la valeur de votre entreprise. Le leasing, système de location d’un bien, peut s’avérer adapté aux modes de commercialisation actuels. LOCAM, organisme de financement pour les professionnels propose des solutions de location financière et de crédit-bail. L’entreprise a lancé une application mobile pour les professionnels afin qu’ils puissent simuler des propositions commerciales.

LOCAM, partenaire de votre croissance

Filiale du Crédit Agricole Loire-Haute-Loire, LOCAM crée, met en œuvre et gère des solutions de financement complémentaires au modèle bancaire. Elle se concentre sur trois solutions : la location financière, le crédit-bail et le crédit. La location financière permet aux clients d’une entreprise partenaire de payer l’usage d’un bien par le biais de loyers. Cette méthode est un véritable levier de croissance pour une société, lui donnant l’opportunité de fidéliser sa relation client via un contrat de location.  Le crédit-bail donne la possibilité aux loueurs de devenir propriétaire de l’équipement, dont le montant de vente est fixé à l’avance. Quant au crédit, il permet de proposer, des facilités de paiement comme le règlement en dix fois. Des solutions performantes pour favoriser les ventes. Aujourd’hui, LOCAM gère plus de 320 000 dossiers, accorde 30 % des financements à de jeunes entreprises et dispose de plus de 3000 partenaires. Les professionnels peuvent via le site web de LOCAM obtenir des renseignements et faire une demande pour  devenir « partenaire ».

Une application rapide pour faciliter votre business

Les Smartphones sont utilisés au quotidien pour gérer le business. Conscient du besoin grandissant de mobilité et d’immédiateté, LOCAM propose son application mobile « LOCAM&You » en complément de la version web. Compatible IOS et Android, elle permet de renforcer l’expérience client pour une utilisation accélérée et améliorée de leur espace de gestion. À l’aide d’une interface ergonomique, fluide et facile d’utilisation en UX design (User Experience Design, design de l’expérience utilisateur en français, discipline qui prend en compte et anticipe les attentes et les besoins d’un utilisateur, ndlr), ils peuvent simuler et effectuer des demandes de financement puis recevoir une réponse en moins de trois minutes. Ils retrouvent la liste de leurs demandes de solvabilité rapidement et disposent de filtres « Accord », « Refus » ou « En attente » pour suivre l’avancée du statut de leurs demandes. Une solution qui permet au dirigeant d’une entreprise d’être efficace et performant dans son business.

Accompagner la transformation digitale des entreprises

Jean-Christophe Conticello s’est lancé dans l’aventure entrepreneuriale il y a près de vingt ans. Avec plusieurs sociétés à son actif, la création d’entreprise n’a plus de secrets pour lui. Actuellement à la tête de Wemanity, spécialiste de la méthode agile, il fait de la transformation digitale l’une de ses priorités.

« J’ai parfois eu envie de tout arrêter mais, avoir une entreprise, c’est un peu comme avec un enfant. Ce n’est pas parce qu’il se conduit mal de temps en temps qu’on le laisse tomber », lance le serial entrepreneur. Jean-Christophe Conticello n’en est pas à sa première expérience entrepreneuriale. Issu d’une famille de commerçants, il a, pendant près de vingt ans, multiplié les créations d’entreprises innovantes. « Dès le départ, mon objectif était d’entreprendre. C’est un virus que j’avais en moi. » Depuis 2013, le dirigeant est à la tête de Wemanity, spécialiste dans la transformation dite de la méthode Agile.

Wall Street, le graal de la finance

Avant de devenir un serial entrepreneur, Jean-Christophe Conticello a débuté sa carrière dans la finance. C’était il y a près de vingt ans. Après une école de commerce et un stage à la Bourse de Paris, en 1997, le jeune diplômé évolue rapidement vers New York. Spécialisé en fusion-acquisition, c’est à Wall Street qu’il fait ses armes. « C’était le début des nouvelles technologies, d’internet et du temple des médias. J’étais baigné dans la folie du web », se souvient l’entrepreneur. En l’espace d’un an, il décroche son premier job en tant qu’analyste du marché financier.

À partir de là, tout s’enchaîne. Jean-Christophe Conticello rejoint le fonds d’investissement Morgen, Evan & Company puis, bascule, en 1999, chez Oven Digital, une société internationale de développement web. Rapidement associé aux décisions, il prend également part au capital de l’entreprise. « Trois mois après mon arrivée, le dirigeant m’a laissé les mains libres. J’ai alors pris la tête de l’équipe commerciale puis celle du pôle Europe. Ce fut ma première expérience entrepreneuriale, raconte-t-il, avant de poursuivre : À ce moment-là, je me suis dit que je n’allais pas m’arrêter en si bon chemin. » La machine est lancée.

La fondation de Nexouth

En 2001, l’entrepreneur fonde Nexouth, une plateforme électronique issue du domaine de l’énergie. « J’ai toujours essayé d’allier la technologie et la finance », lâche-t-il. Trois ans plus tard, c’est au tour d’Adneom Technologies d’être créée afin de développer des logiciels de trading. Si les crises comme celle des attentats du 11 septembre 2001 ou celle financière de 2008 compliquent parfois l’aventure, Jean-Christophe Conticello ne lâche rien. « Il faut être chef d’orchestre et embarquer ses équipes avec soi. Certes, créer, fidéliser et engager n’est pas évident, mais c’est ce qui fait la beauté entrepreneuriale. » Quelques autres créations d’entreprise plus tard (pour ne pas toutes les citer), le dirigeant dresse un constat : la transformation digitale est au cœur de la vie des entreprises. Et pour répondre à cet enjeu, il fonde Wemanity.

« We » pour « faire ensemble »

Tout au long de sa carrière, Jean-Christophe Conticello a côtoyé start-up et grands groupes, dont certains sont devenus des géants du web. Et ce qui a forgé leur réussite, selon lui, réside dans leur façon de travailler : « Ils sont parvenus à scaler leur modèle, à conserver leur capacité d’innovation et ne cessent de se transformer, principalement grâce à la méthode Agile [une technique itérative et collaborative qui considère en priorité les besoins du client ainsi que ses évolutions, ndlr]. » De là, est née Wemanity, spécialiste de la transformation Agile.

Établie en 2013, l’entreprise de plus de 450 salariés aide notamment les grands groupes à concurrencer les start-up en « se transformant de l’intérieur ». Déjà présente dans plusieurs pays (France, Belgique, Hollande, Luxembourg, Suisse, États-Unis et Angleterre, ndlr), « l’enjeu demeure, d’ici 2050, de changer le monde du travail grâce à la force de l’Agile, basée sur l’innovation et la coopération », résume son dirigeant. L’objectif d’ici 2020 : devenir la référence internationale en transformation agile et digitale.

Comment améliorer la gestion de votre relation client ?

Une entreprise se doit d’entretenir avec ses clients, une relation étroite et continue afin de se développer et d’assurer la pérennité de son business. La gestion de cette relation client fait partie de son image et peut s’avérer être l’un des éléments qui peuvent déterminer son succès ou accélérer sa chute en cas d’insatisfaction des clients. Pour optimiser le Customer Relationship Management (Gestion de la relation client en français, ndlr), cet ensemble de techniques et d’outils qui sont dédiés à analyser, à capter et à traiter les informations venant des prospects dans la seule intention de les fidéliser, voici quelques axes importants.

Les Français attendent beaucoup de la relation client. C’est que révèle l’étude « Observatoire des Services Client 2017 » réalisée par l’institut de sondage BVA l’an dernier pour l’Élection du Service Client de l’Année (prix qui récompense la qualité des services clients d’entreprises de différents secteurs d’activités, ndlr). 93 % d’entre eux déclarent que la qualité de la relation client d’une société influence l’image globale qu’ils en ont et 92 % sont susceptibles de ne pas acheter un produit ou un service en cas d’une mauvaise gestion. Selon la même source, 76 % sont prêt à dépenser plus ou bien à rester fidèles à une entreprise s’ils ont eu une excellente expérience avec un service client. Pour maintenir sa clientèle, quelques solutions sont possibles pour améliorer la gestion de la relation client de sa société.

Avoir recours à un logiciel CRM

Pour améliorer la gestion de sa relation client, à distance ou non, l’utilisation d’un logiciel au détriment de solutions manuelles peut s’avérer nécessaire afin de faciliter les interactions et de maximiser les profits. Celui-ci centralise les informations commerciales qualifiées et utiles pour l’entreprise et facilite en conséquence la gestion et la rapidité de celle-ci via des processus automatisés et digitalisés. La société peut ainsi facilement identifier les prospects et atteindre des cibles privilégiées pour produire plus de leads. Avec un logiciel CRM, elle a l’avantage de mettre son client au cœur de sa stratégie, de permettre un travail collaboratif avec chaque membre de l’entreprise et de gagner en réactivité. Une pléthore de logiciels existent sur le marché, mais chacun propose des fonctionnalités diverses et variées notamment dans la communication par courrier électronique et SMS entre une société et ses clients. Des programmes spécifiquement axés sur l’e-mailing et le marketing relationnel existent. Avec ceux-ci, vous pouvez réaliser des campagnes email et SMS de qualités et personnalisés, cibler vos clients via le Marketing Automation et envoyer en toute sécurité et autonomie différentes informations dans la boîte de réception de tous vos contacts.

Prendre en compte d’autres stratégies marketing

Pendant plusieurs décennies, les sociétés se sont focalisées sur le marketing transactionnel, également appelé marketing traditionnel ou direct. L’objectif est à court terme de pousser un produit ou un service vers les consommateurs, dans l’unique but de le vendre via des messages intégrés aux journaux, à la télévision ou à la radio. Contrairement au marketing traditionnel, marketing relationnel reprend les atouts de celui-ci mais en personnalisant le message et en dialoguant directement avec chacun des clients via les mails, les réseaux sociaux ou encore les applications Smartphones. S’ajoutent également d’autres dispositifs visant à offrir des avantages aux consommateurs comme des cartes de fidélité et des services exclusifs. Il a ainsi pour but de construire une relation rentable et durable avec la clientèle d’une entreprise pour provoquer un véritable engagement et une fidélité de la part des consommateurs, en dehors des phases de consommation ou d’achats. De nombreuses sociétés appliquent ce concept à l’heure actuelle. Pour l’enseigne de cosmétiques Sephora par exemple, la mise en place d’un programme de fidélité pour tous les clients, des nouveaux aux plus mordus, a été privilégiée via trois cartes, White, Black et Gold, proposant des offres spécifiques répondant à leurs besoins. Vente-privee.com, l’entreprise de l’e-commerce, s’est, elle, appliquée à « humaniser » sa relation clientèle via l’incarnation d’une seule interlocutrice, Cécile de Rostand, qui invite via des mails les consommateurs aux ventes de la plateforme et s’occupe du SAV.

À l’ère du digital, la gestion de la relation client est sans cesse en évolution. L’Intelligence artificielle, qui prend de plus en plus de place, révolutionne celle-ci dans de nombreux secteurs d’activités. D’après les prévisions du cabinet Gartner (entreprise américaine de recherche et de conseil dans le domaine des techniques avancées, ndlr), 85% des interactions avec les entreprises se passeront d’êtres humains d’ici 2020. De nombreuses entreprises comme Renault intègrent dans leur stratégie client, l’une des fonctionnalités de l’IA, le chatbot, programme capable de dialoguer avec un consommateur par échange textuel ou vocal. Du côté du groupe bancaire, Le Crédit Mutuel, la solution d’intelligence artificielle IBM Watson s’est imposée pour interagir immédiatement avec ses clients via des bots et pour identifier de façon automatique leurs mails et analyser l’intention et le niveau d’urgence des demandes.

Coupe du monde 2018 : la bataille des marques

En parallèle des matchs disputés lors de la Coupe du monde 2018, les marques, sponsors ou non, se sont livrées une bataille féroce. Profitant de cette manifestation footballistique d’envergure pour conquérir les consommateurs, elles ont usé de techniques diverses et originales pour faire le buzz. 

Adidas et Nike s’affrontent via les réseaux sociaux

Les deux équipementiers rivaux, Adidas et Nike, se sont affrontés sur plusieurs terrains. Et notamment sur les réseaux sociaux. Ils se sont associés à Bitmoji, une application permettant de créer un avatar sur Snapchat, Facebook, Instagram ou Google Chrome. Les fans de football ont alors pu choisir le personnage portant leur maillot préféré parmi l’une des dix sélections Nike et celle des douze sélections signées Adidas. La marque aux trois bandes a également misé sur une campagne de clips publicitaires avec « Calling All Creators » fin 2017 et « Creativity is the answer » début juin 2018, avec un casting impressionnant incluant Paul Pogba et Lionel Messi, pour séduire les consommateurs. Les deux publicités ont respectivement atteint les 37 212 375 et 3 499 572 millions de vues sur YouTube.

Quant à Nike, elle a parié sur des campagnes d’affichages autour de figures emblématiques comme Kylian Mbappé, le célèbre attaquant de l’équipe de France. Une affiche du joueur avec la phrase « 98 was a great year for French football. Kylian Mbappé was born » (« 98 était une bonne année pour le football français. Kylian Mbappé était né », en français, ndlr), clin d’œil à la campagne similaire d’Éric Cantona en 1994, qui avait été diffusée sur les réseaux sociaux et placardée sur le Stade de France.

L’« ambush marketing », régulièrement utilisé

N’étant pas partenaires de la compétition ou d’une équipe, plusieurs marques ont tenté de profiter de l’ambiance médiatique de la Coupe du monde pour mettre en avant leurs produits / services. Pour ce faire, elles ont pratiqué l’« ambush marketing » (« marketing en embuscade », en français, ndlr), qui consiste à utiliser un événement culturel ou sportif pour se promouvoir en s’y associant par le biais de pratiques promotionnelles, sans avoir signé de contrat de sponsoring. Les marques de confiseries Skittles et M&M’s appartenant au groupe Mars, à titre d’exemple, ont sorti des produits sur le thème du football à l’aide de packagings aux couleurs de l’équipe de France.

Quant à Fermiers de Loué, chaîne de volailles et œufs, elle a joué un joli coup publicitaire avec sa campagne d’affichage intitulée « Didier des champs ». On y découvre un sosie de l’entraîneur des Bleus, Didier Deschamps, vêtu d’une veste bleu et portant sur son bras, un coq, emblème de la Fédération Française de Football. La personne présente sur l’affiche s’appelle, en réalité, Didier Guillet et exerce en tant qu’éleveur de poulets de Loué dans la Sarthe. C’est l’agence de publicité nantaise LMWR qui a conçu cette campagne pour un coût de 200 000 euros. Elle a été diffusée sur près de 5 500 panneaux à travers tout l’Hexagone, dans des villes de plus de 30 000 habitants et présentée dans les pages du journal sportif L’Équipe.

Un événement qui continue de créer le buzz

Certains comme McCain tentent de surfer sur cet événement, même après que la compétition soit terminée. La marque de frites s’est emparée de la victoire des Bleus et de l’image d’un des célèbres joueurs de l’équipe tricolore, le défenseur Benjamin Pavard pour faire parler d’elle. Souvent comparé à Jeff Tuche, personnage de la saga en trois films, « Les Tuches », le footballeur s’est vu invité par son interprète, l’acteur Jean-Paul Rouve, par le biais d’Instagram, à déguster des frites en sa compagnie. McCain a alors décidé de profiter de cette invitation pour réaliser une publicité atypique et humoristique sur une possible rencontre entre les deux individus.

Partenaire officiel du Tour de France, la marque a réalisé une vidéo où l’un de ses véhicules en forme de cornet de frites, présent sur « La Grande Boucle », quitte subitement celle-ci pour rejoindre la Norvège afin de récupérer Jean-Paul Rouve, en tournage pour un film. Il est ensuite mentionné : « Benjamin, on passe prendre Jean-Paul et on arrive », ainsi que le hashtag #CestMcCainQuiRegale. Depuis sa mise en ligne le 27 juillet dernier, le spot a été visionné plus de 195 000 fois sur Facebook et 448 000 fois sur Twitter.