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Pourquoi opter pour un cabinet comptable en ligne ?

L’ère du numérique a encore frappé. Les cabinets comptables se mettent, eux aussi, à proposer leurs services directement en ligne. Face à ceux physiques, plus traditionnels, certains se montrent encore réticents à l’idée de gérer leurs comptes depuis leur Smartphone. Pourtant, les avantages à adopter cette manière de fonctionner sont nombreux. Explications.

Un monde de plus en plus digitalisé. Après les banques en ligne ou néo-banques, c’est au tour des cabinets comptables de faire leur révolution. Au milieu de ceux traditionnels, des cabinets comptables font le choix de devenir « pure-players », c’est-à-dire qu’ils sont uniquement présents sur internet. Disposer d’un cabinet physique n’est en effet plus indispensable à l’heure où tout peut se faire en seulement quelques clics.

Un réel gain de temps

« Le temps, c’est de l’argent. » En tant que dirigeant d’entreprise, ne pas avoir à prendre rendez-vous ou à se déplacer constitue un atout de taille. Chez un cabinet d’expertise comptable traditionnel, il est fréquent d’effectuer un point tous les mois avec le client. Ce dernier transmet alors l’ensemble des documents du mois précédent, l’expert-comptable enregistre les factures et relevés bancaires reçus et établit la situation financière. Sauf qu’entre temps, il s’est écoulé près d’une vingtaine de jours, et cette opération va se répéter chaque mois de l’année. Quant à la réunion qui a lieu une fois par an, elle permet, certes, de faire un bilan sur les comptes annuels de l’année passée, mais elle informe le client avec, en moyenne, trois à quatre mois de retard.

Dans le cas d’un cabinet d’expertise comptable en ligne, les démarches sont simplifiées. Il suffit de déposer ses documents scannés sur une plateforme collaborative pour que le logiciel les analyse automatiquement. Ainsi, l’expert-comptable n’a plus qu’à superviser et exploiter les chiffres qui s’affichent à l’écran. Le dépôt des pièces peut aussi bien s’effectuer de façon hebdomadaire que quotidienne. Double avantage : l’expert-comptable peut suivre l’évolution journalière de la situation financière du client et celui-ci a accès à son résultat comptable d’exploitation mis à jour quotidiennement. Terminés les déplacements, grâce au Cloud ainsi qu’à une application dédiée, vous pouvez consulter votre situation comptable n’importe où dans le monde, depuis votre Smartphone.

Des données dématérialisées et sécurisées

Au-delà du fait d’avoir accès à ses comptes et bilans en temps réel, procéder par le biais de documents dématérialisés vous évitera un mont de paperasse accumulée sur votre bureau depuis des mois… Plus besoin non plus de chercher une facture pendant des heures et, d’un point de vue écologique, la Planète vous remerciera. Stockées en ligne, vos données seront également, en principe, sécurisées grâce à un système de cryptage des informations.

Certains cabinets en ligne proposent même de catégoriser ses dépenses et recettes par souci de fluidité ou encore, mettent à disposition des outils de gestion (devis, relances, trésorerie…). Les plus fréquents étant l’accès à une application web permettant de gérer la facturation de ses clients, un tableau de bord mis à jour quotidiennement ou encore la gestion de vos notes de frais. Côté disponibilité, en revanche, l’expert-comptable travaillant avec beaucoup de clients à la fois, il vous sera plus difficile d’obtenir un rendez-vous en cas de besoin.

Un coût moins élevé

Si les prestations réalisées par des cabinets classiques sont de qualité, leur coût peut vite se révéler conséquent. Pour pallier ce problème d’ordre économique, les plateformes dédiées à la comptabilité affichent des prix défiant toute concurrence. On parle de services « low cost ». La gestion de la comptabilité en ligne, qui fonctionne grâce à un algorithme, permet de réduire le temps d’intervention des spécialistes sur chacun des dossiers clients. Ils peuvent ainsi proposer des tarifs relativement bas. Il est possible de trouver un service comptable en ligne dès 30 euros par mois. Mais qui dit prix trop bas dit parfois coûts cachés. L’inconvénient se mesure au niveau des prestations dites complémentaires, synonymes de facturation supplémentaire et dont le montant peut vite grimper. Méfiez-vous donc des prix affichés, particulièrement bas par rapport à la concurrence sur le marché en ligne.

Avant de vous engager avec un cabinet d’expertise comptable en ligne, n’oubliez pas de vérifier que celui-ci est inscrit à l’Ordre des experts-comptables. Rien ne vous garantit en effet de ne pas tomber sur des prestataires qui proposent illégalement leurs services, parfois même sans avoir de diplôme requis. Analysez également l’ensemble des missions proposées par le cabinet en ligne. Elles doivent être énoncées de façon intelligible et le montant des honoraires ainsi que le coût des prestations optionnelles doivent y figurer. Enfin, vous devez télécharger le Fichier des Écritures Comptables (FEC). En cas de contrôle, ce document vous sera demandé et devra être envoyé à l’administration fiscale.

E3 2018 : une convention des géants du jeu vidéo

Les fans de jeux vidéo attendent avec impatience cette convention chaque année. Les entreprises mondialement connues comme Microsoft ou même Nintendo se rendent à Los Angeles pour présenter leur nouvelle production et les jeux qui sortiront prochainement. D’une durée d’une semaine, l’E3 provoque l’émoi des passionnés de la manette. Une véritable occasion d’aviver la curiosité des joueurs et de communiquer sur les nouveaux projets.

Un rassemblement pour les passionnés du jeu vidéo

En ce qui concerne les conférences des géants de différents secteurs, les États-Unis restent un pays très plébiscité. L’E3 se déroule chaque année à Los Angeles depuis 22 ans. L’Electronic Entertainment Expo  a lieu sous la direction de l’organisation Entertainment Software Association au chiffre d’affaires se comptant en milliards de dollars. À ses débuts, cette convention était uniquement réservée aux journalistes et professionnels du monde entier. Cette année, l’organisation a décidé de changer le modèle. Il s’agit de la première édition où les passionnés du jeu vidéo sont eux aussi conviés. Une telle annonce a provoqué un véritable engouement. Encore très peu connue il y a dix ans, cette convention a su se faire un nom grâce aux entreprises présentes mais également grâce aux réseaux sociaux et aux influenceurs.

Lors de sa création, l’objectif consistait à rassembler des professionnels de ce secteur afin de faire des annonces sur les nouvelles consoles et jeux vidéo. En ouvrant ses portes au public, l’E3 a provoqué la folie chez les joueurs. Les places mises en vente début février se sont écoulées en seulement quelques semaines. Les tarifs se situaient entre 150 et 250 dollars en fonction des différents accès. Des joueurs du monde entier n’ont pas hésité à casser leur tirelire pour faire le déplacement. Cette convention qui se déroule sur toute une semaine, engendre des coûts conséquents pour les passionnés du jeu vidéo particulièrement pour les étrangers qui font le déplacement.

Cette nouveauté a permis de satisfaire les joueurs intéressés par le fait de pouvoir tester les bêtas des jeux vidéo annoncés pour les prochaines années. Cet évènement permet non seulement d’engendrer d’autant plus de visibilité pour les géants du jeu vidéo, mais avec 15 000 places vendues pour l’évènement, l’E3 a pu générer un chiffre d’affaires fort conséquent par rapport aux années précédentes. Le public très satisfait de cette nouveauté a cependant dû faire des heures de queues pour accéder à seulement quelques minutes de test sur les jeux vidéo.

Une promotion à travers les influenceurs

Les plus grandes entreprises présentes lors de l’E3 ne ressentent plus vraiment le besoin de gagner en visibilité. Connues mondialement, elles touchent des millions de joueurs à travers le monde. Leur réputation n’est plus à faire, mais la promotion de leurs jeux vidéo reste tout de même nécessaire. Dans l’histoire du jeu vidéo, certaines éditions ou nouveaux projets ont parfois fait un flop. Les constructeurs Sony, Microsoft, Nintendo et les éditeurs comme Ubisoft, EA, Activision et Blizzard invitent des influenceurs de la planète entière pour qu’ils présentent leurs jeux à travers des stream, des vidéos sur Youtube et des posts sur les réseaux sociaux. Les influenceurs peuvent jouerdurant plusieurs heures sur des jeux afin de mettre les futurs consommateurs en haleine. Les marques ne possèdent pas une volonté d’améliorer leur visibilité, mais elles souhaitent faire le buzz à travers des personnalités reconnues dans le monde du jeu vidéo. Les influenceurs permettent aux constructeurs et aux éditeurs de se rapprocher massivement du public. Les abonnés sur Youtube auront d’autant plus d’affection pour une marque si cette dernière invite leur youtubeur préféré.

Une forte concurrence pour convaincre les joueurs et les investisseurs

Pour les diverses entreprises présentes lors de la convention, il s’agit aussi de se démarquer des concurrents. Que ce soit les constructeurs ou bien les éditeurs de jeux vidéo, l’E3 reste une occasion de se mettre en avant. Les marques tentent toutes d’être perçues comme la meilleure à l’issue de la convention. En fonction de la conférence donnée, des stands et des jeux vidéo présentés la retombée médiatique varie et l’engouement peut vite s’essouffler si les marques n’ont pas sorti le grand jeu. La concurrence lors de l’E3 est nécessaire, car la plupart de ces entreprises sont cotées en bourse. Il s’agit de mettre en avant l’image de marque pour impressionner le public, les joueurs professionnels, les médias ainsi que les influenceurs.

Pour les entreprises mondiales du jeu vidéo, les enjeux sont conséquents. Nintendo par exemple a subi deux chutes respectives de 4 % et 6 % à la bourse de Tokyo. Les analystes ont précisé que les investisseurs craignaient une annonce durant l’E3 pas suffisamment « capable de relever le résultat des analystes ». Les entreprises tentent de convaincre les consommateurs, mais en grande partie, elles ne veulent pas décevoir les investisseurs pouvant faire chuter le cours d’une action très rapidement.

L’E3 pour les amateurs de jeux vidéo reste un évènement incontournable et sur lequel il est important de se focaliser. Les constructeurs annoncent des nouvelles consoles ou systèmes de jeu quand les éditeurs font part de leur dernier projet. Ce secteur a généré 4,3 milliards d’euros en 2017 avec une croissance de 18 % en l’espace d’un an. Il se porte très bien avec une grande diversité de joueurs. Malgré les apparences, la moyenne d’âge en France des joueurs se situe à 34 ans. Les jeux vidéo n’impliquent pas uniquement les consoles et les jeux sur ordinateur, le smartphone est lui aussi une part de marché conséquente, un avenir de plus en plus exploité par les constructeurs et les éditeurs.

Se lancer à l’étranger : Pourquoi pas moi ?

Les entrepreneurs ne se posent parfois pas la question de l’internationalisation car ils pensent ne pas justifier des compétences ni du personnel capable de s’expatrier. Pourtant, c’est à l’étranger qu’il y a le plus de potentiels. Se lancer à l’étranger : Pourquoi pas moi ?

Un horizon de marchés à découvrir

Le marché du travail semble déjà si compliqué en France. Pourquoi donc aller chercher plus loin les opportunités incertaines ? Quel raisonnement ! Savez-vous que 87% des entrepreneurs exportent leur activité pour acquérir un surplus de croissance (étude de La Fabrique de l’Industrie) ? L’herbe est bel et bien plus verte ailleurs ! Et pour cause : les pays ont une diversité de développement intéressante à aborder. Beaucoup d’entrepreneurs rêvent du milliard de consommateurs chinois potentiels. Pourquoi pas vous ? Mais si les contrées lointaines vous effraient, sachez que la plupart des entreprises françaises qui s’exportent le font dans des pays voisins, comme l’Allemagne.

Entourez-vous sans bouger grâce au V.I.E.

On pourrait croire que partir installer son activité à l’étranger, c’est partir à l’aventure. Loin s’en faut ! Prenez le temps de vous entourer de partenariats commerciaux. Il vaut mieux commencer par la vente en catalogue, surtout si vous avez peu de contacts hors de France. Pour votre prospection, pensez au V.I.E ! Le Volontariat International en Entreprises (V.I.E), instauré par la loi du 14 mars 2000, permet aux entreprises françaises de confier à un jeune, homme ou femme, jusqu’à 28 ans, une mission professionnelle à l’étranger durant une période modulable de 6 à 24 mois, renouvelable une fois dans cette limite. Il est possible de confier tout type de mission aux Volontaires qu’elles soient commerciales ou techniques, de recruter votre V.I.E dans le vivier que Business France qui met à votre disposition aux profils et formations très variés avec souvent une première expérience de l’international. Ils sont ingénieurs, informaticiens, commerciaux, techniciens, contrôleurs de gestion… Grâce à la souplesse du dispositif V.I.E, vous adaptez votre équipe terrain à vos projets, dans le monde entier mais aussi vous bénéficiez d’avantages financiers d’aides nationales et régionales : crédit import export et contrat d’assurance-prospection COFACE, prise en charge subventionnelle d’une part importante du coût du V.I.E. dans de nombreuses régions françaises.

Par exemple, BusinessFrance propose des missions dans plus de 160 pays. En dix ans, 30 000 missions de prospection ont été réalisées ! Votre produit sera défendu de façon intelligente. Vous décidez vous-même de la stratégie à adopter selon les conseils du missionnaire. Vous limitez ainsi le risque… et vous appréhendez le pays dans lequel vous souhaitez vous installer. Vous avez votre développement international clés en mains.

La culture : opération adaptation

Le passage obligé de toute implantation à l’étranger, c’est l’appréhension. On y revient. Appréhender, c’est redouter le risque. Mais appréhender, c’est aussi apprendre, comprendre, et s’adapter. Les pays n’ont pas tous le même « background » culturel et technique. Les Coréens, par exemple, sont très attirés par le luxe. L’Inde est sûrement en pleine croissance, mais elle s’avère beaucoup moins ouverte que la Chine, qui représente un marché colossal. BusinessFrance met en ligne de nombreuses informations : vous pouvez consulter les fiches pays et étudier les tendances. Rendez-vous à la Chambre de Commerce de votre région. Leurs conseillers connaissent de nombreux collaborateurs prêts à entendre votre projet.
L’appréhension a du bon. Vous devrez forcément passer par une phase d’adaptation pour vous installer à l’étranger. Mais ce n’est pas comme si le jeu n’en valait pas la chandelle.

Entrepreneurs, quel footballeur êtes-vous ?

La Coupe du Monde 2018 commence ! Les équipes sont composées et les supporters sont en émoi. Très apprécié, le foot reste un sport adulé par de nombreuses personnes. Les footballeurs connus dans le monde entier possèdent tous des qualités différentes en fonction de leur poste. Et vous, en tant qu’entrepreneur quel footballeur pourriez-vous être ?

Pivot : Olivier Giroud

Vous aimez le challenge et vous souhaitez toujours être au plus près du but. Vous dépasser est votre leitmotiv. Dans la vie de tous les jours, votre force et vos atouts professionnels vous permettent de conquérir le marché et vous n’avez pas peur du challenge avec les prospects et clients. Vous contrôlez votre entreprise avec une aisance hors pair et vous n’hésitez pas à jouer de vos capacités pour obtenir ce que vous voulez. Le soutien envers vos collaborateurs est le mot d’ordre pour votre entreprise.

Ailliers attaquant : Kylian Mbappé

En tant qu’entrepreneur, vous aimez aller vite dans vos affaires. Mais la précipitation n’est pas pour autant votre habitude, il s’agit de faire vite mais bien. Les stratégies restent primordiales et vous misez sur votre professionnalisme au quotidien. Votre position vous oblige à faire régulièrement des choix parmi toutes les opportunités qui s’offrent à vous. « Affronter la concurrence ou plutôt la contourner en changeant le business modèle ? « : est la question qui vous vient le plus souvent.

Milieu latéral : Dimitri Payet

Votre entreprise se définit comme une équipe dont vous aimez prendre soin. La solitude de l’entrepreneur ne vous correspond pas et tous vos collaborateurs ont une importance dans le développement de votre société. Vos valeurs sont l’entraide et le partage. Vous êtes une personne polyvalente ce qui permet de garder un équilibre dans vos affaires. Il arrive que votre positionnement au sein du marché ou même dans votre entreprise, entraîne de l’incompréhension ce qui pourrait bien vous faire perdre patience.

Milieu offensif : Antoine Griezmann

L’entrepreneuriat ne vous fait pas peur et vous avez toutes les qualités requises pour arriver droit au but. Votre activité vous demande beaucoup de rigueur et de technique. Vous donnez les clés de la réussite à vos collaborateurs afin qu’ils puissent développer votre activité, mais la concurrence reste un élément sur lequel vous prenez le soin de vous focaliser. Le rôle de dirigeant vous sied à merveille car mener une équipe reste votre priorité.

Milieu défensif : Paul Pogba

Vous aimez déléguer à vos collaborateurs sans pour autant vous effacer au quotidien. Votre objectif consiste à faire travailler vos experts pour ne pas rater les bonnes opportunités pour votre activité. Votre force mentale fait de vous un entrepreneur sur la défensive et qui ne se laisse pas abattre au quotidien. La concurrence et la difficulté de votre marché ne vous angoissent pas et vous êtes prêt à faire face.

Arrière latéral : Benjamin Mendy

Avec une personnalité de conservateur, vous protégez votre entreprise avec tous vos atouts disponibles. Que ce soit votre concurrent ou même des personnes difficiles, vous jouez de vos compétences pour empêcher votre adversaire de nuire à votre activité. Prendre des décisions n’est pas un problème pour vous et il vous arrive de faire des points régulièrement pour repartir sur des bases saines. Au quotidien, vous êtes une personne rapide, car vous avez conscience que perdre du temps pourrait léser votre entreprise.

Défenseur central : Raphaël Varane

L’attaque ne vous correspond pas et vous avez conscience que votre personnalité ne peut envisager le conflit. Vous comptez sur votre équipe pour vous aller loin. Le quotidien vous amène parfois à riposter de manière claire et sans contrainte. Votre force et vos appuis aident l’entreprise à se développer, mais vous refusez le droit à l’erreur puisqu’elles peuvent être fatales.

Gardien : Hugo Lloris

Au sein de votre entreprise, tous les yeux sont rivés sur vous quand il s’agit de concrétiser quelque chose. Vous tentez d’éviter les catastrophes parfois avec brio ce qui engendre de l’admiration chez vos collaborateurs. Parfois limités dans vos actions, vous n’hésitez pas à prouver vos compétences et vos qualités auprès de la concurrence quand l’occasion se présente.

Remplaçant : Presnel Kimpembe

Vous pensez être le challenger face à votre concurrent et vous êtes prêt à tout pour montrer vos qualités et votre détermination. Les épreuves mêmes les plus difficiles ne vous font pas peur. Même s’il s’agit d’un moment de gloire assez succinct, vous êtes prêt à vous démarquer afin que tout le monde connaisse vos qualités. Vous êtes le numéro deux de votre marché, mais ce n’est pas pour autant que vous souhaitez vous arrêter là.

Entraîneur : Didier Deschamps

L’entrepreneuriat vous donne accès à un rôle de leader, mais vous n’en profitez pas pour assouvir une certaine mégalomanie. Votre objectif consiste à créer une cohésion d’équipe ainsi qu’accompagner vos footballeurs dans leurs challenges. Même si vos choix sont très souvent discutés, il est hors de question de se laisser abattre. Votre rôle consiste à aider chacun à se démarquer et à progresser au sein de l’entreprise pour faire perdurer l’activité.

Réserviste : Adrien Rabiot

Souvent mis de côté, vous avez de la rancoeur mais accompagner ses collaborateurs reste primordial. Vous souhaitez leur accorder les meilleures conditions possibles en participant et en gardant une certaine dynamique au sein de l’équipe. Vous participez, même si votre rôle a peu d’importance aux yeux de tous. L’espoir devient votre quotidien et participer à la coupe du monde est votre défi.

Comment choisir un pays pour réussir à l’international

Pour ne pas remplir le carnet des anecdotes des entrepreneurs et servir de référence dans les livres liées à l’international qui ont par leur ignorance du pays et de ses contraintes sont revenus avec leur trésorerie en miettes et leur réputation écornée, pour partir à l’international vous devrez sélectionner le futur marché que vous allez aborder avec sagesse et surtout comprendre qu’exporter n’a rien à voir avec vos voyages d’agrément. La naïveté est un défaut à exclure impérativement. Quelques clés pour ne pas vous tromper.

Réfléchissez aux contraintes du pays

Envisager les contraintes pratiques fait partie du b.a.-ba de l’exportateur. Le décalage horaire, le système bancaire (payer par carte est pratiquement impossible dans certains pays), les transports, le climat… entraînent des difficultés qu’il ne faut surtout pas sous-estimer. N’oubliez pas de vérifier ce type de données lorsque vous choisirez votre pays car vous pourriez avoir des (mauvaises) surprises.

Vérifiez les risques pays

Si les belles aventures que l’on nous présente à la télévision peuvent vous donner envie de vous implanter dans un pays où peu d’entrepreneurs sont établis jusqu’à présent, tenez compte des risques. Il s’agit de la probabilité qu’un pays assure le service de sa dette extérieure. Celui-ci est évalué par les agences de notation financière (Standard & Poor’s, Moody’s, Fitch Ratings) ainsi que par les sociétés d’assurance-crédit (Euler Hermes, Coface, Atradius). Le 25 mai dernier, l’agence de notation Moody’s a par exemple relevé la note de la Tunisie qui passe d’une prévision économique « négative » à « stable ».

Renseignez-vous sur les coutumes business du pays…

Avant de rencontrer vos futurs clients et de leur proposer vos services, rien ne vous empêche de faire un petit détour par la case « information » sur les coutumes du pays. Il serait vraiment stupide  de ne pas réussir une affaire car vous ignorez les codes du business du pays. Ainsi par exemple, il est de coutume au Japon de prendre une carte de visite à deux mains et de la ranger avec respect dans sa veste. Les cercles de décision sont aussi parfois très différents d’un pays à un autre et peuvent donner l’impression que l’affaire est conclue alors qu’elle est loin de l’être. Renseignez-vous pour éviter ces différents écueils et erreurs .

… et sur les coutumes tout court

De manière plus large, c’est l’ensemble de vos actes qui doivent être repensés car une action qui peut paraître anodine peut blesser ou irriter un interlocuteur. Si vous ne souhaitez pas utiliser un mauvais mot, faire un geste malencontreux ou avoir une attitude déplacée, vous renseigner est essentiel. Ainsi, dans le cadre d’une invitation chez un partenaire russe, ne lui serrez pas la main sur le pas de la porte car cela est considéré comme portant malheur. Connaître les coutumes et traditions d’un pays ainsi que quelques mots s’avère souvent un bon moyen de se faire apprécier par vos futurs clients, partenaires ou fournisseurs étrangers.

Vérifiez les points juridiques, douaniers, fiscaux

Commencez par vérifier que votre activité n’est pas réglementée. Certaines nécessitent des autorisations spéciales inhérentes aux réglementations du pays pour pouvoir être lancées. D’autre part, l’ensemble de l’environnement fiscal et douanier doit être étudié afin de ne pas vous retrouver confronté à une difficulté inattendue qui pourrait faire obstacle à l’implantation de votre société. Certaines taxes particulières pourraient ainsi grever vos prévisions et rendre l’opération plus coûteuse que vous ne l’aviez envisagé. De nombreux autres éléments sont à prendre en compte comme les dates limites de consommation et les normes qualité qui peuvent varier d’un pays à l’autre. Il vous sera parfois nécessaire d’adapter votre produit aux exigences locales, même s’il suffit parfois de faire figurer une traduction sur l’emballage. à défaut, vous pourriez vous retrouver contraint de détruire une série d’emballages mal conçus.

Faites votre étude de marché…

Comme vous l’avez déjà sûrement réalisé pour votre pays, étudier les possibilités à l’international demeure aussi essentiel pour évaluer le potentiel de vos produits et/ou services sur le marché cible. Parallèlement, l’analyse approfondie  de ce que propose la concurrence peut s’avérer déterminant dans le choix du pays ciblé. Votre offre, certainement très originale, peut cependant exister sous une autre forme dans le pays ciblé et de ce fait votre implantation peut se révéler un fiasco pour votre entreprise. N’hésitez pas à solliciter les conseillers commerciaux de la mission économique de l’ambassade de France dans le pays ciblé afin d’obtenir une vision globale de la situation et de déterminer les bassins potentiels de recrutement mais aussi de connaître les aides que vous pourriez solliciter.

… et adaptez votre produit aux spécificités du pays

Lorsque votre marché cible est identifié, vous devrez tester vos produits afin de vérifier qu’ils répondent aux attentes de vos futurs clients. Ces dernières peuvent être différentes dans chaque pays. Il est courant que les entreprises s’adapte en fonction du marché, que ce soit en termes de packaging ou de fonctionnalités. Certains segments de marché peuvent être déjà couverts par un concurrent, ce qui ne vous permettra pas de développer facilement votre offre. Mc Donald’s propose par exemple des produits différents selon les pays dans lesquels ses restaurants demeurent implantés. En Israël, la firme américaine propose le McKebab. Autre exemple, aux Philippines, le pain des hamburgers est remplacé par des galettes de riz.

Filib’ rend la gestion de patrimoine accessible à tous

À 53 ans, Nicolas Schimel a quitté le monde de la finance pour se lancer dans l’entrepreneuriat. Enfin, presque. Il est, aujourd’hui, à la tête de Filib’, un service né de la FinTech. Avec son associé, Sébastien Foret, ils entendent bien démocratiser la gestion de patrimoine pour la rendre accessible au plus grand nombre.

« Il y a urgence à agir », martèle Nicolas Schimel. « Du côté des banques, c’est mort. Le conseil de proximité, c’est terminé. » Il faut bien l’avouer, les établissements bancaires se montrent de plus en plus frileux en matière de prêts. Quant à l’investissement privé, là encore, la tendance n’est pas au beau fixe. « L’optimisation financière, c’est permettre aux gens de prendre des risques mesurés, le réflexe de l’investissement sécuritaire étant devenu stérile », poursuit le cofondateur de Filib’. À l’inverse de la plupart des FinTech, orientées BtoBtoC, le service se destine exclusivement aux consommateurs finaux, en combinant technologie et savoir-faire de professionnels indépendants. Sa mission : rendre accessible au plus grand nombre la gestion de patrimoine, dont les techniques permettent d’augmenter ses ressources financières.

Entre finance et entrepreneuriat

« Filib’ », l’alliance de la « finance » et de la « liberté ». Avant d’endosser le statut de l’entrepreneur, Nicolas Schimel est, lui-même, un financier. Ancien président de l’UFF Banque (Union Financière de France spécialisée dans la gestion de patrimoine, ndlr) et ex-Directeur général d’Aviva France, il aura passé près de trente ans de sa vie dans le secteur de la finance. La fibre entrepreneuriale lui vient au bout de vingt ans, après avoir travaillé au sein de grands groupes comme Allianz ou Generali.

Attiré par la liberté de création, il réfléchit à une idée de projet en 2008. « A cette époque-là, j’étais seul pour porter mon projet. Je tournais plus en rond que je n’avançais », confie-t-il. De là, Nicolas Schimel en tire un premier enseignement : si, un jour, il est amené à monter une entreprise, il ne le fera pas seul. « L’isolement est une très mauvaise idée et le risque demeure que ses points faibles coulent la réussite liée à ses points forts. » En juillet 2017, lorsqu’il se penche sur le projet de Filib’, il cherche ainsi très vite un associé. Sébastien Foret, ancien président de Howtank, accepte de le rejoindre dans l’aventure. « Il a un profil différent du mien, ce qui permet une vraie complémentarité en termes de compétences », précise le cofondateur. En octobre suivant, l’entreprise est créée.

Tester tôt son marché

Pour voir comment le service est accueilli sur le marché, les deux associés lancent une version pilote, qui leur permettra par la suite d’améliorer leur offre. Le fameux « proof of concept » (« preuve du concept », en français, ndlr). « Il faut se confronter le plus vite possible à son marché, même si le produit n’est pas parfait », recommande Nicolas Schimel. Quelques visiteurs, puis clients, adhérent alors petit à petit au service. Et après cinq mois de pilote en conditions réelles, ils lancent, début juin, la version grand public de leur plateforme.

« L’optimisation financière peut faire gagner entre 400 et 800 euros par mois, voire plus, à 20 % de la population », affirme le dirigeant de Filib’. Que l’on parle d’immobilier, de protection sociale, de rémunération de l’entrepreneur (puisqu’ils s’adressent également aux dirigeants, ndlr) ou encore de départ à la retraite, prendre la bonne option, faire jouer la concurrence ou corriger d’éventuelles erreurs « permet d’enregistrer un gain et, bien souvent, sans investir de l’argent ». Pour faire le test, il suffit de réserver l’une des prestations présentées sur le site ou de demander une étude sur-mesure, de choisir son prestataire parmi les soixante spécialistes indépendants puis de prendre rendez-vous directement en ligne, un peu à la manière de Doctolib. Et si la promesse annoncée n’est pas tenue, d’après le cofondateur, la prestation ne sera pas facturée.

« Sky is the limit »

« Lorsqu’on est entrepreneur, on ne s’arrête jamais vraiment de travailler, du moins de penser à son projet », lance le dirigeant. Il n’est pas nécessairement question de « fatigue physique mais mentale ». Pour garder du recul, il préconise de s’accorder régulièrement des moments de détente et de faire du sport.

Mais, si se lancer dans l’aventure comporte son lot de difficultés, pour lui, les moyens technologiques mis à notre disposition facilitent la création d’entreprise. « Entreprendre en 2018 est devenu beaucoup plus accessible qu’il y a une dizaine d’années, assure Nicolas Schimel, avant d’enchaîner : La boîte à outils est plus complète avec du marketing, de la prospection… On ne se rend pas toujours compte qu’avec peu de moyens, il est possible de faire quelque chose d’extraordinaire. »

La pollution des océans, un fléau aux nombreuses solutions

Le septième continent, existe-t-il ? Face à une carte de géographie, la première réponse à cette question serait évidemment non, mais la pollution des océans a malheureusement pu engendrer la création d’un continent constitué uniquement de déchets. Pour répondre à cette problématique et faire bouger les mentalités, les marques s’engagent à dénoncer la pollution des océans. Sur ce sujet de société, les entreprises se mobilisent pour tenter d’enrayer la prolifération des déchets, une volonté à laquelle tout le monde peut participer.

Un danger pour l’environnement et pour l’Homme.

La pollution représente un fléau qui préoccupe massivement les États du monde entier. Les déchets qui prolifèrent en mer ont fini par constituer un septième continent au sein du Pacifique. Problème de société important, il s’avère très impressionnant par sa superficie de plus 300 000 km carrés. L’ensemble des mers et océans subissent une pollution par le biais de différents polluants. Avec près de 25 millions de tonnes de plastiques présentes en mer, plusieurs éléments se distinguent. Il existe deux types de détritus ayant un impact sur la faune et la flore. Les premiers, les micro-déchets dont font partie les microbilles présentes dans les dentifrices, ou même les cosmétiques échappent aux stations de traitements pour ensuite être déversés dans les océans. Les seconds, les macro-déchets de taille conséquente sont jetés volontairement. Ils partent à la dérive pour ensuite être ingurgités par des animaux marins ou s’échouer sur des plages de la planète.

Ce problème de pollution constitue un vrai souci de santé publique. Les micro-déchets rejetés massivement dans les océans font partie involontairement de l’alimentation des poissons. Après la pêche, ils se retrouvent dans les assiettes des millions de consommateurs, devenant alors une véritable préoccupation pour la santé de l’Homme ainsi que pour la protection de l’environnement. Des solutions existent et de nombreuses entreprises font le choix de médiatiser le sujet à travers des campagnes de sensibilisation ou même par des actions respectueuses de l’environnement.

Les marques s’engagent à sensibiliser

Pour répondre au problème de la pollution des océans, des projets se développent chaque année afin de proposer des solutions de collectes massives. Les associations et les citoyens reconnaissent régulièrement le manque d’action sur ce type de problématique. Certaines marques font le choix de jouer de leur image et de leur puissance de parole pour faire bouger les choses. Le secteur pertinent pour s’adresser aux consommateurs reste le prêt-à-porter. Cyrill Gutsch, un designer allemand et fondateur de l’association Parley for the Oceans s’associe régulièrement à de grandes marques pour sensibiliser sur le sujet de la pollution des océans. En 2015, il a travaillé en collaboration avec Adidas pour concevoir une sneaker faite de plastique recyclé ramassé sur les plages des Maldives. Plus de 700 marques sont prêtes à s’engager à ses côtés afin de sensibiliser les citoyens sur la cause. Il arrive que les entreprises participent à de telles initiatives pour réaliser des coups de communication. Avec Parley for the Oceans, elles souhaitent désormais s’engager de manière pérenne.

Pour continuer dans cette perspective la marque Head & Shoulder a dénoncé l’usage unique du plastique à travers une campagne de publicité. En juin 2017, la marque de shampooing a commercialisé 150 000 bouteilles en édition limitée fabriquées avec  25 % de plastiques retrouvés sur les plages. L’objectif réside dans une médiatisation de ce fléau qui pourrait engendrer la perte totale des poissons d’ici 2048. À travers des campagnes d’affichage et des actions environnementales les marques souhaitent impacter les mentalités. Très louables, elles aident à médiatiser un problème planétaire tout en profitant d’une image éthique.

Des projets et des actions

Pour tenter d’améliorer la situation, des entrepreneurs engagés ont développé des solutions afin de récupérer les déchets au sein des océans. En 2012, un Néerlandais, Boyan Slat, s’est fait connaître pour son projet ainsi que son jeune âge à l’époque (19 ans). Intitulé « Ocean Cleanup », il avait pour objectif de déposer des boudins gonflables sur une centaine de kilomètres pour récupérer les déchets. Peu concluant à ses débuts, le projet a été revu et compte désormais plus d’une centaine de personnes. Les initiatives d’entrepreneurs ne cessent de se multiplier avec des aspirateurs, des vortex, des drones à voiles pour tenter de réduire le nombre de déchets au sein des océans. Ces entreprises avant de développer leur projet misent sur des financements gouvernementaux ou sur des financements participatifs à travers des plateformes de crowdfunding.

Les entreprises peuvent elle aussi s’imposer dans le mouvement en luttant contre le plastique. La pollution des océans devient un problème international et le septième continent n’est pas revendiqué par un État. Tout le monde est concerné, ce qui pousse des entreprises à mettre en place une politique RSE (Responsabilité sociétale des entreprises) autour de ce sujet. Au sein des bureaux des actions peuvent être instaurées, comme limiter sa consommation de plastique. Il s’agit d’éviter les bouteilles en plastique et penser à respecter le tri sélectif. En France, seulement 49 % des bouteilles sont recyclées, une majorité est décyclée, ce qui consiste à produire un plastique de moins bonne qualité ne pouvant plus être recyclé par la suite.

Au sein des entreprises, les initiatives peuvent avoir un impact significatif sur la pollution des océans. Les entreprises ont parfois plus de poids, alors pourquoi ne pas en profiter pour sensibiliser les salariés et les consommateurs autour de la pollution.

La pâtisserie, un marché qui rend fou

Reconnue comme une des lettres de noblesse de la France, la pâtisserie connaît un véritable engouement au sein du pays et même à travers le monde entier. Pays pionnier des divers gâteaux, macarons et autres croque-en-bouches . Populaire auprès de toutes les classes sociales de nombreuses entreprises en profitent comme les médias, l’édition ou les plus grandes entreprises. Un vrai boum qui fait miam !

La France, un pays consommateur et créateur de pâtisserie

Dans le monde entier, la France est reconnue pour son savoir-faire en matière de pâtisserie. Les chefs pâtissiers font le tour du monde pour présenter leurs créations. La France se démarque par sa connaissance de la gastronomie et son apprentissage. Les jeunes de pays étrangers viennent se former en France pour avoir cette maîtrise de la pâtisserie. Le raffinement et le luxe qu’elle diffuse particulièrement grâce à des marques comme La Durée ou Pierre Hermé créent un véritable engouement autour des spécialités. Et si le monde raffole des confections des grands chefs étoilés, les Français y attachent eux aussi beaucoup d’importance. Ce pêché mignon s’installe régulièrement dans les assiettes des consommateurs. Dans une étude réalisée par l’Ifop pour la Fédération des Entreprises de Boulangeries, 74 % des Français déclarent acheter des pâtisseries souvent ou de temps en temps. La raison de cet achat très fréquent s’explique essentiellement par le plaisir provoqué par ces spécialités françaises. Au sein de l’échantillon des 1002 personnes interrogées, 88 % considèrent la pâtisserie comme un plaisir gustatif et 71 % en achètent pour réjouir leurs proches.

Un engouement qui devient même un divertissement

L’engouement provoqué par la pâtisserie devient un marché pertinentpour de nombreuses entreprises. Les Français voient ce savoir-faire comme un divertissement. Ils réalisent des pâtisseries confectionnées à même leur cuisine et les entreprises comptent bien en profiter. Chaque année, des milliers de livres sur le sujet sont proposés à la vente. Ils abordent des recettes simples ou les techniques des pâtissiers les plus célèbres comme Cyril Lignac. Le Sudiste a su faire ses preuves durant sa carrière, mais connaît aussi une popularité grâce à de nombreuses émissions télévisées, comme le Meilleur Pâtissier diffusé sur M6. La chaîne programme régulièrement différentes éditions de cette émission, car elle génère des parts de marché conséquentes et attire de nombreux spectateurs. Pour sa dernière édition diffusée le 11 juin 2018 en prime time, elle a conquis 2,1 millions de téléspectateurs atteignant une part de marché de 11,5 %. La pâtisserie interpelle les consommateurs et les passionnés. Vue comme un divertissement, les éditions et les chaînes de télévision proposent régulièrement des programmes pour « pâtisser » comme un chef. Les petits gâteaux toujours plus impressionnants et élégants arrivent à convaincre les Français d’en profiter visuellement et gustativement. Les téléspectateurs du Meilleur Pâtissier ne pratiquent pas tous la pâtisserie, mais beaucoup considèrent la confection de gâteau comme un programme satisfaisant à regarder.

La pâtisserie en marche vers le digital

Le sujet envahit les rayons des libraires, les chaînes télévisées, mais également les réseaux sociaux. Les chefs pâtissiers misent désormais sur un esthétisme et des créations excentriques pour faire valoir leur savoir-faire. Pour beaucoup, la prise de photos une fois leur création terminée devient essentielle. Ils publient régulièrement des contenus sur les réseaux sociaux en présentant leurs entremets et gâteaux sous leur meilleur jour. Les photos publiées sur Instagram ou Facebook génèrent de la curiosité et attisent la gourmandise des internautes. Une fois diffusés, ces éléments engendrent un engouement et des milliers de likes. Christophe Michalak, par exemple, profite de son compte Instagram aux 364 000 abonnés pour mettre en avant ses réalisations culinaires. Depuis l’avènement du digital, les réseaux sociaux deviennent une carte de visite pour les pâtissiers. Les consommateurs s’abonnent par gourmandise et pour possiblement se rendre dans les pâtisseries des plus grands chefs. Instagram s’affiche comme une plateforme qui permet aux entrepreneurs de se faire un nom pour travailler dans les plus grandes maisons ou même diffuser de la publicité pour leur commerce. La pâtisserie attire, ce qui en fait un marché propice aux multiples business.

Les marques jouent du savoir-faire français

Tous les secteurs tentent d’exploiter la pâtisserie grâce à l’engouement qu’elle procure auprès du monde entier. Des chefs pâtissiers français ont pu faire fortune dans des pays comme les États-Unis ou bien le Japon. Le savoir-faire français possède une reconnaissance hors du commun et les marques comme La Durée ou Pierre Hermé ont pu en profiter en s’installant partout à travers le monde. La Durée, spécialiste des macarons a su convaincre toutes les cultures. Désormais présente dans plus de 25 pays, cette entreprise réalise plus de 130 000 macarons par jour dans ces trois usines. La folie de la pâtisserie continue de faire frémir les papilles et les concepts ne cessent de se développer. Dans ce domaine, la France reste pionnière en matière de savoir-faire, promettant pour de nombreux entrepreneurs des implantations à l’internationale relativement bien accueillie.

Le domaine de la pâtisserie séduit les consommateurs et les papilles. Le secteur voit naître de nouvelles entreprises et start-up pour satisfaire les gourmands. Le marché continue son essor grâce au plaisir que la pâtisserie procure ainsi qu’à l’ouverture sur le monde des spécialités françaises. Les pâtissiers sont les premiers récompensés, mais les grands groupes comptent eux aussi continuer à profiter du marché par des émissions, des livres dédiés ou même une industrialisation massive.

Comment rendre ses bureaux « fashion » ?

Attentif au bien-être de vos collaborateurs, vous vous interrogez quant au style de votre bureau et aux différentes possibilités que vous auriez pour le rénover et lui donner davantage de cachet ? Vous aimeriez que vos salariés aient un véritable plaisir à venir travailler dans un endroit qui leur donne une pleine satisfaction et qui stimule leur productivité ? Voici quelques conseils.

L’Observatoire Actineo dans son Baromètre 2017 apporte une nouvelle perspective et met à mal les idées reçues. Les grands open spaces, « flex office » et espaces de travail alternatifs sont en fait minoritaires dans les entreprises françaises – Près de 7 actifs sur 10 (65%) travaillent dans un bureau fermé. Un tiers d’entre eux (32%) dispose d’un bureau fermé individuel. Moins d’un tiers (29%) travaillent dans un espace collectif ouvert, dont 19% dans un espace de moins de 10 personnes. Et 6% sont en « flex office » (sans poste attribué). 16% disposent d’un espace convivial de partage informel qu’ils sont en revanche 72% à utiliser tous les jours ou plusieurs fois par semaine. – Les salles de repos/détente commencent à prendre une place significative, tant en matière de présence (32%) que d’usage (71%), ainsi qu’à un moindre degré, les jardins ou espaces verts (22% de présence et 59% d’usage).

La mort annoncée de l’open-space ?

Avant d’aborder de façon concrète les différentes solutions et tendances actuelles pour les bureaux professionnels à travers le monde, il est important d’apporter une réponse aux personnes qui s’interrogeraient encore quant à la fiabilité de l’open space dans le cadre d’une entreprise et de l’organisation de ses bureaux. Après un ouvrage ayant mis à mal tous les intérêts supposés de cette organisation particulière des bureaux d’entreprises (« L’open-space m’a tuer » de Alexandre des Isnards et Thomas Zuber), force est de constater que l’open-space n’a plus requiert de la part des dirigeants des trésors d’ingéniosité pour rendre l’open space convivial et porteur de valeur dans les relations humaines. Si vous vous interrogez encore quant à l’intérêt ou non d’une telle organisation, sachez que vous pourrez tout à fait offrir à vos salariés un bureau de qualité et bien organisé sans pour autant respecter uniquement les codes de l’open-space.

Optez pour des bureaux à l’image de votre entreprise

Les vastes bureaux de Facebook, les grands centres de réflexion d’Apple… Tous ces bureaux respectent les mêmes codes : ils ressemblent trait pour trait à l’entreprise. Rendre ses bureaux fashion n’est pas une finalité en soi, mais il est indispensable que vos bureaux ressemblent à l’identité de votre entreprise et de vos salariés afin qu’il n’existe pas de grand écart entre l’image que l’on a de votre entreprise et son lieu de travail. A noter également qu’il n’est pas nécessaire, parce que votre entreprise réalise un chiffre d’affaires très important ou qu’elle exerce sur un marché bien particulier, de tout mettre en œuvre pour que vos bureaux soient dessinés selon un haut standing. Bien au contraire : la simplicité est la reine des qualités pour des bureaux professionnels !
L’exemple de l’entreprise Michel et Augustin illustre à merveille le propos : les bureaux de l’entreprise ont pour nom « La Bananeraie ». Ils sont d’une simplicité certaine mais regorgent de couleurs éclatantes. Les bureaux y sont bien organisés, grands et faciles d’accès, les salariés sont heureux de venir travailler dans cet endroit.

Le recours à un designer : pourquoi pas ?

Beaucoup d’entreprises, souvent soucieuses de proposer un lieu de travail de qualité et qui donne envie aux salariés de venir le sourire aux lèvres, n’hésitent plus à avoir recours aux services de spécialistes du design et de l’architecture. Ainsi Pauline Pannequin a lancé Opale Décoration, pour mettre à profit son expérience en agence de communication et ses talents pour proposer aux professionnels une prestation au service de leur image. Bien sûr, si votre budget vous le permet bien évidemment, mais à prendre tout de même avec des pincettes : bien trop de spécialistes ont en tête de faire des bureaux futuristes qui ne collent pas nécessairement avec l’idée que vous vous faites de l’entreprise. Réfléchissez donc bien, en amont, à ce dont vous avez envie pour obtenir les meilleurs résultats possibles.

MagiLeads aide les entreprises à mieux prospecter

Deux années se sont écoulées depuis que Nicolas Arnaud s’est lancé dans l’aventure de MagiLeads. Aux côtés de son associé, François Kolli, le cofondateur simplifie la prospection BtoB et BtoC. De quoi donner un petit coup de baguette magique aux entreprises en quête de développement.

« La difficulté lorsqu’on est entrepreneur, c’est la pression sociale, lâche Nicolas Arnaud, cofondateur de MagiLeads, avant de poursuivre : Beaucoup n’ont pas conscience de ce que veut dire monter une boîte et vous répètent sans cesse : « Alors, quand est-ce que ça marche ? », mais ils ne savent pas ce qu’on vit au jour le jour. » Pour ce passionné des nouvelles technologies, se lancer dans la confection d’un outil numérique était presque une évidence. Cofondée début 2016 avec François Kolli, la plateforme dédiée à la prospection BtoB et BtoC aide les dirigeants à trouver leurs prospects ainsi qu’à faire connaître leur solution. Incubée chez Station F il y a tout juste un an, les deux associés baignent dans l’écosystème entrepreneurial. L’occasion de se tenir au courant des nouveautés du secteur, d’échanger sur les avancées des uns et des autres, mais aussi de profiter d’un « réseau incroyable ».

Des leads comme par magie

Trouver la base de données correspondant à ses prospects et pouvoir leur envoyer son offre, tout ça sur une seule et même plateforme. C’est le défi relevé par MagiLeads. « Nous avons construit toute une série d’algorithmes intelligents qui s’enrichissent au fil du temps et s’actualisent en temps réel, explique Nicolas Arnaud. Et cela fait dix ans que mon associé, François Kolli, évolue dans le marketing, ce qui nous a permis de construire une base de données quantitative et qualitative », précise-t-il.

« MagiLeads, c’est à la fois la fougue et la jeunesse mais aussi le fait de ralentir les choses. Une association qui porte bien ses fruits », se réjouit l’entrepreneur. Lancée sans levée de fonds mais uniquement grâce à de la « love money », la start-up tend à se développer à l’international, d’après son dirigeant : « Nous n’avons pas encore les ressources humaines nécessaires pour couvrir un autre marché que celui français mais l’international reste dans un coin de notre tête. D’ici un ou deux ans, il sera temps d’y aller. »

Période de transition

Diplômé de l’Université Paris-Dauphine en finance, Nicolas Arnaud s’est d’abord orienté dans le secteur bancaire. Mais voilà, l’envie de se lancer dans les nouvelles technologies prend le dessus et le pousse à refaire un master, cette fois, en entrepreneuriat. « Lorsque je travaillais pour une banque, j’avais l’habitude des rendez-vous avec des dirigeants plutôt successful. Ils me partageaient souvent leurs anecdotes et m’expliquaient comment ils en sont arrivés là. Puis, un jour, je me suis dit : « Pourquoi pas moi ? » », se souvient-il avec nostalgie.

Il n’en faut pas plus pour que le futur dirigeant lance une première entreprise, Email Catcher, un logiciel permettant d’extraire des adresses e-mail. S’il a désormais passé la main, c’est pour se consacrer pleinement à son nouveau projet, MagiLeads. « Quitter une première aventure dans laquelle on a investi beaucoup d’énergie et de passion pour se replonger dans une seconde reste difficile psychologiquement », confie-t-il. Mais, pour le cofondateur, l’entrepreneuriat, au-delà de la liberté, implique de sortir de sa zone de confort et de se remettre en question pour avancer : « Il faut persévérer, même si l’on rencontre des échecs, quitte à changer de projet, explique-t-il. La persévérance permet d’acquérir de l’expérience. C’est la clé de la réussite. » Et quand la coupe est pleine, son remède : faire du sport pour repartir l’esprit serein et plus déterminé que jamais.