Beaucoup de repreneurs, au sortir de grands groupes, calibrent la volumétrie de leur projet de reprise sur leurs responsabilités passées, en termes de chiffres d’affaires (« je n’ai jamais dirigé de BU de moins de 50 M€ »), ou en termes d’effectif (« j’ai toujours eu à manager des équipes de plus de 100 personnes). Bien sûr, ces « high potentials » ne sont pas faits pour reprendre une TPE. Pour autant, un travail de deuil est nécessaire à ces repreneurs-séniors. En effet, la position de dirigeants de haut-vol les a amené à être « locataires » de postes prestigieux, et les incite tout naturellement à envisager une reprise en « propriétaire » de cibles de mêmes dimensions, et, osons le dire, de même standing. C’est faire peu de cas des réalités du marché de la reprise.
A titre particulier, les clients des banques ont pris l’habitude de consulter leur compte et de traiter leurs opérations bancaires ou de bourse de chez eux en s’appuyant sur les services de Banque à Distance. Mais qu’en est-il du côté des professionnels ?
L’Estonie. Ce pays communément connu pour son tourisme, situé au fin fond de l’Europe au cœur d’une région au développement des plus dynamiques et au fort potentiel économique : la mer Baltique.
Avant de décider de prendre un véhicule de fonction, le chef d’entreprise doit préalablement envisager les conséquences de son choix. En effet, celui-ci aura non seulement des impacts sur la trésorerie et le résultat de l’entreprise mais peut également avoir un impact non négligeable sur le pouvoir d’achat personnel du dirigeant.
La très grande majorité des sociétés a débuté en mode « start-up ». On se souvient de Microsoft qui fut créée dans un garage et de NRJ dans une chambre de bonne. Ces succès ne doivent pas faire oublier que seules 20% des start-up ont des activités pérennes assurant le développement de la société. Les espaces de co-working, l’accompagnement des incubateurs et les pépinières favorisent l’éclosion de nouveaux entrepreneurs en leur permettant de se lancer dans cette « folle aventure ». Les start-up ont leurs particularités et leurs codes qu’il convient de traduire au mode de fonctionnement des financiers.
Les règles applicables en matière de délais de paiement entre professionnels ont été modifiées en janvier 2013. C’est l’occasion de revenir sur l’importance d’établir des conditions générales de vente de biens ou de services dans ses relations avec les professionnels. Selon l’article L. 441-6du Code de commerce, « elles constituent le socle de la négociation commerciale »
Si le marché était Loki, le classement établi par l’EBG serait les Avengers. Et pour cause, le réseau d’entrepreneurs a identifié les 10 jeunes entreprises ayant un business model innovant...au point de pouvoir bouleverser les lois du marché.