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E-commerce rime-t-il toujours avec rentabilité ?

L’institut CCM Benchmark a fait appel à l’organisation Webloyalty  afin d’étudier le secteur de l’e-commerce.

Ces dernières années, l’e-commerce était considéré comme un secteur propice et de nombreuses entreprises s’y sont installées afin de générer plus de profits. Cependant, la baisse de la consommation des ménages et la situation difficile du marché économique actuel ont eu raison de l’activité de l’e-commerce. En effet, le chiffre d’affaires de ce dernier a connu un important recul en 2012.

Des inégalités au sein du marché

Ce ralentissement a épargné certaines structures, notamment celles en développement. Elles étaient 64% à voir l’augmentation de leur chiffre d’affaires.

Pour les grandes entreprises présentes dans les secteurs concurrentiels comme le high-tech et le tourisme, la tendance est plutôt inverse. Alors que 35% des distributeurs présents sur le net ont vu une croissance de leurs bénéfices, 25% ont constaté un recul de leur rentabilité. Résultat de cette situation : la montée des coûts d’acquisition d’un client.

Solutions

Pour faire face, de plus en plus de structures cherchent d’autres moyens pour rentabiliser leur présence sur internet. Par exemple, vendre des espaces publicitaires sur le site internet (plus l’audience est importante, plus les prix sont élevés), conclure des partenariats, ou même louer des fichiers de données clients. Ainsi, 63% des sites marchands virtuels avouent utiliser au moins une de ces pratiques, pendant que 34% combinent plusieurs de ces moyens de financement.

A ce propos, « le pari de la diversification s’avère payant, 68% des sites monétisant leur audience ont amélioré leur rentabilité, contre 60% chez ceux qui n’ont pas recours à la diversification. Ces revenus de diversification représentent pour plus d’un site d’e-commerce sur cinq concernés la majeure partie de leur marge d’exploitation. Cela illustre aussi en creux leur faible niveau de marge sur l’activité principale de distribution. », a déclaré Stéphane Loire, directeur des études chez CCM Benchmark.

En France, 57% des sites marchands virtuels atteignent un chiffre d’affaires supérieur à 10 millions d’euros et 26 % d’entre eux réalisent un résultat qui se situe entre 1 et 10 millions d’euros.

La technologie tactile déjà dépassée ? Leap Motion ?

Alors que de plus en plus d’ordinateurs sont équipés d’écrans tactiles, se pourrait-il que cette technologie soit déjà « has been » ? C’est possible, si l’on regarde les possibilités offertes par le nouveau capteur de mouvement, Leap Motion. Explications.

Un concept révolutionnaire ?

La course au tactile qui fait rage entre les différents fabricants d’ordinateurs pourrait bien être vaine. Alors que beaucoup d’entre eux foncent tête baissée dans l’équipement des ordinateurs en écrans tactiles, une rupture technologique se dessine peut être dans un avenir extrêmement proche. Si l’on pensait que la technologie tactile constituait la solution ultime en termes de confort d’utilisation d’ordinateur ou de tablette, cette vision est en passe d’être modifiée grâce à un capteur de mouvement d’un nouveau type : Leap Motion.

Leap motion est un capteur de mouvement révolutionnaire permettant de contrôler son ordinateur par un simple mouvement de main ou de doigts. Il se branche par USB à son mac ou à son PC et se place devant le clavier. Il créé un cube virtuel d’environ 60 cm par face, à l’intérieur duquel les mains et les doigts remplacent la souris et le clavier. Le principe reste proche de celui de Kinect, à la différence que la surface d’utilisation est largement réduite et la précision très largement supérieure.

Les avantages

Leap Motion est doté d’une précision tout bonnement impressionnante, si bien que le capteur Kinect des consoles Xbox 360 fait bien pâle figure à côté. Une technologie qui serait selon ses créateurs : « deux-cent fois plus précise que n’importe quel autre dispositif disponible sur le marché ». En plus d’être beaucoup plus précis que Kinect, Leap motion est également beaucoup moins cher, environ 80$ aux Etats-Unis. La taille de l’outil est également remarquable, pas plus importante que celle d’un Ipod.

Comme nous le montre la vidéo associant Leap Motion au système d’exploitation windows 8, l’interaction avec le PC n’a jamais été aussi aisée. Si le fonctionnement s’avère aussi bon que sur la vidéo, l’utilisation du tactile sur ordinateur pourrait rapidement nous paraître contraignante. Le contrôleur serait capable de détecter des mouvements de l’ordre du centième de millimètre ! Pour comparaison, Kinect est incapable de détecter un mouvement d’amplitude inférieure au centimètre, même si, bien sûr, il n’a pas la même vocation.

Des interrogations subsistent

Simple gadget ou accessoire réellement indispensable ? La question se pose avec acuité. Comme il semble difficilement concevable de travailler des heures durant avec les mains suspendues dans les airs, le spectre d’utilisation de Leap Motion pourrait se réduire sensiblement, excluant tous les travaux de longue durée. Bouleverser l’hégémonie du couple clavier / souris ne sera pas chose facile, même avec une technologie de ce type.

On peut également se demander s’il sera possible d’effectuer toutes les opérations de base sur l’ordinateur, comme une simple requête Google par exemple. Si certaines actions semblent particulièrement adaptées au capteur, d’autres, en revanche, semblent a priori plus problématiques et limitent fortement la possibilité de contrôler son ordinateur de façon exclusive avec Leap Motion.

Il nous reste maintenant à attendre la sortie effective du contrôleur, prévue pour le 22 juillet prochain, pour voir si cet outil, en apparence révolutionnaire, représente réellement le futur de l’informatique.

Les entrepreneurs créatifs

Les créateurs de mode sont des entrepreneurs comme les autres. Ils créent une marque, se frottent aux problèmes juridiques, comptables, administratifs comme toute entreprise sans que cela exclut leurs propres défis comme la fameuse trésorerie inversée…

Kit de survie de l’entrepreneur créatif selon Vincent Rouvière, Président de Podium Jeunes Stylistes (concours pour jeunes créateurs mode).

Conseil 1 : Aller contre les préjugés

« Pour un créatif, penser business c’est se travestir. Or, faire de l’art chez soi sans en vivre ne vous distingue de personne. Tout le monde peut le faire et cela s’appelle un loisir. Réussir à en vivre, c’est faire grandir son art, l’élever aux regards de tous. »

Conseil 2 : Apprendre à s’entourer

La création est un travail à temps plein, concentrez vous y et déléguez l’aspect commercial à un profil complémentaire (gestion-management).
Le premier réflexe est souvent de chercher parmi ses proches : La famille (Alexis Mabille), le conjoint (YSL), un ami (Faguo)… mais rien ne vous empêche d’aller à l’aventure, bien au contraire !
Pour faire évoluer et grandir son projet, il faut sans cesse chercher à confronter les points de vue et recueillir les critiques.

Comment faire ? Aller vers les autres.

Vous représentez votre marque, la timidité vous est désormais interdite, alors entraînez vous ! Cela passe par un exercice très simple « l’elevator pitch« . En 2 minutes maximum : qui je suis, ce que je vends, ce que pourrait m’apporter/ ou en quoi je pourrai intéresser mon interlocuteur.
Exemple, je m’appelle …, j’ai crée ma marque de prêt à porter féminin haut de gamme pour une clientèle CSP citadine, et j’aurais aimé avoir votre avis sur/ connaissez-vous quelqu’un qui…

Et ensuite, à la demande de votre interlocuteur, la conversation pourra aller dans le détail (une mode au design épuré, très graphique…).

Ou aller ? Lieux de rencontre et de networking créatif :

  • Ateliers de paris (incubateur mode et design)
  • Fédération française de PAP féminin (atelier à thème pour 40-50€ la séance de 4h)
  • Arts décoratifs, workshop orienté créatif (1000€ la semaine)
  • IFM (conférence mode et networking)
  • Podium jeunes stylistes
  • ESCP mode et design
  • Mairie, concours de mode (Hyeres, Dinard… on gagne de l’argent ou une formation)

Conseil 3 : vivre la collaboration

Se comprendre mutuellement nécessite un respect de l’autre et une curiosité pour son travail.
Il faut connaitre les mots clefs et les termes techniques de chacun. Celui du management et de la gestion pour le créatif. Et celui du design ou de la mode pour le commercial (métrage, modélisme…)
Mots d’ordre : comprendre, écouter, s’interroger.

Conseil 4 : Se financer

Phase 1 : La période d’amorçage (2-3-5ans)

Minimiser le financement :

  • love money (demander à ses proches de l’argent
  • prêt à taux zéro (oséo, concours…)
  • subvention publique
  • crowd founding (site comme kisskissbankbank…)

Limiter les risques :

  • Des petites collections (collection capsule)
  • 1 ou 2 produits phares (cher, très créatif) qui n’ont pas pour but d’être commercialisé mais d’aider aux relations presse.
  • Des produits plus accessibles en termes de prix et portable (favoriser les accessoires)
  • Etre visible (concours, partenariat)
  • Avoir un positionnement clair
  • Collection auto financée (je produis mon vêtement qu’une fois qu’il est commandé : Carnets de mode, mondéfilé, PJS)

Phase 2 :

  • DEFI (organisme qui collecte des taxes aux PME dans la mode pour financer l’innovation : permet de pérenniser sa marque)
  • rachat par un grand groupe (les jeunes pousses de LVMH, on devient minoritaire, on est salarié mais on a plus de moyen, et toujours une forte présence dans la création)

Sport et business : signer et gérer un sponsor

A l’heure où l’économie mondiale ralentit, il devient de moins en moins évident pour de jeunes talents de se lancer dans le sport automobile, faute à un manque de budget qui touche toutes les catégories, y compris la Formule 1. Pour essayer de comprendre le problème, nous avons rencontré Grégoire Akcelrod, directeur du département marketing et sponsoring de l’équipe Team RFR, qui a accepté d’analyser pour nous la situation. Interview Grégoire Akcelrod.

Pour le spécialiste, deux difficultés majeurs qui rendent difficiles la signature de sponsors pour les jeunes pilotes. « Le problème vient d’une part de la conjoncture économique en Europe qui ne favorise pas l’investissement des entreprises et d’autre part, du manque de vision à long terme que souhaite obtenir les partenaires. Avec les contraintes budgetaires dues à cette crise, les entreprises ont besoin d’optimiser leur budget marketing et prennent moins de risque. Ils souhaitent s’inscrire dans un projet solide, ambitieux et à long terme qui leur montrera le retour sur investissement de ce sponsoring. Le problème dans le sport automobile, c’est qu’il y a une grande part d’incertitudes du coté sportif, ce qui fait son charme, mais peut aussi freiner certains annonceurs. »

Quand on lui demande ce que peuvent rechercher les sponsors, sa réponse est unanime. « Quand une entreprise investit dans le sponsoring sportif, elle cherche en priorité à s’approprier les valeurs de ce sport et si possible parrainer une écurie ou un pilote qui gagne ! » Mais pour lui, le palmarès sportif ne suffit pas « Dans toutes les catégories, un pilote avec un palmarès mais aussi une bonne image augmentera ses chances pour signer des sponsors. Il est aussi intéressant de savoir se démarquer par le marketing. La communication commence dès le plus jeune age ! »

Dans tous les cas, faire une généralité ne servirait à rien, comme nous le rappel Grégoire Akcelrod « Chaque sponsor a une démarche spécifique qui l’amènera à sponsoriser une écurie ou un pilote. Certains ont un besoin de notoriété et vont s’attacher à communiquer sur l’image que leur apporte leur partenariat, alors que d’autres vont devenir sponsor pour développer leurs réseaux professionnels afin de rencontrer, pendant les Grand Prix, d’éventuels investisseurs, leaders d’opinion et entrepreneurs. Avec plus de 200 entreprises internationales qui sponsorisent des écuries F1 et qui sont présents chaque weekend de course, c est un endroit rêvé pour développer son B2B. Genii Business Exchange en est le parfait exemple avec Lotus F1. »

Peu importe la manière d’attirer un sponsor à lui, un pilote doit ensuite savoir construire une relation de confiance et répondre aux attentes placées en lui, afin de pouvoir
maintenir une relation durable. De par son expérience sur le terrain, le directeur marketing ajoute « Pour qu’un partenariat soit efficace et durable, plusieurs éléments rentrent en compte, premièrement il est indispensable d’avoir un minimum de résultats sportifs pour engendrer une dynamique positive. Au delà de ça, il est aussi très important d’avoir une bonne communication et d’utiliser tous les supports possibles de l’écurie et/ou du pilote (site internet, réseaux sociaux,etc..) Il faut aussi savoir innover et créer des événements sur et hors des Grand Prix permettant d’instaurer une relation de confiance et montrer son attachement à ce sponsor. Encore une fois, chaque partenaire est différent et leurs attentes ne sont pas les mêmes donc il est difficile de faire une généralité. Ritmo Mundo (partenariat conclu lors de la saison 2012 avec Team RFR ndlr) utilisait principalement Team RFR pour promouvoir ses montres en Russie alors que Gazprom (Sponsor principal de l’équipe Franco-russe) mettait en avant son sponsoring grâce à un plan de communication externe et interne très efficace. »

Pour conclure, nous lui avons demandé comment ce sport pouvait être relancé, à commencer par notre pays. Pour Grégoire Akcelrod, cela passe par l’innovation et par l’encouragement aux jeunes de poursuivre leur voie « La France reste une place importante du sport automobile, nous comptons de nombreux grands constructeurs, quatres pilotes français courent en F1 et nous avons le chance d’avoir une champion d’exception comme Sebastien Loeb. Cependant, il faudrait créer une nouvelle dynamique en donnant plus d’importance aux moteurs hybrides, en développant de nouvelles technologies et en organisant dans un futur proche un Grand Prix en France. Je voudrais aussi mettre en valeur tous les championnats de promotion qui existent dont les World Series qui permettent aux futurs talents d exploiter tous leurs potentiels ! »

Article par Hugues Chevaliers

Startups web : une affaire de jeunes ?

Un cliché en France est de penser qu’un jeune n’est pas suffisamment expérimenté pour créer une entreprise à succès. On entend souvent comme conseil de travailler quelques années pour se faire de l’expérience avant de démarrer une aventure entrepreneuriale.

Afin de répondre à la question si un jeune a moins de chances de succès qu’une personne expérimentée, voici quelques exemples de Startups web :

  • Instragram – Kevin Systrom –26 ans   
  • Uber – Garrett Camp – 30 ans 
  • Facebook – Mark Zuckerberg – 19 ans 
  • Microsoft – Bill Gates – 20 ans 
  • Yahoo – Jerry Yang – 25 ans 
  • Groupon – Andrew Mason- 28 ans 
  • Dell – Michael Dell -18 ans
  • Expedia – Richard Barton – 26 ans 
  • Amazon – Jeff Bezos – 30
  • Google – Larry Page / Sergey Brin – 25

Conclusion

Contrairement à ce que l’on aurait pu penser, le jeune âge n’est non seulement pas un frein mais bien souvent un avantage pour une startup web !

Les raisons de ce constat sont à mon avis les suivantes :

  • Avoir 24 ans, ne signifie pas forcément être inexpérimenté. Drew Houston, le fondateur de Dropbox a par exemple appris à coder à 5 ans et a monté sa première startup à 14 ans.
  • Dans un monde où les paradigmes changent aussi vite, il est important d’être très au fait des nouveautés et de toujours continuer à apprendre. Les succès de Pinterest, d’Instagram ou de Zynga sont par exemple liés à la capacité de leurs fondateurs d’utiliser Facebook comme levier de croissance. Le web offre en effet une prime au dernier entrant, qui saura utiliser au mieux les nouveaux outils à sa disposition et les ruptures technologiques (Facebook, les Smartphones, les tablettes, etc.)
  • Enfin, ces entrepreneurs ont également su s’entourer de personnes expérimentées, en particuliers leurs investisseurs et leur management senior. Larry Page et Sergey Brin ont par exemple rapidement laissé la place à Eric Schmidt pour le lead de Google… La plupart de ces startups à succès sont financées par les mêmes fonds de capital risque (Sequoia Capital, Benchmark Capital, Andreessen Horowitz, Accel Partners, Greylock Partners, etc.) ainsi que des business angels qui ont déjà créé plusieurs entreprises.

En conclusion, plus que l’âge, c’est un état d’esprit commun qui caractérise ces fondateurs. Tous ont la soif d’apprendre, le refus des codes établis et l’ambition de changer le monde… C’est peut-être en cela que l’insouciance des 25 ans a pu aider à créer Google et Facebook…

Méthodologie

  • Pour trouver les dates de naissance, je suis allé sur Wikipédia, le site du fondateur ou Linkedin. Il arrive que les personnes ne communiquent pas sur leur âge, j’ai alors estimé ce dernier par rapport à la date de leurs études. Il est donc possible que des erreurs d’un an ou deux se soient glissées dans le tableau.
  • Comme fondateur, j’ai n’ai choisi qu’un seul nom, si possible le CEO même si la plupart de ces entreprises ont été créées par des équipes.

Gagnez du temps, partagez mieux : la collaboration en ligne ! WIMI

Les outils collaboratifs sont de nouveaux moyens de partager les données et les tâches au travail. Ce sont des applications plus complètes et performantes de mise en commun des informations au sein de l’entreprise. Ces outils sont dits « collaboratifs » car ils donnent le sentiment aux employés d’œuvrer pour un même but. Il est souvent difficile de contenter tout le monde et de faire émerger les idées en travail collectif. Les outils collaboratifs sont là pour répondre à ce besoin.

Des tâches multiples en une seule application

La collaboration en ligne fonctionne sur une conception ouverte du travail. Le fameux tableau blanc, accessible à tous, sur lequel on écrit la liste des objectifs mensuels, c’est déjà un outil collaboratif ! Les technologies innovantes d’aujourd’hui vont plus loin. En effet, avec la dématérialisation des activités, vous pouvez donner une visioconférence à vos collaborateurs à l’autre bout de la France… ou du monde ! Les fournisseurs de messageries instantanées proposent aujourd’hui des solutions pour partager vos fichiers de travail en temps réel et avec tous vos employés. L’un des outils de ces services sont les agendas numériques : vous pouvez communiquer les rendez-vous importants à vos associés. Une autre fonction vous permet de synchroniser les tâches en cours à toute l’entreprise, et de diminuer ainsi les coûts de gestion et les frais de dossier.

Le travail collaboratif est intéressant à plusieurs niveaux. Ces formes de mini réseaux sociaux internes à l’entreprise permettent de libérer la parole des managers. Ils sont particulièrement précieux pour les activités de l’informatique et de la R&D. Ils permettent de faire circuler les travaux destinés au web et de faire connaître les analyses de l’activité de l’entreprise à vos associés. Vous pouvez même mutualiser la relecture de votre comptabilité.

Comment ça marche ?

Vous avez juste à vous inscrire sur un site de partage de données en entreprise ou à télécharger le logiciel qui convient à la taille de votre société. Vous créez un compte privé sur lequel vous pouvez vous identifier depuis n’importe quel poste. Vos employés ont la possibilité de se connecter pour suivre vos publications et y apporter leur contribution. Vous pouvez même définir le degré d’implication de vos employés dans les dossiers de votre choix : en limitant la modification du produit aux ingénieurs par exemple, ou en ouvrant une session pour les opérations comptables à vos seuls associés proches.

Un exemple de solution simple et efficace : Wimi

La plateforme de partage française Wimi permet de gérer collectivement des projets en ligne. Elle fonctionne sur le Cloud. Une offre d’essai de 1Go de stockage et 3 espaces projets est accessible à votre équipe sans limitation de participants. L’interface est claire et intuitive, la prise en main est rapide et bien expliquée. Vos données sont sécurisées et vous pouvez travailler 30 jours sans engagement. Ils proposent également une offre 100% gratuite. Ça ne coûte rien d’essayer !

Ces services sont la solution efficace pour gagner en compétitivité. Pratiques, basés sur la communication et la confiance, ils permettent à chacun d’ajouter de la valeur ajoutée au travail collectif. La mutualisation immédiate des données améliore les canaux de diffusion des informations et réduit le temps de traitement du produit (suppression des multiples phases de contrôle et de validation). Vos employés gagnent en autonomie et prennent confiance en eux. Les outils collaboratifs leurs accordent une liberté de contribution qui favorise leur rendement. N’attendez plus !

La tablette : l’objet incontournable des Français

A la base un ordinateur portable doté d’un écran tactile fonctionnant avec un stylet, la première tablette voyait le jour en 1987 sous le nom de « Linus Write-Top ». Véritable révolution, cet appareil a inspiré de nombreux fabricants comme Samsung et Grid Systems Corporation qui ont conçu ensemble en 1989 « GRiDPad », une tablette tactile dont le succès a été limité à cause de son prix élevé. De recherches en innovations, le premier écran tactile pouvant être guidé grâce au doigt a été créé par Apple en 2007 avec son célèbre iPhone. En 2010, la société a présenté son iPad, première vraie tablette numérique. Certains spécialistes affirmaient alors que cette nouvelle technologie signait l’arrêt de mort du PC. A tort ou à raison ?

Ses avantages

La véritable révolution de la tablette vient de son mode d’utilisation. Elle offre en effet tous les avantages d’un Smartphone en proposant un écran plus grand assurant le confort d’un écran d’ordinateur. Compacte, simple à utiliser, la tablette est entièrement tactile et toutes les applications proposées sont regroupées dans des magasins virtuels propres à chaque fabricant. Les concepteurs de tablettes ont ainsi remporté le pari de proposer des appareils intelligents et intuitifs sans aucune contrainte technique comme rencontrée sur un ordinateur classique. 

Selon une étude Prixtel réalisée par IPSOS, 38,7 % des détenteurs de tablette déclarent utiliser leur terminal pour des raisons de commodité tandis que 38,2 % y trouvent un avantage en termes de rapidité. C’est ce qui explique en partie le succès des Smartphones et des tablettes.
Aujourd’hui, les détenteurs de tablette s’en servent principalement pour surfer sur internet. Selon l’étude Prixtel, 35,8 % des possesseurs de tablette s’en servent pour faire toutes sortes de recherches : cinéma, spectacle, adresse… Ils sont 28 % à s’en servir principalement pour consulter leurs e-mails, 16,1 % pour aller sur les réseaux sociaux et 12,5 % pour regarder les films et/ou écouter de la musique. 

Les tablettes en chiffres

A ce jour, 15 % des Français possèdent déjà une tablette, c’est aussi 30 % des 16-34 ans, et 25,3 % des 35-75 ans (étude Prixtel). L’année 2012 a connu une explosion des ventes de tablettes, avec 3,6 millions d’unités écoulées en France soit une hausse de 140 % (GFK).
L’iPad d’Apple est encore aujourd’hui le modèle de terminal remportant le plus grand succès mais le système Android de Google s’améliore et gagne du terrain. On voit apparaître de nouveaux acteurs sur le marché, comme Microsoft.
2013 s’annonce comme l’année de démocratisation de la tablette tactile avec une exploitation de plus en plus courante dans de nombreux secteurs professionnels et dans le milieu de l’éducation. Le marché devrait également connaitre une croissance importante du côté des particuliers qui y voient un intérêt croissant. Intégrées au tableau de bord d’une voiture, servant de GPS ou de système de divertissement pour les passagers et bientôt système de commande et autoradio, les tablettes deviennent incontournables dans les voitures comme dans de nombreux domaines de la vie quotidienne. Tablettes 3D, supports de lecture, les terminaux sont au cœur de nombreuses innovations et les prochaines années promettent encore de belles inventions.

Les nouveautés en 2013

Parmi les nouveautés présentées au salon CES de 2013, on peut citer des écrans flexibles qui offrent de nouvelles possibilités d’exploitation, des tablettes au clavier « liquide » qui apparaissant et disparaissant sur demande…

La tablette séduit de plus en de plus de Français. L’année 2013 marque un véritable tournant, fortes de leurs succès, les tablettes sont en passe de détrôner les ordinateurs portables. D’après GFK, 5,1 millions d’unités devraient en effet être vendues d’ici la fin de l’année contre environ 3,9 millions de PC portables. Les tablettes sont aujourd’hui partie intégrante de notre quotidien.

Y a-t-il des règles pour bien mincir ?

Dans le cadre d’une perte de poids, afin de perdre durablement en respectant son organisme il est important de respecter les 4 points suivants : l’aspect psychologique, l’aspect biologique, l’aspect activité physique et l’aspect équilibre alimentaire.

Si l’un des 4 points manque, vous risquez de reprendre très rapidement le poids perdu dès l’arrêt de vos efforts. Ou bien d’encourager l’effet yoyo qui répété, favorise de 50% la mortalité en déclenchant le diabète, les maladies cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux. 

Cet effet est amplifié par la découverte récente de l’inflammation des tissus adipeux. Lorsqu’ils sont en trop grande quantité, comme ils stockent de nombreuses toxines et produits chimiques absorbés dans l’alimentation et l’environnement, ils sont considérés comme un corps étranger. Cette inflammation endommage les tissus et sont facteurs de maladies graves pour la santé. C’est pourquoi l’obésité et la sédentarité tuent autant aujourd’hui.

Voyons plutôt qu’elles sont les 4 aspects principaux permettant la perte de poids :

L’aspect psychologique: lié au dérèglement sérotoninergique touchant 80% des femmes. Il affecte l’état de l’humeur et les compulsions alimentaires vers le sucre qui procure un apaisement sérotoninergique. Un peu comme la cigarette qui semble procurer un bien-être immédiat pour le fumeur avec les effets secondaires que l’on connait !

  • L’aspect biologique: c’est apporter à l’organisme les cofacteurs équilibrant du corps et aussi régulateurs psychologiques. Comme le magnésium (100% des français carencés), le zinc (80% des français carencés), la vitamine B6 (80% des français carencés).
  • Le manque de magnésium est une cause majeure de fatigue et de stress, or quand on est stressé on mange plus. Quand on mange plus, on grossit, puis on stress d’avoir grossi, alors on compense le stress par le sucre… Nous tombons alors dans un cercle vicieux, qui peut emmener certains vers des surpoids très importants et du yoyo a vie avec les risques cités plus haut.

    Et si l’on manque de magnésium, les étapes de transformation permettant à une calorie consommée d’accéder à une cellule est imparfaitement réalisée, ce qui favorise le stockage dans le tissu adipeux !

  • L’aspect activité physique: seule manière d’éliminer les réserves stockées dans l’organisme est de créer du muscle consommateur d’énergie. Mais aussi de pratiquer des exercices cardio-vasculaires permettant d’utiliser les graisses comme énergie à l’effort et de les brûler. Ce pourquoi vous devez être régulier, c’est à dire pratiquer au moins 3 activités par semaine durant 1 heure et voir plus pour stimuler votre organisme. Tout ceci en respectant les placements et les contraintes de niveau physique de chacun pour ne pas se blesser.
    L’exercice physique a le grand avantage d’augmenter le nombre de mitochondries (usine énergétique de la cellule) dans vos cellules et c’est grâce à elles que vous augmentez votre métabolisme. Elles permettent d’augmenter la consommation de calories même au repos. Ce pourquoi les sédentaires ont tendance à prendre facilement des kilos superflus !
  • L’aspect équilibre alimentaire: c’est avoir une assiette avec l’ensemble des catégories alimentaires présentes et ne pas écarter un groupe d’aliment. En effet, les régimes hyper protéinés se soldent par 80% d’échec à deux ans et à un effet anti-sérotoninergique favorisant le stress. Les régimes restrictifs font craquer rapidement et favorisent une reprise de poids rapide.

Bien manger, c’est donc choisir la qualité des graisses consommées. Des graisses saturées diminuent le rendement d’absorption dans la cellule et favorisent le stockage. A l’inverse, les graisses insaturées et mono insaturées favorisent l’absorption et diminuent d’autant le stockage. Elles ont aussi pour avantage d’améliorer la fluidité membranaire et ainsi la diminution des risques cardio-vasculaires.

En 1890, l’homme absorbait 4 000 calories et les femmes 3 500. En 2010, l’homme absorbe 2 200 calories et les femmes 1 700 ! Pour apporter les 420 mg de magnésium des apports journaliers recommandés, les scientifiques ont spécifié que nous avions besoin de 2 850 calories jour, ce qui nous ferait grossir si on les prenait. Ce déficit est amplifié par le stress ambiant qui a chacune de ses apparitions, fait « fuiter » du magnésium de nos cellules et le fait partir par les voies naturelles, d’où une diminution supplémentaire. Et l’on sait comment le stress est présent dans une ville comme Paris !

Voilà pourquoi la complémentation est devenue une évidence et permet de réguler le stress, les processus d’absorption et favorise donc la stabilité du poids. Malgré cela, certaines personnes peu informées, peuvent décrier la complémentation, mais elles ont tort.

Reste à absorber un magnésium de qualité, qui ne soit pas laxatif, d’où le magnésium glycérophosphate proposé à Global Training Center.

Ma prochaine newsletter sera consacrée à la « mal bouffe » avec un petit tour dans notre chariot de course.

Start-up : pensez à votre marketing financier !

En tant qu’entrepreneur, vous consacrez beaucoup de temps et d’énergie à l’élaboration d’une stratégie marketing concernant votre produit ou votre service. Avez-vous également pensé à définir une stratégie marketing pour votre entreprise, notamment sur l’aspect financier, et ainsi améliorer votre visibilité ? Et si le marketing financier n’était pas réservé aux grands groupes du CAC 40 ou encore aux banques ?

Qu’est-ce que le marketing financier ? 

Le marketing financier regroupe l’ensemble des techniques de marketing ayant pour but le placement et la commercialisation de produits ou de services financiers. Un des aspects du marketing financier est de cibler la communauté financière. Ce dernier aspect est encore trop souvent négligé par les entrepreneurs, et ce alors qu’au quotidien ils sont en relation avec de multiples acteurs financiers : banquiers, investisseurs, business angels ou encore actionnaires.

Les objectifs visés

En fonction de vos interlocuteurs, l’objectif recherché sera de démontrer la capacité de votre entreprise à :

  • Dégager des profits positifs à moyen ou long terme
  • Rassurer sur la viabilité et pérennité de votre entreprise dans le temps
  • Rassurer sur votre transparence affichée

Comment définir sa stratégie ? 

Dans un premier temps, il s’agit de définir qui sont vos interlocuteurs financiers. Les premiers sont votre banquier, le fond d’investissement qui vous soutient, et vos actionnaires. Il est également important de penser à la stratégie financière que vous souhaitez adopter vis-à-vis des partenaires de la société, c’est-à-dire de vos clients, fournisseurs ou encore salariés. Une fois identifiés, il est essentiel de sélectionner quelles informations vous souhaitez communiquer à ces interlocuteurs. L’objectif est que chaque interlocuteur se sente privilégié en tant que réel partenaire de la société, et soit rassuré par la transparence que vous affichez.
Dans un deuxième temps, vous allez définir les éléments de ce marketing : l’instauration d’un reporting régulier, la publication d’une newsletter de l’actionnaire récapitulant quelques indicateurs clefs (toujours les mêmes, dans le but de pouvoir comparer)…autant de pistes à creuser qui peuvent être une première étape dans le déploiement de votre marketing financier. 

Ces outils marketing vous seront utiles dans la mesure où ils permettront à vos différents interlocuteurs de comprendre la situation au moment ou vous aurez besoin de leur aide pour couvrir un découvert, pour un premier ou un deuxième tour de table etc. 

Ces outils seront également pertinents en pré phase ou phase de levée de fonds, d’ouverture à de nouveaux actionnaires ou de vente de votre société. Les nouveaux entrants apprécieront d’être tenus au courant des avancées significatives de la société, soit avant soit pendant la période d’instruction. Ils seront rassurés sur l’évolution des métriques et sur la transparence affichée de l’entreprise. Enfin pensez à mettre en place votre stratégie de marketing financier tant que les indicateurs sont au beau fixe !

L’innovation par les startups : avec quelle efficacité ?

Nous entrons dans la « postmondialisation » : progressivement, seuls les matières premières et les produits et services d’exception s’échangent entre les grands blocs économiques. Dans ce contexte, l’innovation par les startups devient un des principaux vecteurs de compétitivité, non plus pour les entreprises, mais les nations elles-mêmes.

Les business angels, le crowdfunding et les usines à startup

Notre compétitivité passe désormais par la maîtrise des nouveaux processus d’innovation dans le tissu économique, désormais mondialisé.

Or, depuis 10 ans, ces processus ont beaucoup évolué.

Le financement des startups innovantes est une des composantes de ce processus, soudain perturbé par l’arrivée du « financement participatif », appelé aussi crowdfunding. Ce mode de financement a pour but de ré-aiguiller l’épargne publique vers l’économie réelle. Soutenue pas Obama, elle est appelée à être mondialisée. Son irruption dans nos pratiques de l’innovation nous place face à nos responsabilités quant à notre manière de faire éclore, de retenir et d’attirer des startups innovantes.

L’épargne publique, désormais ouverte aux projets du monde entier, ne s’intéressera qu’aux startups localisées sur des terres d’accueil favorables à l’innovation.

Les plateformes de « financement participatif » internationales sont déjà à nos portes. Elles gagnent leur vie en prélevant 10 % des sommes collectées. Actuellement, nos (rares) business angels prélèvent tout au plus 2,5 % pour assurer le fonctionnement de leur club. Or, à y regarder de près, nous constatons qu’ils apportent bien plus que du financement. Issu du monde de l’entreprise, ils mettent à disposition leur savoir-faire, leurs réseaux de relations et une précieuse capacité à relier le futur au passé. Autant de richesses immatérielles qui ne s’apprennent pas dans les livres et qui ne s’obtiennent pas par injonction. En revanche, leurs moyens sont inexistants, leurs outils et leurs méthodes sont peu professionnalisés et le peu de récompenses qui leur sont octroyées rendent leurs contributions incertaines.

Les nations qui s’appuient sur leurs anciens entrepreneurs pour accompagner les nouvelles générations obtiennent de meilleurs résultats que nous, en France. Bien évidemment, croire que sans moyens ni reconnaissance, nos business angels vont jouer un rôle stratégique dans le « redressement productif » est une illusion.

Pour le moment, en France, les plateformes de financement participatif ont des marges de manœuvre limitées en raison des règles liées à l’appel à l’épargne publique. Ceci n’empêche pas les pionniers de se mettre en place avec détermination et professionnalisme.

Par ailleurs, nos « grands angels » se professionnalisent également. 

Ainsi, les business angels traditionnels se trouvent pris en tenaille entre les grands angels et les crowdfunders qui se donnent les moyens de capter les meilleurs dossiers : les uns avec de gros tickets sur peu de projets, les autres avec des petits tickets sur un grand nombre de projets. 

Ces trois acteurs doivent être placés en synergie et non en concurrence. Mais au-delà du débat sur la manière de favoriser cette synergie, il est important de revenir sur le manque de fiabilité de notre processus de création d’entreprises innovantes.

La publication « des business angels au Crowdfunding » décortique méthodiquement la situation actuelle puis propose des solutions.

Il ressort de cette publication qu’il est nécessaire de regarder en face les causes de notre inefficacité. Les efforts consentis à l’innovation ne sont pas à la hauteur des résultats : la France perd en compétitivité et le renouvellement des PME et des ETI n’est pas assuré.
Comme toujours, le diable se cache dans les détails, ce qui donne à penser que notre modernisation va être un vaste chantier. Néanmoins, notre retard nous donne l’opportunité d’intégrer directement les spécificités du 21ème siècle. 

En effet, une approche complètement nouvelle se présente à nous : celle qui consiste à considérer la prise de risque liée à l’innovation, non pas projet par projet, mais thème par thème. Dans cette approche, les trois familles d’investisseurs privés peuvent occuper une place complémentaire (family office, business angels et crowdfunders).
Les business angels, en particulier, s’avèrent stratégiques pour leur connaissance de l’entrepreneuriat. Selon les résultats obtenus dans d’autres pays, leur expertise est précieuse, à condition que leur travail soit reconnu et récompensé.

Nous savons que la structure du tissu d’entreprises du 21ème siècle sera très différente de celle du 20ème siècle. En nous fixant comme objectif de fiabiliser l’entrepreneuriat innovant, nous finirons, assurément, par mettre en place les entreprises qui vont être capables de prendre place directement dans l’économie circulaire (cradle to cradle) et l’économie des fonctionnalités (biens partagés). Nous serons également capables de monter des entreprises de toutes sortes quant à l’amplitude de leur capitalisation : des entreprises de service comme des entreprises industrielles.