La pression fiscale n'a jamais été aussi forte en France sur les entreprises... Si bien que de nombreux entrepreneurs se demandent comment changer sa boite de pays et faire jouer la concurrence fiscale.
Après une semaine de rébellion des entrepreneurs Français contre les mesures envisagées par le gouvernement je me décide à écrire sur le sujet. Sujet qui me tient tant à cœur, sur lequel je suis sensible, mais à propos duquel recul et réflexion s'imposait afin d'éviter de dangereux raccourcis.
Selon le sondage Ethic « J’aime ma boite » réalisé par OpinionWay, 67% des salariés déclarent aimer leur boite. Ce chiffre est en augmentation de +3% par rapport à 2011. Il reste toutefois inférieur au niveau d’avant crise qui s’élevait à 79% (en 2008).
Les entrepreneurs, notamment les créateurs et les dirigeants de petites entreprises, n’identifient pas forcément les logiciels de gestion comme un investissement nécessaire. Ils sont pourtant un gage de pérennité supplémentaire pour l’entreprise, à condition que leurs utilisateurs adoptent, dès le début, les bons réflexes de gestion.
Nous attendions tous avec impatience, le remplacent du dispositif Scellier ; enfin celui-ci est arrivé. Baptisé « Dispositif Duflot » nom attribué par sa créatrice Cécile Duflot ministre du logement, devrait être mis en place des 2013.
La série Mad men illustre 10 ans de communication entre les années 60 et les années 70. La série débute par une réflexion autour des slogans qui figureront sur des affiches puis continue par la réalisation de séquences de publicité pour la télévision.
On parle souvent d’objectifs mais très peu souvent des suites qui en résultent. A travers deux anecdotes, qui m’ont particulièrement interpellé cette semaine nous allons illustrer l’utilité de bien anticiper ceci.
La marque See Concept, fondée par trois jeunes entrepreneurs, connait une très forte croissance et se déploie au niveau international. Leurs lunettes pour presbytie en libre service se vendent comme des petits pains.
Le dirigeant d’entreprise, et plus particulièrement de PME, à la recherche d’argent frais pour se développer pense le plus souvent à la dette bancaire puis, ce moyen saturé, envisage parfois d’ouvrir son capital de manière minoritaire ou majoritaire. Il existe cependant un moyen encore méconnu et néanmoins extrêmement pratique, à mi-chemin entre la dette bancaire et le capital : la mezzanine.