Vous êtes une jeune entreprise, et vous souhaitez communiquer auprès des médias sans passer par les services d’un attaché de presse sans être obligé d’investir des sommes qui mettraient en difficultés votre trésorerie. Cette solution est tout à fait envisageable, mais gare aux nombreux pièges qui vous attendent. Dans cette tribune, nous allons vous présenter les erreurs les plus fréquentes dans les relations presse.
« Au secours, j’ai la meilleure offre du marché, mais j’ai du mal à convaincre ». Une phrase anodine qui pourtant reflète une réalité fréquente pour les entreprises. Mon client me raconte ainsi : « Ca avait pourtant commencé comme dans un film : au moment où j’appelle mon prospect, il me demande de lui envoyer une offre pour 10 portables équipés pour ses techniciens, avec tout le service qui va bien…. J’ai pressuré mes fournisseurs, sélectionné les solutions les moins onéreuses, et mis mon meilleur ingénieur sur le coup. L’offre est partie par mail, 72h après la demande. Quand j’ai rappelé, mon prospect m’a confirmé que nous sommes les mieux placés, largement ! »
Les différents outils pour tirer le meilleur parti de son référencement se multiplient constamment et les réseaux sociaux apparaissent de plus en plus comme une solution simple et peu coûteuse pour maximiser son référencement sur internet.
L'e-mailing et la newsletter s’avèrent d’excellents outils de communication... à condition de savoir les rédiger avec talent et connaissance de l’écriture web et de les utiliser à bon escient.
On a beau se décarcasser, user de charmes et de sortilèges innombrables, abuser d’arguments, même vrais et vérifiables, offrir des garanties et des références incontournables, jouer de persuasion, de promotion ou de séduction, flatter de façon éhontée, voire se rendre rare pour augmenter le désir… on n’arrive pas toujours à convaincre son prospect !
Si vous n'avez jamais entendu parler de référencement il n'est jamais trop tard, mais il serait grand temps de s'y mettre. C'est non seulement la meilleure méthode pour générer de l'audience sur votre site sur le long terme, mais également un gage de qualité d'être classé parmi les meilleurs résultats sur un moteur de recherche.
En France, la responsabilité sociale des entreprises a été longtemps un mensonge. Que ce soit un mensonge adressé aux clients, pour inspirer leur sympathie – ou un mensonge adressé aux employés, pour susciter leur engagement. Sur ce sujet, comme sur bien d’autres, on ment car on n’ose dire la vérité : beaucoup trop d’entreprises ne s’intéressent à leur responsabilité sociale que quand leur irresponsabilité est devenue trop visible.
Une différence bien visible dans les livres
Cette absence d’intérêt est d’autant plus surprenante que la majorité des livres sur l’entrepreneuriat consacrent quelques pages à ce sujet. Ainsi, la majorité des livres écrits par des Américains sur la création d’entreprise comprend une partie « morale », à l’inverse des ouvrages écrits par des Français, qui sont souvent plus terre à terre. Un paradoxe apparent, dans la mesure où nous nous représentons souvent les entrepreneurs américains comme à la fois plus pragmatiques et plus mercantiles que nous.
Bien pire, un lecteur français pourrait être irrité de lire, dans un ouvrage sur l’entrepreneuriat, un sermon sur la responsabilité sociale de l’entrepreneur. Pourtant, les ouvrages de Guy Kawazaki, par exemple, sont régulièrement agrémentés de réflexions sur la nécessité d’être un « Mensch », de ne s’engager dans des aventures que si elles sont destinées à apporter quelque chose de nécessaire à l’humanité. Même les auteurs les moins suspects de philanthropie, comme Timothy Ferriss, l’auteur de « The 4-Hour WorkWeek », conclut son ouvrage par une exhortation à pratiquer le bénévolat social, caritatif et humanitaire.
Américains contre Français
Cette morale de l’entrepreneur peut avoir deux raisons : l’utilité ou les principes. Et elle peut avoir trois formes : simple affichage, mode opératoire au quotidien, ou fin dernière de l’entreprise. Ce qui nous donne six combinaisons. Les deux combinaisons qui semblent intéresser les auteurs américains sont : la moralité comme fin dernière pour l’entreprise, par utilité – et la moralité comme fin dernière de l’entreprise, par principe. Détaillons ces deux positions.
Guy Kawasaki, notamment, défend alternativement les deux positions. D’un côté, il soutient que l’entrepreneur ne doit s’engager qu’au nom de grands principes : redresser un tort, apporter un bénéfice réel à l’humanité ou sauvegarder quelque chose de précieux. Et il justifie cela en suggérant que la création d’entreprise est une chose si ardue que l’appât du gain ne peut être son seul moteur car, très rapidement, la lenteur et les ratés du projet ne manqueraient pas d’imposer à l’entrepreneur de lâcher l’affaire. En gros, pour tenir, il faut se raccrocher à un idéal. C’est une justification par l’utilité directe.
Kawasaki exhorte aussi l’entrepreneur à être un « Mensch », c’est-à-dire un être de principe, notamment en contribuant à rendre à la communauté ce qu’elle apporte, de manière diffuse, à l’entrepreneur. Il faut intervenir dans des écoles, donner de son temps gracieusement à l’écosystème. Là encore, c’est une justification par l’utilité. Mais cette utilité est plus indirecte : l’entrepreneur, en étant un membre bénéfique de la communauté, doit donner – il ne sait pas ce qu’il reçoit, mais il sait qu’il reçoit quelque chose en retour.
Contre la culture des résultats, la culture des principes
Enfin, il existe une troisième forme de justification de cette responsabilité, qui relève d’une forme très indirecte d’utilité : dans la journée de l’entrepreneur, beaucoup de choses peuvent échapper à son contrôle. Or, si les résultats de nos actions nous échappent souvent, car ils sont des coproductions de nos choix et de l’environnement dans lequel ils prennent place, nos principes nous échappent peu : ils sont leurs propres fins, ils ne dépendent pas de leurs résultats. En ce sens, agir en fonction de principes, c’est l’assurance d’avoir, chaque jour, au moins quelques actes qui n’échappent pas à notre contrôle.
En un sens, agir par principe revient toujours à agir par utilité – car les principes nous sont utiles pour renforcer notre confiance en nous-mêmes, et garder à l’esprit l’immense privilège de l’entrepreneur, de pouvoir imposer ses règles et ses principes au monde. Ou de mourir en essayant de le faire.
Cette question de la responsabilité sociale de l’entreprise doit s’imposer au créateur d’entreprise : les startups sont certes des structures temporaires. Mais, bien souvent, les premières décisions prises à la création de l’entreprise vont dessiner la culture qui l’animera longtemps - y compris quand elle quittera cette première phase exploratoire pour industrialiser ses manières de procéder.
En France, la responsabilité sociale des entreprises a été longtemps un mensonge. Que ce soit un mensonge adressé aux clients, pour inspirer leur sympathie – ou un mensonge adressé aux employés, pour susciter leur engagement. Sur ce sujet, comme sur bien d’autres, on ment car on n’ose dire la vérité : beaucoup trop d’entreprises ne s’intéressent à leur responsabilité sociale que quand leur irresponsabilité est devenue trop visible.
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