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Un cabinet « droit vers l’avenir »

Jean-Philippe Touati et Henri de la Motte Rouge revêtent tous deux la robe d’avocat. Réputés pour leur expertise juridique et leur influence dans le secteur de la LegalTech (« technologie juridique ou technologie au service du droit », en français, ndlr), ils s’associent le 1er janvier 2018 pour fonder leur propre cabinet, Touati – La Motte Rouge Avocats. Leur site propose des e-services innovants qui tombent à pic, au lendemain du Règlement européen sur la protection des données.

TLMR Avocats (pour « TOUATI – LA MOTTE ROUGE Avocats », ndlr), c’est l’alliance de deux compétences. Celle de Jean-Philippe Touati, avocat au Barreau de Paris depuis 23 ans, et celle d’Henri de la Motte Rouge, expert en droit des nouvelles technologies. Déjà inscrit au classement Leaders League des meilleurs cabinets d’avocats français, leur cabinet développe des e-services comme le générateur de politique de confidentialité conforme RGPD (Règlement Général pour la Protection des Données, ndlr) en accès libre. Son objectif ? Diffuser son savoir-faire et rationnaliser le travail pour se concentrer sur la partie à haute valeur ajoutée.

« Droit vers l’avenir »

« Les avocats sont les plus légitimes à proposer des services LegalTech puisqu’ils peuvent associer solutions technologiques et conseil juridique », lance Henri de la Motte Rouge, ancien Responsable du Programme l’Avocat Connecté à l’École de Formation des Barreaux. Protéger ses créations, signer des contrats à distance en ligne via la blockchain, ouvrir un accès au cabinet en mode SaaS privé (modèle de distribution de logiciel à travers le Cloud, ndlr), disposer d’un générateur de politique de confidentialité… Autant de solutions offertes par le cabinet. « Nous proposons une panoplie de e-services disruptifs permettant d’améliorer la relation client et d’ouvrir de nouveaux marchés », résume l’un des cofondateurs. Leur devise : « Droit vers l’avenir ».

S’appuyant sur leur start-up Deep Block™, un opérateur de blockchain légale pour fournir un service inédit de protection des créations ainsi qu’un outil opérationnel de contract management, les deux associés revêtent, en plus de la robe d’avocat, celle de l’innovation. « Toute personne qui a une idée et qui met en place un projet peut sécuriser ses droits d’auteur dans la blockchain. Ne conservant que l’empreinte, la confidentialité des projets est préservée à des tarifs super compétitifs par rapport au constat d’huissier ou à l’enveloppe solo », souligne Jean-Philippe Touati.

Être en conformité avec le RGPD

Dans un contexte d’explosion de la cybercriminalité, le Règlement européen entré en application le 25 mai dernier impose aux entreprises toujours plus de prudence dans la sécurité et la gestion de leurs données. Pour répondre à cette problématique, les deux associés en accompagnent un grand nombre dans leur conformité RGPD. Ils ont mis au point un pack comprenant les documents et la méthodologie nécessaires à la mise en conformité. « La donnée, c’est l’or noir du 21ème siècle. Dans ce contexte le RGPD assure une régulation légitime et génère des nouvelles obligations qu’il faut évidemment prendre en compte, prévient Henri de la Motte Rouge, avant de poursuivre : Le RGPD implique de nouveaux risques juridiques pour les entreprises comme des contentieux contractuels, des actions de groupe, des recours de consommateurs, salariés ou utilisateurs devant la CNIL ou les tribunaux judiciaires… »

Identifier, par qui et comment les données sont traitées. Puis, mettre en place un plan d’actions opérationnelles variable selon la taille de l’entreprise et son secteur. Telle est la ligne de conduite du cabinet d’avocats. « Si vous êtes présent sur internet, il faudra d’abord mettre à jour votre politique de confidentialité ainsi que les formulaires de collecte en ligne et gérer la conformité de vos bases clients et prospects. Il faudra ensuite établir le registre de traitement, documenter les mesures de sécurité, informatique et logistique, que vous avez mises en place dans l’organisation », explique Henri de la Motte Rouge.

D’autant plus que disposer de données mal sécurisées ou les collecter de façon illégale est passible de sanctions. En plus, s’ajoute un risque de responsabilité sur le plan contractuel et délictuel. « Imaginons que vous ayez 50 000 adresses e-mail collectées dans l’illégalité et que vous vous fassiez hacker votre fichier insuffisamment protégé, lance le cofondateur du cabinet, avant d’enchaîner : Imaginons ensuite que les pirates envoient un randsomeware [logiciel de rançon ou d’extorsion, ndlr] ou qu’ils hackent les personnes. Le préjudice subi peut vite s’élever à des sommes importantes et votre responsabilité, être engagée en tant que responsable du traitement ayant causé un dommage du fait d’un fichier insuffisamment protégé. » Pour l’éviter, prévoyance et anticipation sont de rigueur.

Blockchain, Bitcoin et Ethereum

Blockchain est la principale plateforme technologique de programmes qui stocke des données financières et transmet des informations, sans aucune autorité financière derrière. Le but de cette initiative digitale est de construire un système où les transactions financières sont plus justes et délivrées d’intermédiaires coûteux. En investissant dans une crypto-monnaie,

Qu’est-ce que la technologie Blockchain (ou chaîne de blocs) ?

Blockchain est la principale plateforme technologique de programmes qui stocke des données financières et transmet des informations, sans aucune autorité financière derrière. Le but de cette initiative digitale est de construire un système où les transactions financières sont plus justes et délivrées d’intermédiaires coûteux. En investissant dans une crypto-monnaie, vous ne confiez donc votre argent à aucune banque. Aucune organisation ne vous demande de payer des frais en échange de prestations ou bien encore pour chaque transaction effectuée en ligne. Les transactions effectuées dans la Blockchain sont regroupées dans des blocs et vérifiées au fur et à mesure par de multiples personnes. Quand le bloc de transactions est vérifié et validé, il est ajouté à la chaîne de blocs. Une fois qu’un bloc est ajouté à la chaîne, cela veut dire qu’il est valide et par conséquent la chaîne est construite de manière à garantir la sécurité et la validité de chaque transaction. L’accès est public et les informations envoyées par les utilisateurs sont vérifiées de manière très régulière. Le tout est crypté et sécurisé.

Les crypto-monnaies

La crypto-monnaie la plus courante de cette technologie est le Bitcoin mais il existe notamment plusieurs autres systèmes de monnaie virtuelle dont Ethereum. Qu’est-ce que Ethereum ? Lancé en 2015, Ethereum est un protocole d’échange décentralisé permettant aux utilisateurs la mise en place de contrats intelligents. Comme ces contrats sont basés sur des programmes informatiques préexistants, vous pouvez acheter Ethereum au moment où les conditions vous semblent les plus propices. Vous pouvez les consulter de manière publique dans la Blockchain. Ethereum utilise la crypto-monnaie Ether pour le règlement de ses contrats intelligents. Ether est la deuxième crypto-monnaie derrière Bitcoin et Ethereum rassemble une capitalisation de plus de 100 milliards de dollars américains.

Les applications d’Ethereum et des contrats intelligents

En plus d’avoir une fonction monétaire, Ethereum est une technologie aux applications multiples :

  • Des applications développées depuis les contrats intelligents favorisent l’échange de biens et de services.
  • La prouesse technologique permet de réduire les coûts de transaction. En 2015, Vingt-cinq banques internationales ont signé un partenariat avec une société américaine pour pouvoir utiliser des chaînes de blocs dans les marchés financiers.
  • Certaines banques souhaitent développer leur propre crypto-monnaie inspirée par Ethereum, ou encore investissent dans la recherche sur la technologie Blockchain et ses applications directs possibles dans la finance. Ces banques souhaiteraient à terme avoir une technologie commune qui fonctionnerait comme une référence dans l’enceinte bancaire.  La banque ou le congregat de banques qui parviendra la première à développer la technologie Blockchain appliqué au domaine bancaire pourra ainsi facturer ses services à toutes les autres banques.

Le développement d’un cadre juridique

De plus en plus de gouvernements lancent des cellules de recherches sur les crypto-monnaies et la technologie Blockchain. Le Parlement européen, entre autres, a lancé en 2016 un groupe de travail en charge de surveiller la Blockchain et les crypto-monnaies. Ce groupe est notamment en charge de développer des mesures législatives adaptées à ces technologies, car si ce système se veut plus juste et plus sécurisé, il ne semble pas pour le moment avoir développé une structure juridique permettant d’encadrer de manière légale l’ensemble des transactions.

Comment voyager avec sa moto sur une remorque ?

Les vacances approchent et les week-ends d’été propices à la détente aussi. Vous êtes un fan de moto et vous imaginez déjà les moments idylliques à vous déplacer en moto dans un cadre estival mais comment faire avec votre famille ? Une solution qui vous permettrait d’allier tous les plaisirs reste de transporter votre moto sur une remorque tractée.

Si vous avez une voiture et que vous souhaitez transporter votre moto vous-même, il faut la mettre sur une remorque tractée. La Remorque pour moto est la solution la moins chère pour transporter votre moto en toute sécurité.

Mais quel permis est nécessaire ?

Selon l’article R221-4 du Code de la route, il n’est pas nécessaire d’avoir un permis spécifique pour tracter une remorque porte moto à l’aide d’une voiture, vous pouvez le faire avec un permis B. Cependant, deux règles sont  exigées au transport d’une remorque et doivent être respectées :

  • Le poids total autorisé en charge (PTAC) remorque + moto ne doit pas dépasser 750 kg.
  • si le PTAC est supérieur à 750 kg, le poids de la remorque ne doit pas être supérieur au poids à vide de la voiture, et le PTAC de l’ensemble (voiture + éléments remorques) ne doit pas dépasser 4.25 tonnes.

Le PTAC est le poids limite que peut atteindre un véhicule ou une remorque avec son chargement.

Si ces PTAC sont excédés, il faut l’obtention d’un permis BE. Le permis BE permet de conduire une voiture attelée d’une remorque dont le poids dépasse 750 kg.

Attention ! Quelques points de vigilance permettent de voyager en toute sécurité !

Commencez par bien attacher votre moto sur la remorque et vérifiez si possible les mouvements possibles avec la voiture en tournant de chaque côté ainsi qu’en effectuant  une marche arrière. Pour une plus grande sécurité, l’utilisation de certains accessoires est recommandée et vous permettra d’avoir des déplacements plus aisés : des sangles à cliquets à mettre sur le cadre de la moto pour la maintenir, un support de roue ou bloque-roue qu’il est mieux de fixer à la structure de la remorque et enfin des élingues de guidon afin que le guidon reste parfaitement immobile. D’une manière générale la moto ne doit faire qu’une avec la remorque.

Par exemple, chez Littleway trois modèles de remorque pour moto permettent de vous déplacer avec le plus grand confort :

  • Le modèle Classic pour motos jusqu’à 350 kg. La remorque se plie avec 73 centimètres de fond. La rampe est basculante et possède des rampes spéciales télescopiques pour appuyer les pieds au moment de monter la moto, ce qui augmente la sécurité. Sa Largeur utile est de 1230 mm et sa Longueur utile de 3000 mm.
  • Le modèle Plus pour motos jusqu’à 500 kg, Même fonctionnalité que la précédente remorque mais sa Largeur utile est de 1500 mm et sa Longueur utile de 3000 mm
  • Le modèle Arrow (Flèche) pour modele est plus léger, pour motos jusqu’à 250 kg. La rampe est basculante, la montée de la moto est manuelle. On peut aussi utiliser le cabestan et le chariot récepteur mobile pour réaliser moins d´effort. Sa Largeur utile est de 1210 mm et sa Longueur utile de 2900 mm.

Il existe également une remorque sûre pour les motos qui jouit d’une grande stabilité pour charger et décharger la moto.

Il est indispensable de privilégier la sécurité quand on voyage avec une remorque lourde. Ainsi le choix d’une remorque de qualité vous évitera beaucoup de problèmes. N’oubliez pas d’être à deux pour charger la moto, ce sera beaucoup plus facile. Et une fois sur la route, arrêtez-vous régulièrement afin de vérifier que tout est en place. Bon voyage !

Ces start-up qui surfent sur le marché de l’amour

L’amour, un vrai business pour les entreprises… Ce secteur représente un marché économique florissant. Rien que pour le domaine de la rencontre en ligne, 122,7 millions d’euros ont été engrangés en 2017, avec une croissance d’environ 2,3 %. Grâce à l’arrivée des nouvelles technologies et des Smartphones, la fréquentation des sites et applications de rencontre constitue une pratique de plus en plus courante. Des start-up en profitent alors pour surfer sur le marché de l’amour. Les détails.

26 % des Français déclarent s’être déjà inscrits au moins une fois sur un site ou une application de rencontre, selon une étude de l’Ifop pour Lacse, réalisée début 2018. Une proportion qui a plus que doublé depuis 2006, où les Français n’étaient que 11 %. Et c’est du côté des jeunes que le pourcentage s’avère le plus élevé. 36 % des hommes âgés de 18 à 24 ans et 37 % des femmes de la même tranche d’âge sont concernés en France. Il y aurait d’ailleurs plus de cent millions de célibataires dans le monde. Sites de rencontre spécialisés, applications qui permettent de trouver l’âme sœur grâce à l’ADN ou la musique, autant de champs d’action pour les start-up.

Pheramor : trouver l’amour grâce à votre ADN

L’idée de Pheramor pourrait tout droit sortir d’un épisode de la série « Black Mirror ». Le programme télévisuel a déjà abordé le sujet des rencontres dans l’épisode « Hang the DJ » avec l’idée d’une application qui contrôle entièrement la vie sentimentale des protagonistes en établissant la date de fin de chacune des relations. Créée par Asma Mirza et lancée en février dernier, la start-up américaine avec son application Pheramor propose à ses utilisateurs de trouver leur âme sœur, grâce à des tests ADN. Pour 19,99 dollars, l’entreprise envoie un kit de prélèvement au client pour que celui-ci lui délivre un échantillon buccal. La société identifie ensuite onze gènes qui se lient aux phéromones, signaux chimiques relâchés par l’être humain, qui sont censées déclencher une attirance sexuelle. Selon les chercheurs de la firme, l’émission de ces substances est plus forte lorsque les empreintes génétiques des deux partenaires diffèrent de façon notable. Une fois cette étape terminée, le programme s’occupe de tout et propose des matchs qui correspondraient scientifiquement aux clients, tout en les associant à leurs traits de personnalité ainsi qu’à leurs goûts, recueillis sur les réseaux sociaux.

Catch My Song : faire de nouvelles rencontres grâce à la musique

Quand Tinder rencontre Deezer… Lancée en juin 2015, par deux étudiants, Romain Bruguière et Paul Charbit, ainsi qu’un développeur indépendant, Julien Rozé, Catch My Song permet aux membres inscrits de découvrir ce que les gens écoutent autour d’eux. Un moyen de découvrir de nouvelles musiques mais aussi d’y rencontrer des personnes avec les mêmes goûts musicaux. Plus  besoin de demander à votre interlocuteur ou interlocutrice quel son il ou elle écoute. Grâce à l’interface numérique, l’utilisateur a accès à la liste de lectures de tous les autres inscrits autour de lui, avec une indication de la distance qui les sépare ainsi que du morceau qu’ils écoutent en direct. Si l’un des membres est attiré par un profil en particulier, il peut le visiter et y trouver plusieurs informations comme l’âge, le sexe, le style musical et les dix derniers titres entendus. L’internaute peut alors lancer une discussion avec l’outil « demande de contact » pour parler chanson, mieux se connaître et peut être même, flirter.

Stitch, un Tinder pour les seniors

Fondée par Andrew Dowling et Marcie Rogo en 2015, l’application américaine Stitch propose un outil de rencontres pour les plus de cinquante ans. Disponible uniquement en anglais, il permet de leur trouver des partenaires pour voyager, assister à des évènements et des activités locales ou même trouver l’amour. L’objectif de l’entreprise est d’améliorer la vie des personnes âgées dans tous les pays du monde et fournir une réponse à leur solitude. En créant leur profil, les seniors peuvent échanger via une plateforme communautaire. Les « Stiters » peuvent ensuite se réunir en groupe pour voir un film, une exposition, faire de la randonnée ou simplement aller dîner. La société organise même des croisières au pays de l’Oncle Sam pour renforcer les liens entre membres de la communauté. Côté utilisateurs, l’entreprise en comptait plus de 25 000 venus d’Australie, du Japon et des États-Unis, en 2015.

PlayMe !, jouer pour faire connaissance

Permettre aux célibataires de se rencontrer tout en jouant. C’est un moyen ludique de se faire de nouveaux contacts que propose la start-up Pretty Fun Therapy de Xavier De Baillenx et Emmanuel Lemoine, avec l’application PlayMe, créée en 2014. Le concept : comme tout programme de dating, proposer une multitude de profils pour trouver le ou la partenaire idéal(e). Mais la nouveauté, c’est que, pour entrer en contact avec des membres qui les attirent, les utilisateurs doivent répondre à un quiz de culture générale, basé sur les loisirs de chacun. Le choix de l’adversaire peut se faire en fonction de critères prédéfinis comme l’âge ou le sexe. Trois manches de cinq questions chacune, sur le principe du vrai ou faux, sont là pour départager les joueurs. Si l’un des participants est fan de musique, une phrase du type « le prochain album de Pharell Williams sera un hommage à Harry Potter » peut lui être lancée. Quand le score minimum est atteint, les joueurs sont mis en contact grâce à une messagerie instantanée et ont le choix de faire, ou non, plus amples connaissances.

L’amour est devenu un marché florissant du fait de l’innovation technologique et de l’apparition des Smartphones. En particulier, pendant la Saint-Valentin. Les sites de rencontre augmentent alors fortement leur nombre de publicités notamment à la télévision et les inscriptions explosent. En février 2015, la part des abonnements représentait jusqu’à 30 % du chiffre d’affaires de l’année pour les sites Meetic, Adopteunmec.com ou encore Attractive World.

Faut-il encore investir dans les antivirus pour protéger ses données professionnelles ?

La protection des données professionnelles des entreprises est plus que jamais au cœur de leurs préoccupations. On estime que le volume de ces informations devrait encore croître de 25 % pour les sociétés dans les deux années à venir. Jusque-là plébiscitée, la solution des antivirus semble de plus en plus en retrait. Est-il encore pertinent pour les entrepreneurs d’utiliser des antivirus, ou d’autres solutions sont-elles viables ?

La fin des antivirus ?

Depuis quelques années, la question de l’efficacité des antivirus se pose de façon toujours plus insistante. Récemment, c’est l’ancien PDG de l’entreprise McAfee, John McAfee, qui a fait part d’un avis tranché en la matière. Il dit ne plus se servir d’antivirus lui-même, et estime que ces logiciels sont à présent totalement obsolètes, car basés sur une technologie ancienne qui n’est plus en phase avec les dernières évolutions. Il avance que les kits utilisés par les hackers sont dix fois plus perfectionnés que les antivirus proposés sur le marché. Ce temps de retard rend ainsi ces logiciels peu efficaces pour protéger les données des entreprises. L’année dernière, Brian Dye, le vice-président de la firme spécialisée Symantec, tenait un discours similaire lors d’une interview pour le Wall Street Journal. L’antivirus est donc considéré par les experts du secteur comme une solution en fin de vie, qui ne parviendrait à détecter et éliminer que 45 % des attaques dues à des logiciels malveillants.

Les logiciels antivirus en entreprise

Les différents programmes luttant contre les attaques sont aujourd’hui encore au centre du système de protection des données mis en place par les entreprises. Les versions professionnelles des logiciels anti-malwares jouissent d’une certaine réputation auprès des sociétés, certainement due au fait qu’ils sont commercialisés par des marques de confiance et simples d’utilisation. Une étude indépendante a démontré que certains logiciels antivirus tirent leur épingle du jeu dans un environnement professionnel. Les plus performants pour les PME sont à l’heure actuelle le service Endpoint Protection de Symantec, le Small Office Security de Kaspersky et l’anti-malware Worry-Free Business Security Services de Trend Micro. Cependant, aucun de ces logiciels n’a éliminé 100 % des menaces proposées. Les entreprises ont donc tout intérêt à diversifier leur offre de protection des données pour plus d’efficacité.

Le recours à un Data Protection Officer

Depuis le 25 mai 2018 le règlement général pour la protection des données personnelles (RGPD) est en vigueur. Conséquence : les ntreprises et les administrations qui utilisent des données à caractère personnel doivent recourir aux services d’un data protection officer (DPO). Il apparaît que les solutions informatiques prêtes à l’emploi ne suffisent plus pour protéger les données des entrepreneurs. Un nouveau métier connaît ainsi un important succès ces dernières années, celui de Data Protection Officer. Ce spécialiste informatique peut être employé par une entreprise pour assurer à temps plein la sécurité des données. Il s’assure que les données et les logiciels utilisés au quotidien sont protégés, mais également conformes aux règles métiers qui peuvent varier selon les secteurs. Il utilise pour cela des techniques de protection poussées faisant intervenir le chiffrement des données via des clés spécifiques et l’usage de valeurs de substitution. Les informations sensibles seront stockées dans un coffre-fort virtuel sous sa surveillance. .

Selon la CNIL, » l’article 37 du RGDP oblige les opérateurs (responsable de traitement et sous-traitant), dans certains cas, à désigner un DPO. Le G29 encourage, par ailleurs, toutes les entreprises à procéder à la désignation d’un DPO, étant précisé qu’en cas de désignation « volontaire » d’un DPO, l’entreprise devra respecter l’ensemble des dispositions du RGDP y afférentes. « 
Selon le RGPD (Réglement Général sur la Protection des Données), « il est obligatoire de désigner un DPO  : si  le traitement des données personnelles est effectué par une autorité publique ou un organisme public, si  les « activités de base » du responsable du traitement ou du sous-traitant consistent en des opérations de traitement qui exigent un « suivi régulier et systématique » à « grande échelle » des personnes concernées, si  les « activités de base » du responsable du traitement ou du sous-traitant consistent en un traitement à « grande échelle » des données « particulières », c’est-à-dire sensibles au sens de la réglementation en matière de données personnelles (telles que les données de santé ou relatives à des infractions ou condamnations). »

L’expertise humaine constitue une plus-value incontestable par rapport à un simple logiciel. En France, on estime que près de 15000 sociétés, allant des PME aux grands groupes, font déjà appel à un Data Protection Officer pour sécuriser leur système.

Référence: gtemps.com 

Le Streaming une tendance dominée par Netflix

Fléau d’internet, le streaming illégal devient la méthode la plus utilisée par les Français pour visionner des films ou des séries en ligne. Le téléchargement très plébiscité auparavant est d’autant moins utilisé à cause notamment de la loi Hadopi. Elle vise à sanctionner le piratage par des amendes conséquentes. Dans une visée plus légale, la fréquentation des plateformes de VOD augmente et Netflix devient un mastodonte à abattre pour de nombreuses entreprises. Retour sur ce secteur où la concurrence est plus que rude !

Netflix un mastodonte très difficile à concurrencer

En France ou à l’international, le nombre d’abonnés Netflix est vertigineux. Sur la planète bleue,  la plateforme a su convaincre 125 millions de personnes et 3,5 millions de Français. Le service de vidéo à la demande (SVoD) propose un catalogue très vaste essentiellement composé de programmes américains. La diversité de choix et les nouveautés attirent massivement les utilisateurs. Elle ne propose pas seulement des séries et des films déjà existants, mais la plateforme produit de nombreux contenus originaux. Les séries comme « 13 Reasons Why », « Narcos » ou encore « La casa de papel » sont devenus très populaires seulement quelques jours après leur sortie sur le service. Netflix sera à l’origine de 1 000 programmes originaux d’ici la fin de l’année après l’annonce de 470 nouveautés devant arriver sur le catalogue. Le directeur des contenus du mastodonte, Ted Sarandos a affirmé dernièrement que 8 milliards de dollars seront investis dans la production durant l’année 2018.

Non seulement son nombre d’abonnés donne le vertige, mais l’entreprise créée en 1997 reste le leader mondial du service de vidéo à la demande. Ses concurrents comme Amazon Prime et ses 100 millions d’abonnés dans le monde peinent encore à le devancer sur le secteur. Pour la première fois en 2017, Netflix a passé la barre des 10 milliards de chiffre d’affaires. L’entreprise n’a pas de soucis à se faire et les investisseurs non plus. Depuis son entrée en bourse, le cours de l’action (NFLX) ne cesse de grimper et sa capitalisation boursière a été multipliée par vingt depuis 2013. Pour rester toujours devant la concurrence, l’entreprise investit massivement dans les programmes originaux, l’obligeant à dépenser des sommes colossales. Son endettement s’élève désormais à 6,5 milliards de dollars, bien que ce chiffre semble pharamineux, Netflix continue à capter des amateurs de séries et de film du monde entier. Son règne est loin de s’achever.

Les chaînes françaises veulent s’imposer dans la course

En France avec 3,5 millions d’abonnés Netflix, les chaînes françaises cherchent à capter l’audience accaparée par le géant américain. Les trois entreprises majeures de l’audiovisuel français, TF1, M6 et France Télévision organisent la riposte contre Netflix. Le 15 juin, elles ont annoncé un projet commun d’une plateforme de SVoD. Intitulée Salto, elle sera accessible via Internet sur ordinateur, tablette et smartphone et certains téléviseurs. Elle proposera essentiellement des programmes télévisés et des replays. L’objectif de cette plateforme consiste à mettre en avant des productions françaises. L’abonnement se situera en dessous de 7 euros par mois, une volonté pour concurrencer Netflix sur ses prix.

Pour réussir à concurrencer le mastodonte américain et gérer leur plateforme les trois entreprises de l’audiovisuel vont créer une société à parts égales. Mais les abonnés du service américain trouveront-ils pertinents de se diriger également vers une plateforme au contenu essentiellement télévisuel ? Les cibles restent relativement distinctes puisque pour une majorité des utilisateurs de Netflix, ce service a remplacé la télévision. La concurrence devrait être rude et mouvementée.

Le streaming illégal encore en tête

Qu’il soit légal ou non le streaming devient une pratique populaire chez les jeunes générations. Parmi les internautes français, un quart de la population a déjà regardé des vidéos à travers des sites de streaming illégaux. Le prix de l’accès aux chaînes payantes ou même aux services de SVoD ne constitue pas un frein réel chez les consommateurs selon Médiamétrie. À travers ces solutions en ligne, ils privilégient essentiellement l’accès rapide fourni par ces sites, particulièrement pour les séries sorties à l’étranger et diffusées plus tardivement en France. Les plateformes comme Netflix ou encore prochainement Salto visent à réduire le visionnage illégal de contenus. Mais la problématique récurrente rencontrée par ces plateformes reste les droits de diffusion des contenus. Que ce soit Netflix France, Amazon Prime ou encore Salto, il s’avère difficile de proposer le maximum de contenus particulièrement pour les séries qui privilégient leur chaîne de production. Les internautes n’ayant pas toujours accès à leur contenu préféré envisagent le streaming au lieu de s’abonner à plusieurs plateformes à la fois.

Le secteur du service de vidéo à la demande connaît un véritable engouement. Sur le marché, ils sont très nombreux et se partagent tous les séries les plus en vue du moment. Parmi tous ces services Netflix reste un géant quasi indétrônable rendant la concurrence d’autant plus ardue. La seule ombre au tableau pour le géant reste les sites de streaming illégaux. Les chaînes, les États ainsi que les productions mènent le combat envers ces plateformes. Mais il s’avère presque impossible de faire fermer les sites de streaming un à un. Les consommateurs se dirigent de plus en plus vers des plateformes légales, mais le streaming illégal garde tout de même les devants.

La concurrence des plateformes de paris sportifs

Avec la coupe du monde de football, les amateurs de football se transforment en parieurs professionnels pour l’occasion. Lors de grandes compétitions internationales, les sites de paris en ligne et les entreprises spécialisées dans les jeux d’argent comme la Française des Jeux ou le PMU connaissent un engouement conséquent. Ce secteur, ouvert à la concurrence depuis 2010, possède différents acteurs, mais les schémas restent semblables. Ils tentent tous de se démarquer face à leur concurrent, mais comment ?

L’ouverture à la concurrence : l’essor du marché

Chaque année le marché des paris sportifs progresse de 30 %. Il a atteint 2,5 milliards d’euros en 2017. Mais avant cette popularité pour les acteurs de ce secteur, les paris sportifs étaient réservés aux deux géants, La Française des Jeux et le PMU, protégés par l’État. Le 12 mai 2010, la loi ouvre ce marché à la concurrence à la suite des pressions exercées par l’Union européenne prônant ce changement comme un droit. Pour beaucoup, le marché semble fructueux et 35 opérateurs obtiennent l’agrément de l’Autorité de régulation des jeux en ligne (Arjel). Les géants comme Unibet, Betclic ou même Bwin, à l’époque dans l’illégalité, jubilent avec le déploiement de cette loi. Les acteurs se multiplient et espèrent remporter gros avec les paris en ligne.

Les sites de paris sportifs peuvent rencontrer facilement des difficultés. En fonction des paris des joueurs et des côtes sur les compétitions, ils peuvent perdre des sommes colossales. La plupart du temps, elles sont analysées clairement et distinctement par des traders de paris sportifs. Mais des évènements exceptionnels durant un match ou une épreuve sportive peuvent donner raison aux cotes les plus élevées. Il s’agit là des problèmes rencontrés régulièrement par les sites de paris sportifs non-mutualisés (entre joueurs) pouvant entraîner des difficultés financières pour ces sites.

Un schéma semblable pour tous

Les acteurs majeurs de ce secteur restent relativement semblables. La plupart sous forme de sites proposent aux parieurs de miser en fonction de cotes établies au préalable. Avec le même service, elles se différencient peu sur l’offre. Pour éviter la triche de la part des parieurs, les sites s’harmonisent sur les côtes. Auparavant, ils pouvaient se rendre sur plusieurs sites aux cotes différentes, ce qui leur permettait de miser à plusieurs reprises pour remporter automatiquement des gains. Que ce soit sur Winamax, Betclic, Unibet ou encore Pokerstar, le service reste le même sur tous les sites de paris. Ils rencontrent alors des difficultés à se démarquer entre eux et envisagent donc des solutions pour tenter de contrer la concurrence.

Une des pratiques les plus courantes sur les sites de paris est le remboursement d’un pari perdu à la première inscription. Winamax propose de rembourser 200 € si le pari est perdu, mais à condition de miser au moins 15 € dès le début. Le site du PMU a décidé d’offrir la même somme, tout comme The Bet. En ce qui concerne Betclic et Unibet, ils remboursent respectivement 50 € et 100€. Cette pratique courante ne crée pas véritablement une plus-value pour les parieurs. Il s’agit seulement d’un argument pour les sites afin d’attirer d’autant plus de monde.

Des stratégies de communication pour se différencier

Pour se différencier chaque site à sa spécialité. Tous avec le même service, ils sont dans l’obligation d’investir dans des moyens de communication. Certains font le choix de miser sur des ambassadeurs en leur proposant une collaboration pour mettre le site de paris sportif en avant. Pour les événements comme la coupe du Monde, les sites choisissent généralement des joueurs de foot. Ils jouent de l’image de ces personnalités pour leur communication. Tout comme avec le sponsoring, les marques se rapprochent d’une communauté à travers des personnes célèbres. Bwin, par exemple, fait partie des sponsors de l’équipe du Real Madrid. Il possède la plus grande communauté de fans à travers le monde et les maillots des joueurs se vendent par millions. Avec son apparition sur tous les maillots, l’entreprise se permet un coup de communication conséquent et fédère une communauté autour de sa marque. Les aficionados du Real se dirigeront alors naturellement vers bwin pour effectuer leurs paris sportifs.

L’objectif pour cette stratégie de communication en ligne est de réussir à se démarquer par des éléments qui toucheront le consommateur. Winamax pour tenter d’attirer les parieurs a fait le choix de lancer une web tv avec des conseils et des émissions sur les meilleurs paris sportifs. Avec cette web tv, le site cherche à convaincre les parieurs indécis. La plateforme essaye de séduire différentes catégories de personnes avec cette web tv ainsi qu’avec la sponsorisation des joueurs d’e-sport. Les jeux vidéo fédèrent une grande communauté, un avantage considérable pour Winamax. Il s’agit d’augmenter sa visibilité et pousser les spectateurs à utiliser le site durant les compétitions sportives.

Avec la coupe du Monde, les paris sportifs deviennent un incontournable particulièrement pour les amateurs de football. Les sites de paris sont relativement nombreux sur le marché et tentent tous de se démarquer en matière de communication et de marketing. Le service proposé reste sensiblement le même d’une plateforme à une autre, c’est pourquoi, elles tentent de jouer sur des personnalités reconnues dans le monde entier ou sur des communautés massives pour communiquer.

Les 5 applications à avoir sur la route

Les Smartphones et leurs applications sont de plus en plus performants, alors pourquoi s’en priver sur la route ? On a répertorié pour vous cinq applications indispensables à avoir sur la route pour vous déplacer.

1. iCoyote : l’anti radar

Il va devenir votre meilleur ami sur les routes. Incontournable, l’iCoyote vous prévient des bouchons, travaux, accidents et des radars ! Détecteurs de radars et autres avertisseurs en tous genres sont interdits, il se révèle être un outil de navigation précis et fiable, Coyote alerte également des limitations de vitesse, zones de danger, ainsi que de tous les événements risquant de perturber votre trajet, en temps réel et partout en Europe. Son application est payante (il est possible de souscrire à l’application pour 5,99 € par mois, une formule unique et sans engagement).

2. SOS Autoroute d’APRR : borne d’urgence à portée de main

Grâce à cette appli vous pourrez signaler directement de votre téléphone toute situation d’urgence. Application gratuite sur App Store et Androïd. En cas de panne, d’accident ou de difficultés pendant votre trajet sur les autoroutes de France, plus besoin de vous rendre à pied jusqu’à une borne orange d’appel ! Finie la galère ! L’application gratuite SOS Autoroute vous permet d’être mis rapidement en relation avec le poste de sécurité le plus proche pour signaler une situation d’urgence.

3. Waze

C’est le réseau social gratuit pour les automobilistes ! Vous avez la possibilité de partager en instantanée des infos avec les autres utilisateurs : difficultés sur les routes, itinéraires, stations-services à moindre prix… Waze s’appuie également sur les données fournies par ses utilisateurs pour optimiser votre itinéraire en permanence Waze, c’est un GPS. Il vous signale le meilleur chemin possible, l’application mobile vous indique aussi les radars fixes et les zones à risques en instantané. Waze est une application mobile de navigation fonctionnant à la manière d’un véritable réseau social. Réunissant la plus grande communauté du monde, elle vous permet non seulement de trouver votre chemin où que vous soyez L’application Waze est entièrement gratuite et ne nécessite aucun abonnement. Il suffit de la télécharger pour pouvoir commencer à l’utiliser.

4. Tom Tom : Le GPS de référence

Il faut mettre le prix pour avoir un GPS Tom Tom dans son Smartphone ! Entre 34.99 et 89.99 euros. Mais c’est la garantie d’un GPS de qualité pour un voyage en toute sûreté. TomTom Traffic vous fournit en temps réel des infos trafic d’une précision exceptionnelle. Vous serez informé de l’emplacement et de la cause des ralentissements. Les informations qui s’affichent sur votre écran sont fidèles aux conditions de trafic qui vous attendent sur la route.

5. Essence : pour optimiser votre budget carburant

Pour consommer malin, l’application Essence permet, comme son nom l’indique, de comparer le prix des carburants dans les stations de votre entourage et vous permettra de rendre optimum vos déplacements en automobile. Elle s’appuie sur la fonction de localisation de votre smartphone et elle est mise à jour en permanence par les distributeurs mais également par les utilisateurs eux-mêmes. La version de base est entièrement gratuite. Les utilisateurs peuvent aussi opter pour une version sans publicité proposée en option et facturée 4,99 €. Pratique et facile d’utilisation, Essence peut se révéler très utile. Très pratique également, l’application ChargeMap est la version réservée aux véhicules électriques. Elle permet de trouver rapidement les bornes de recharge autour de soi.

Ces start-up françaises innovantes de l’AssurTech

À l’ère du numérique et de la dématérialisation des données, le secteur de l’assurance est encore marqué par des compagnies réfractaires à la digitalisation de leurs produits et services. Ce domaine doit s’adapter aux nouvelles habitudes de ses clients qui ont assimilé le numérique dans leur vie quotidienne et dans leurs modes de consommation. Pour le réinventer et le moderniser, des start-up de l’AssurTech font bouger les lignes en s’appuyant sur l’innovation technologique ainsi que sur des concepts novateurs. Zoom sur ces jeunes entreprises françaises innovantes.

Plus de deux milliards d’euros ont été investis dans les start-up de l’AssurTech à l’international en 2017, selon l’étude de Klein Blue Partners (un cabinet de conseil en innovation, ndlr). Du côté de l’Hexagone, ces entreprises ont levé 80,9 millions d’euros contre 26,1 millions en 2016 et on en comptait plus de soixante-six sur le territoire l’année dernière. Elles offrent une multitude de services et bousculent le monde de l’assurance avec des offres à la carte comme les « smart contracts » (des contrats numériques reposant sur la technologie blockchain, nldr). Comparateurs d’assurance, aides à la vente, services aux assurés, autant de champs d’application pour ces sociétés.

+Simple, courtier pour les indépendants et les TPE

Fondée en septembre 2015 par Éric Mignot, Anthony Jouanneau et Salah Hamida, +Simple se présente comme une plateforme de courtage en assurance. Dès son lancement, elle a levé près d’un million d’euros. Destinée aux petites entreprises jusqu’à cinq salariés et aux travailleurs indépendants, la start-up propose de les faire souscrire à plusieurs assurances comme la responsabilité civile professionnelle, l’assurance bureau, la protection juridique, l’e-réputation ou la complémentaire santé collective. Les dirigeants de +Simple ont conçu un algorithme qui analyse les besoins de leurs clients avant de rechercher les garanties les mieux adaptées. Par le biais d’un robot courtier, l’entrepreneur peut alors gagner du temps sur la souscription, sur la gestion et sur la compréhension des assurances. Quant aux prix, ils sont négociés au plus juste selon les options, de six à trente-cinq euros par mois. La firme revendique un million de consommateurs potentiels par le biais de ses partenaires de distribution et plus de six mille clients actifs en janvier 2018. La start-up vient également de boucler une levée de fonds de dix millions d’euros en début d’année. Elle devrait lui permettre de passer de dix-huit à cinquante salariés et de renforcer son dispositif.

AOC Insurance Broker, comparateur destiné aux expatriés

Créée par Olivier Le Faouder en 2012, AOC Insurance Broker propose un comparateur d’assurances à échelle mondiale, dédié exclusivement aux expatriés. La plateforme multilingue combine toutes les offres santé du marché, en fonction des besoins des clients et de leur destination. Elle compare, analyse et recommande les assurances qui conviennent le mieux aux besoins des personnes travaillant à l’étranger, qu’elles soient des particuliers ou des entreprises. Les assurés peuvent ensuite choisir librement entre les différentes propositions envoyées, sur le site web ou sur l’application mobile AOC Expatcare. Une partie préventive est également intégrée au programme pour aider les expatriés dans un parcours de santé qui vise à réduire les maladies graves. Ils ont alors accès à une plateforme de raisonnement médical en machine learning AI leur permettant de prendre en main leur santé et la prévention, jusqu’à la prédiction de maladie via des marqueurs génétique. L’entreprise a par ailleurs fait partie des 54 start-up gagnantes de l’année 2017, sélectionnées par Innovator Edge à Chicago, représentant la mecque des « insurtech » dans le monde. AOC envisage également une levée de fonds en 2019 afin de poursuivre sa croissance et son développement international.

Wizzas, l’achat groupé d’assurances

Élaborée en juillet 2017 par Christine Sales, Thierry Delcupe et Julien Renauld, Wizzas donne la possibilité aux consommateurs de se réunir sur une plateforme collaborative. L’entreprise est partie du constat que les clients sont seuls devant des choix d’assurances et que, face à la complexité, ils prennent parfois une décision qui ne répond pas nécessairement à leurs problèmes. Elle a donc pour objectif d’offrir aux demandeurs des propositions répondant aux meilleures conditions. Des commerçants, des particuliers, des artisans et des associations peuvent ainsi exprimer leurs besoins et échanger avec d’autres, aux nécessités similaires. Ensemble, ils seraient ainsi mieux entendus. La start-up se charge de traduire l’expression des demandes de toute cette communauté en cahier des charges et l’adresse à un réseau d’assureurs partenaires. Ces derniers proposent alors leurs meilleurs produits et Wizzas sélectionne trois offres qu’elle pense les mieux adaptées aux souhaits du groupe. La décision finale s’opère avec un représentant du collectif, dénommé l’initiateur, et un référant de la société qui se charge de faciliter le contrat. Les membres, individuellement, ont ensuite le choix d’acheter le produit et de le payer directement en ligne. Nouvelle arrivée sur le marché, Wizzas a dévoilé, en mars dernier, les trois contrats co-construits avec Albingia, Altima et Mavit, qu’elle propose aux trente mille propriétaires français d’un vélo à assistance électrique, commercialisé par Moustaches Bikes.

Les start-up qui se lancent dans le secteur de l’assurance doivent faire face à de multiples obstacles, non seulement pour entrer sur le marché, mais aussi pour s’y installer durablement. L’un des freins au développement demeure le financement. Les assureurs mutualistes traditionnels comme Groupama, Maaf, Maif, Macif ainsi que le groupement Inter Mutuelles Assistance viennent, à ce propos, de lancer un accélérateur de start-up, French Tech, à Niort en février 2018. Leur but : mettre leur expertise et leur connaissance du marché au service de l’innovation et de la créativité pour permettre l’émergence de vingt-cinq à trente jeunes entreprises en trois ans. Avec un budget de deux millions d’euros, l’association sélectionne plusieurs sociétés qui bénéficieront d’un programme d’accompagnement de neuf mois, d’un soutien managérial et d’un marché potentiel de douze millions de foyers. Cinq jeunes firmes ont déjà été retenues pour la première édition comme Testamento, plateforme numérique de planification successorale et Fotonower, système d’expertise automobile à distance ayant recours à l’intelligence artificielle.

Compta : préférez la solution logicielle !

La comptabilité de votre entreprise se révèle souvent une tâche ingrate et chronophage : mieux vaut s’adonner à ce qui développe votre entreprise et apporte de la valeur ajoutée. Les logiciels de comptabilité permettent justement de vous faciliter la vie et à votre entreprise de développer sa croissance.

Finies les heures passées à gérer vos comptes, à calculer vous-mêmes les bénéfices de votre boîte. La solution logicielle est un vrai plus pour les PME. Elle représente un réel gain de temps car vous pouvez lui déléguer la gestion de votre livre de comptes. Le travail sera fait beaucoup plus simplement, par des professionnels, et peut couvrir l’ensemble des activités de comptabilité de votre entreprise.

L’enfer du traitement des factures

Quoi de plus long que le travail fastidieux de la compta ? Votre petite structure n’a ni les moyens ni le temps de s’attarder à régler les factures. Et les erreurs de calcul, agaçantes, sont si vite arrivées.
Le cabinet d’expert-comptable Sage a mené une enquête auprès de PME : 28% d’entre elles communiquent leurs factures électroniques, et 83% d’entre elles le font par mail sur fichier PDF. Sage propose un système récent de e-factures pour vous aider à réduire cette perte et éviter les coquilles en automatisant le processus de traitement. L’entreprise vous offre la possibilité de prendre en charge le traitement des factures, de les numériser et d’en faciliter la communication entre les services de validation. Grâce à ce service, vous pouvez aussi les archiver dans un coffre-fort électronique afin de prouver les transactions, consultables pendant 10 ans sur internet.

Une solution simple, efficace et adaptée à vos besoins

Les logiciels de comptabilité ont deux fonctions principales : d’une part, vous aider à y voir plus clair et à gagner du temps ; d’autre part, ils vous aident dans votre stratégie grâce à des indicateurs qui prennent en compte les meilleurs chiffres de votre entreprise. Vous pouvez ainsi « piloter » votre comptabilité générale pour identifier les points forts de votre croissance et prendre les meilleures décisions concernant le développement de vos activités d’après des indices de rentabilité fixés par le logiciel.
Sage propose des solutions adaptées à la taille et aux besoins propres à votre entreprise. Un moyen simple et économique de vous débarrasser d’un exercice difficile et de vous concentrer sur votre croissance ! Sage, l’un des leaders du marché des solutions de comptabilité, de paie et de gestion commerciale dans le cloud, demande à la communauté technologique mondiale à s’investir dans le développement éthique des programmes d’intelligence artificielle (IA) pour les entreprises. Pour ce faire, Sage a publié « L’éthique du code », un document destiné à encourager les acteurs de l’IA à respecter un ensemble de valeurs fondamentales pour garantir un développement « sain » de cette technologie
Le chatbot, Pegg, a été conçu pour libérer les clients des tâches administratives répétitives afin qu’ils se consacrent à des activités à plus forte valeur ajoutée mais qui sont entièrement conformes aux principes de Sage en matière d’intelligence artificielle, Pegg est un assistant intelligent qui permet aux petites entreprises de suivre leurs dépenses et de gérer leurs finances par le biais d’applications de messageries telles que Facebook Messenger ou Slack. Un an après sa disponibilité générale, Pegg compte des dizaines de milliers d’utilisateurs dans 135 pays à travers le monde.
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