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5 idées de business à monter en Suisse

Située au cœur de l’Europe, la Suisse et ses 26 cantons attirent de nombreux entrepreneurs en quête de prospérité. C’est aujourd’hui une destination ultra-compétitive avec des avantages séduisants. Un climat économique stable, une qualité de vie élevée, une fiscalité avantageuse et des accords internationaux. Pas étonnant qu’on choisisse la Suisse pour monter son business. D’ailleurs, si vous manquez d’idées, sachez que vous avez de quoi être créatifs. Au pays du fromage et du chocolat, on sait s’inspirer de concepts qui fonctionnent ailleurs pour créer un commerce innovant et original ! Pour vous aider, voici 5 idées de business à monter en Suisse.

Un Airbnb pour animaux

Nous ne sommes pas les seuls à exiger le confort quand on se déplace. Nos compagnons à quatre pattes ont aussi le droit aux vacances de leurs rêves. C’est tout du moins l’idée qu’ont eu certains propriétaires en cherchant où laisser leur chien avant de partir en voyage, loin de la maison. C’est ainsi que des applications spécialisées pour le soin aux animaux domestiques ont vu le jour en Suisse. Vous cherchez quelqu’un pour garder et promener votre chien pendant votre absence ? Trouvez la perle sur un site de dog-sitting. Vous aimeriez le placer en maison d’accueil ? Confiez votre toutou à une famille proche de chez vous. En 2020, on ne compte pas moins de huit millions d’animaux de compagnie en Suisse. L’étude de Grand View Research de mars 2018 prévoit une croissance du marché des soins pour animaux domestiques de 5 % par an à l’échelle mondiale. Bref, c’est le moment de percer !

Bon, on n’en est pas encore aux hôtels pour chiens et chats qui pullulent au Japon, mais qui sait, vous pourriez peut-être lancer ce nouveau concept en Suisse ?

Une plateforme d’escorting en freelance

Salariée le jour, escort la nuit. Voici le quotidien chargé de nombreuses Suissesses qui ont décidé de sauter le pas en entrant dans le milieu de la prostitution élégante. Elles travaillent en agence ou en freelance, détiennent un permis de travail et paient leurs impôts. Car oui, le travail d’escort girl est légal en Suisse, contrairement à la France. Vous pouvez sans problème monter votre agence, ou comme la start-up innovante BemyGirl, créer une plateforme d’escorting digitale pour des travailleuses indépendantes. Elle donne la possibilité de rencontrer en personne une escort girl à Genève ou à Zurich, contactée directement sur le site web. À Genève ou Zurich, brune ou blonde, petite ou grande… et même (petite nouveauté) vaccinée ou non de la Covid-19. BemyGirl laisse le choix au client qui explore les profils et contemple les photos, toutes réalisées lors d’un shooting professionnel. Autre particularité de la start-up : elle ne prend aucune commission sur les rendez-vous. Un business florissant qui a de quoi plaire en Suisse.

Du jardinage à la demande

Une pelouse à tondre ? Des feuilles à ramasser ? Prenez votre téléphone et réservez pour un service de jardinage en ligne. Plus la peine de faire intervenir un jardinier professionnel pour un petit travail de déneigement dans une allée, faites une demande ponctuelle en ligne. En moins d’une heure, le tour sera joué ! Le jardinage à la demande entre particuliers, il fallait y penser. En Suisse, le business cartonne. Des applications mobiles permettent désormais de trouver un non-professionnel selon ses compétences et ses disponibilités. La prise de rendez-vous et le paiement passent par la plateforme digitale. Un moyen pour les propriétaires d’engager facilement quelqu’un à petit prix en évitant le travail au noir. Et un moyen intéressant pour les jardiniers en herbe d’augmenter leurs revenus avec des petits jobs nature. Une super idée pour se mettre au vert !

Rendre visible les commerces locaux

Consommer local, c’est à la mode, c’est bon pour l’environnement et c’est un geste pour les petits commerçants. En Suisse, on accorde beaucoup d’importance aux systèmes qui facilitent le lien entre les habitants et les commerces de quartier. Certains concepts sont nés aux États-Unis, comme c’est le cas de la société RainLocal qui a eu l’idée de jouer sur la géolocalisation disponible sur les smartphones. Ce qu’elle s’est dit ? Que le problème, tout simplement, venait du fait que les gens ne connaissaient pas forcément les magasins qui étaient établis à côté de chez eux. Dans notre routine quotidienne, on n’a pas forcément l’idée de faire le tour du quartier. On emprunte toujours le même chemin. Alors RainLocal a eu une idée : permettre aux commerces locaux de placer leur publicité sur des milliers d’applications et de sites utilisés tous les jours. Cette pub apparaît dès que la personne passe à proximité de la boutique en question. 

L’Uber des petits commerçants

Toujours dans le même thème, en 2015 une société française a mis en place la livraison collaborative. Comment ça marche ? C’est simple. L’idée est de proposer à des particuliers de livrer des colis à la place des services de livraison classiques. Ils les récupèrent dans le magasin et l’apportent chez le client. Une chouette manière de rentabiliser ses trajets quotidiens pour les particuliers tout en aidant les commerces locaux. L’objectif est évidemment de se concentrer dans une zone restreinte. L’idéal, c’est en rentrant du travail. Pour le moyen de transport, c’est comme le souhaite le livreur : voiture, moto, vélo ou à pied. Tout est fait pour faciliter la vie des commerçants, des livreurs et des clients. C’est un business qui fonctionne très bien dans les grandes villes. Pourquoi ne pas lancer le concept à Zurich ou à Genève ?

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