L’utilité de la carte de visite ne se pose plus ! Et oui, utilisée dans presque toutes les entreprises, elle reste un excellent moyen publicitaire. Quelles que soient leur forme ou leurs couleurs, les cartes de visite renseignent sur les activités de l’entreprise. Une fois dans la main du client potentiel ou du futur collaborateur, ça passe ou ça casse… Zoom sur la création de cartes de visite et ce que cette démarche implique.
Le recrutement est l’un des facteurs de difficultés les plus souvent cités par les dirigeants de TPE/PME. En cause ? Un manque d’attractivité, des moyens limités et une mauvaise formation du dirigeant aux problématiques de l’embauche. Surtout, les embauches restent parfois mal menées, faute de temps et parfois de compétences. Des lacunes qui génèrent de nombreuses galères, parfois difficiles à gérer.
L’entrepreneuriat et le poker partagent plus de points communs que l’on pourrait le penser. On y retrouve en effet des attitudes et des objectifs similaires. Quelles sont donc ces ressemblances qui unissent le fonctionnement d’une entreprise à une partie de poker ? N’oubliez pas qu’il ne s’agit jamais de flamber car une entreprise ce sont aussi des femmes et des hommes qui vont dépendre de sa réussite. Alors sachez les écouter pour ne jamais être dans une situation insurmontable.
À force de multiplier les stratégies pour réussir face à des concurrents géants, vous pourriez bien connaître un beau succès. Les alternatives de sortie de cette concurrence sont simples : soit le concurrent vous mange, soit c’est vous qui l’absorbez. Le petit qui finit par manger le grand : possible ?
Une crise est une excellente période pour créer une entreprise ! Il s’agit d’un moment où le réel, avec sa dureté, cesse de se dérober : ce qui marchait bien marche moins bien et ce qui ne marchait pas bien cesse complètement de marcher. Or, le réel est un bon maître, en marquant une limite, il donne prise pour inventer du nouveau.
De nombreuses entreprises ont adopté un coin repos où les collaborateurs peuvent se détendre et éventuellement s’assoupir. La startup britannique eve Sleep, en collaboration avec Opinion Way, avait réalisé une enquête et fait un état des lieux des Français et de la sieste au travail. Selon celle-ci, 80% des français ressentent le fameux « coup de barre » au cours de leur journée de travail. Un phénomène à ne pas sous-estimer puisque seuls 2% déclarent ne jamais ressentir de fatigue. Il ressort que les salariés s’assoupissent sur leur lieu de travail après la pause déjeuner. Que pensent réellement les entrepreneurs de la sieste sur le lieu de travail ?
Je ne connais pas d’entreprise ou de dirigeant qui pensent que leur message n’est pas clair. Tout le monde pense que son activité, ses produits, ses offres sont compréhensibles par tous. En revanche, nous ne sommes pas si catégoriques sur les messages de nos voisins, nos amis ou nos concurrents. La raison en est simple : nous ne disposons pas du recul nécessaire pour juger de la simplicité et de la clarté de nos propres arguments.
Travailler dans la joie, le dynamisme et la sérénité, tout membre d'une entreprise le souhaite. Perçue comme un lieu de vie, les salariés et les collaborateurs cherchent à se sentir bien. Depuis plusieurs années, des études montrent qu'un espace de travail sympathique participe à la productivité et la créativité. Pour y parvenir, cela passe notamment par l'aménagement et la personnalisation des espaces ainsi que par la décoration. Voici quelques conseils sur ces trois points primordiaux !
Qu’elle soit commerciale, marketing, technologique, concurrentielle, juridique ou de notoriété, la veille fait maintenant partie intégrante de la vie d’une société. L’entreprise doit, tout au long de sa vie, observer avec sa longue vue ou parcourir des galeries souterraines avec sa lampe de poche afin recueillir les informations nécessaires et rester concurrentielle.
La délégation de pouvoir, qui permet le transfert de la responsabilité pénale du chef d’entreprise vers un de ses collaborateurs, est souvent un élément du contrat de travail sur lequel les cadres hésitent à s’engager, ceux-ci ayant peur de voir leur responsabilité pénale engagée.