En tant qu’entrepreneur, vous consacrez beaucoup de temps et d’énergie à l’élaboration d’une stratégie marketing concernant votre produit ou votre service. Avez-vous également pensé à définir une stratégie marketing pour votre entreprise, notamment sur l’aspect financier, et ainsi améliorer votre visibilité ? Et si le marketing financier n’était pas réservé aux grands groupes du CAC 40 ou encore aux banques ?
Nous entrons dans la « postmondialisation » : progressivement, seuls les matières premières et les produits et services d’exception s’échangent entre les grands blocs économiques. Dans ce contexte, l’innovation devient un des principaux vecteurs de compétitivité, non plus pour les entreprises, mais les nations elles-mêmes.
Vous organisez un événement pour le lancement de votre entreprise, de votre nouveau produit, boutique,… Et si vous aviez à vos côtés une personne renommée pour appuyer votre événement et pourquoi pas même créer ce fameux buzz ? C’est possible ! Mais à quel prix ?
Un véritable phénomène de société est en train de bouleverser le monde du travail. Entre des entreprises qui demandent plus de flexibilité et des employés qui demandent plus d’indépendance, le travailleur du 21ème siècle sera pour une grande partie, voire une majorité, un «freelance».
La semaine dernière, la responsable Marketing de @FAGUOshoes est venue nous voir avec mon associé, en nous disant qu’il nous fallait un compte TWITTER en temps que créateur ! Que celui « Corporate » de la marque commençait à avoir de l’audience, mais qu’il nous fallait encore faire aboutir les choses…
Avec les MOOCs (cours en ligne ouvert à grande échelle), vous pouvez aujourd'hui être recruté par Google après avoir suivi depuis votre salon un cours gratuit dispensé par les meilleurs spécialistes internationaux. Après la musique, la pornographie ou la presse, l’éducation supérieure est-elle en train de vivre sa révolution numérique ?
Les grands retards de paiement inter-entreprises au plus haut en Europe depuis trois ans.
9,1 % des entreprises européennes règlent leurs fournisseurs avec plus de 30 jours de retard.
Les entreprises tentent de résister en France, tandis qu’elles décrochent en Italie et plongent au Portugal.
Les retards de paiement des entreprises européennes s’établissent à 13,8 jours en moyenne sur le
premier trimestre 2013 et s’éloignent un peu plus du niveau d’avant-crise (12,5 jours). C’est ce que
révèle l’étude trimestrielle Altares basée sur les balances âgées des entreprises1.
Traduction de cette dégradation, seules 42,4 % des entreprises européennes règlent leurs factures
à l’échéance, c’est-à-dire à la date convenue contractuellement avec le fournisseur.
Mais plus que la proportion de bons payeurs, le taux de retards supérieurs à 30 jours est davantage le marqueur de la santé financière des entreprises. Ces grands retards de paiement sont symptomatiques d’une trésorerie très dégradée et d’une poursuite d’activité compromise. Désormais, 9,1 % des entreprises européennes reportent leurs paiements d’au moins 30 jours ; ce taux est le plus élevé depuis le printemps 2010, soit depuis trois ans. À titre de comparaison, au plus fort de la crise la proportion de grands retards avaient atteint 10 % ; situation vers laquelle on tend actuellement.
Les comportements de paiement se tendent sévèrement en Italie (près de 19 jours de retard en moyenne) et au Portugal (au-delà de 31 jours). L’Allemagne (environ 6 jours) reste vertueuse mais des tensions apparaissent. La France (12,3 jours) enregistre pour le quatrième trimestre consécutif une lente mais régulière dégradation.