La transat Jacques Vabre s’est terminée il y a quelques jours. L’entreprise, qui sponsorisait un Class40, c’est à dire un monocoque de 12m, est arrivée en deuxième position dans sa catégorie, une très belle performance ! Cet événement, qui a débuté le 27 octobre au Havre pour s’achever à Salavador de Bahia, nous a permis de mieux comprendre les raisons du sponsoring nautique pour Leyton.
Mais pourquoi la voile ?
Si Sam Goodchild (skipper) et Fabien Delahaye (co-skipper) ont pris les commandes du navire, l’histoire a en réalité commencé grâce au skipper Arthur Le Vaillant (blessé cette année), très engagé sur les questions d’environnement. Suite à sa rencontre avec François Gouilliard, PDG du Groupe, les 2 hommes s’aperçoivent qu’ils ont des valeurs communes que sont la performance, l’esprit d’initiative et l’engagement pour la planète. Le PDG, fan de voile également, perçoit que les valeurs de son groupe peuvent ainsi être mises en avant, d’autant que les actions RSE (Responsabilité Sociale de l’Entreprise) sont coordonnées dans un cadre commun. Le groupe cherche alors à créer des synergies entre ses différentes initiatives, à optimiser les résultats et à suivre l’impact des actions grâce à un tableau de bord global des indicateurs de performance. Si on peut se dire que la voile apparait évidemment comme un mode de voyage moins polluant, il faut en réalité prendre en compte l’empreinte carbone globale. Leyton est d’ailleurs le premier à avoir mesurer celui-ci en prenant en compte la conception du bateau et les différents matériaux nécessaires. Il s’agit en effet d’innover pour permettre de toujours plus protéger nos océans.
Pour le groupe, la transat Jacques Vabre est également l’occasion de lancer le programme #GreenLeyton, qui consiste à sensibiliser les 1400 collaborateurs de l’entreprise sur le développement durable et à échanger sur les initiatives potentielles dans ce domaine. Leyton agit toute l’année en faveur de l’environnement, en permettant, par exemple, à 5 start-ups de sociétés innovantes dans le développement durable de participer au CES de de Las Vegas. L’immeuble « BE ISSY », dans lequel Leyton s’est installé il y a quelques semaines, répond également à cette démarche environnementale et énergétique.
Les autres raisons probables de ce sponsoring.
La passion de la voile et de ses valeurs, un engagement actif et permanent en faveur du développement durable… Leyton a t’il d’autres motivations pour sponsoriser ce sport ?
L’exposition médiatique de l’événement est une autre des motivations du groupe. Elle permet de se faire connaitre afin d’inciter de jeunes recrues à rejoindre l’entreprise. Il faut dire que le recrutement demeure l’un des enjeux majeurs du groupe qui a poursuivi une croissance rapide. Attirer les talents reste essentiel pour l’entreprise, notamment car l’ADN de marque est d’être agile pour repérer les meilleurs profils. Associé au fait que la valeur « développement durable » séduit de plus en plus les nouvelles générations, sensibles au choix d’un sport peu polluant, Leyton fait partie des entreprises désirables…
D’autres raisons à l’engagement de Leyton ? Fédérer les équipes, tisser des liens forts avec les clients fans de voile ou souhaitant découvrir ce sport et l’euphorie d’un départ de course… Posséder un bateau peut permettre de réaliser des team building ou encore d’inviter ses clients à bord afin de prendre du temps pour mieux les connaitre. Il est possible de mieux cerner les enjeux de chacun et d’obtenir d’éventuels retours sur les collaborations.
Finalement, de nombreux messages sont présents dans le fait d’investir dans ce domaine. Il s’agit donc d’insister sur certaines valeurs. D’abord, le fait de marquer que l’on peut toujours faire mieux, puisque la voile, qui apparait comme un sport non polluant, possède finalement une empreinte carbone. Et l’investissement montre que l’on peut toujours innover, un des fondamentaux du groupe.
A propos de Leyton : il s’agit d’un cabinet de conseil, créée en 1997, afin d’aider les entreprises à améliorer leur performance globale. 3 domaines sont particulièrement visés : financement de l’innovation, transition énergétique, services externalisés. Le Groupe connait une croissance de 20% par an et a permis à ses clients de bénéficier de 500 millions d’euros de ressources supplémentaires pour leur développement. Le groupe, qui compte aujourd’hui 14 000 clients et 1400 collaborateurs à travers le monde, peut se targuer d’une moyenne d’âge des employés de 32 ans et d’une progression interne puisque 65% des directeurs sont issus de ses rangs. Le groupe, présent dans 10 pays en Europe et en Amérique du Nord, possède 8 bureaux en France et ouvre prochainement une succursale en Allemagne.